Nous sortons d’un cauchemar collectif qui a mis en lumière nos fragilités.
Pandémie, confinements, angoisse sanitaire, restrictions arbitraires…
Tout cela a révélé une chose essentielle : nous avions délégué notre santé, notre liberté et même notre capacité de penser aux mains de dirigeants et « experts » qui se sont montrés indignes de confiance.
Comment ne plus jamais revivre une telle épreuve ?
La réponse tient en un mot : souveraineté.
Il est temps de reprendre en main notre santé, nos choix de vie, et de redevenir des acteurs conscients du monde en mutation qui nous entoure. Ne plus jamais attendre passivement qu’«on s’occupe de nous», mais participer activement aux changements.
Voici un manifeste, une synthèse holistique des défis actuels et des pistes pour reprendre le contrôle de nos vies.
7 pistes pour reprendre le contrôle de nos vies et de notre santé
La santé, ce trésor oublié! – Ce livre de Danièle Azout Malinalli nous rappelle que la santé est un trésor que chacun porte en soi, à condition de se libérer des peurs et conditionnements modernes (description du livre ici).
Nous pouvons redevenir pleinement acteurs de notre bien-être : reconnecter avec notre vitalité naturelle, retrouver un esprit critique affûté et refuser la fatalité de la maladie.
L’auteure y souligne que nous avons oublié les lois simples du vivant en sombrant dans une société obsédée par la maladie et les pilules miracles.
Elle nous invite à redécouvrir notre pouvoir inné d’auto-guérison, rappelant que « vous n’êtes pas dépendant d’un système, mais […] responsable, libre, capable » de prendre en main votre santé.
C’est le socle de la souveraineté : reprendre confiance en notre corps et notre jugement.
1. Cultiver l’esprit critique et la lucidité face aux discours officiels.
L’une des leçons majeures de la crise est que la science et la politique peuvent être dévoyées par des intérêts contraires au bien commun.
Il faut oser “reprendre la parole haut et fort pour en finir, et changer de paradigme” (voir livre « En finir avec nos peurs » offert gratuitement- voir encadré dans la colonne à droite de cet article).
L’auteur de ce livre, le Dr Éric Ancelet, également auteur du livre En finir avec Pasteur, dénonce « une science dévoyée […] et une économie de marché cynique et mortifère » qui ont perverti notre vision du microbe et de la santé.
De son côté, le Dr Vincent Reliquet – radié pour avoir brisé le tabou des médicaments – rappelle un principe fondamental : chaque citoyen a le droit à une information médicale claire, complète et non biaisée (voir notre article Dangers des médicaments).
Ses travaux appellent à la vigilance, à la lucidité, et surtout à la responsabilité individuelle face aux “vérités” officielles.
Nous devons refuser d’être des patients passifs gavés de demi-vérités et redevenir “des êtres pensants, des citoyens de leur santé” capables de questionner les dogmes.
Cela vaut pour les médicaments – dont les dangers sont trop souvent minimisés – mais aussi pour toutes les décisions qui engagent notre corps et nos libertés.
Une société où il est interdit de poser des questions légitimes sur la santé est une société…malade.
Brisons le cycle de la peur et de la crédulité : informons-nous avec des sources indépendantes, lisons les travaux de lanceurs d’alerte, échangeons entre citoyens.
Notre esprit critique est notre meilleur bouclier contre de nouveaux cauchemars.
2. Se libérer du mythe de la contagion et repenser les causes des maladies.
La crise du Covid-19 a montré à quel point la peur du microbe pouvait justifier les pires mesures.
Mais cette peur repose en grande partie sur un malentendu scientifique vieux d’un siècle!
Dans Le Mythe de la Contagion, Sally Fallon Morell et Thomas S. Cowan posent une question provocatrice : « Existe-t-il vraiment des “virus” ? Ou bien l’électrosmog, les toxines et la 5G sont-ils en fait à l’origine du Covid-19 ? ».
Ces auteurs remettent en cause la théorie pasteurienne des germes – adoptée comme dogme officiel – en soulignant que Louis Pasteur lui-même n’a jamais pu prouver la contagion et a fini par l’admettre (voir notre article).
De nombreuses observations suggèrent que la cause de certaines “épidémies” modernes n’est peut-être pas un mystérieux virus, mais bien « une forme de pollution propre à l’ère moderne », notamment la pollution électromagnétique.
Rappelons qu’à Wuhan, épicentre du Covid, la 5G avait été déployée massivement peu de temps avant l’explosion des cas.
Sans tirer de conclusions hâtives, il est sain d’ouvrir le débat : et si notre terrain, notre environnement toxique, jouait un rôle bien plus grand que le microbe en lui-même? Comme le disait Pasteur sur son lit de mort, « le microbe n’est rien, le terrain est tout ».
Retrouver notre souveraineté en santé, c’est accepter de changer de paradigme : passer de la peur panique du virus à une compréhension globale de la santé, qui intègre le terrain, l’immunité naturelle, la nutrition, les ondes…
Informons-nous auprès de médecins et chercheurs hors des sentiers battus.
Osons lire les ouvrages iconoclastes (comme ceux de Tal Schaller ou Antoine Béchamp) qui proposent une autre vision du vivant.
En éclairant ainsi nos lanternes, plus jamais nous ne céderons aveuglément notre pouvoir aux prophètes de malheur.
3. Reprendre le pouvoir sur notre assiette.
Notre santé se construit d’abord dans notre cuisine et nos vergers, plus que dans les laboratoires pharmaceutiques.
Or, le système agroalimentaire industriel nous manipule, souvent à notre insu.
« Derrière chaque emballage coloré, chaque slogan “naturel”, se cache une vérité que certains font tout pour vous cacher », avertit le Dr Louis de Brouwer (voir ici notre article Cette bouffe qui nous tue).
Son ouvrage Cette bouffe qui nous tue est un électrochoc : il dévoile « un système organisé pour empoisonner à petit feu les citoyens, pendant que les géants de l’agroalimentaire engrangent les profits ».
Additifs cancérigènes, pesticides hormonaux, exhausteurs de goût neurotoxiques… la liste des poisons légaux est longue et édifiante.
Même en mangeant bio, prévient l’auteur, on n’est pas totalement épargné, tant les industriels rivalisent d’astuces pour infiltrer nos assiettes.
La bonne nouvelle, c’est que le savoir est un pouvoir : une fois qu’on apprend à décrypter les étiquettes, à reconnaître les codes “E” suspects, on ne se fait plus avoir. Reprendre sa souveraineté alimentaire, c’est refuser d’être la victime docile du marketing et redevenir un consommateur éclairé qui choisit en conscience ce qu’il met dans son corps.
Cela passe par une éducation populaire sur la nutrition – pourquoi pas organiser des ateliers de lecture d’étiquettes entre voisins ? – et par le soutien aux lanceurs d’alerte qui osent publier la vérité (souvent censurée) sur la malbouffe.
C’est aussi un acte de résistance et de survie : « Ce n’est plus une question d’opinion. C’est une question de survie », clame le Dr de Brouwer.
4. Adopter une alimentation vivante, variée et consciente.
Une fois les poisons identifiés, il nous reste à construire positivement une diète qui nous rende la santé et l’énergie.
La diététique du 21e siècle – pour reprendre le titre du livre du Dr Christian Tal Schaller – offre des principes simples pour retrouver une nutrition saine et durable.
Face au « chaos alimentaire moderne » fait de sucre caché, de plats ultra-transformés et de publicités trompeuses, il propose une « refonte radicale de notre rapport à la nourriture ».
Plutôt que de suivre tel ou tel régime miracle à la mode (et d’échouer, comme beaucoup, après quelques semaines), cette approche prône la conscience alimentaire : réapprendre à écouter son corps et à le nourrir en fonction de ses besoins réels. Le Dr Schaller résume cela en une règle simple des 3V : Végétal, Varié, Vivant.
Autrement dit, privilégier les végétaux (fruits, légumes, céréales complètes, légumineuses…), diversifier les aliments et saveurs pour éviter la monotonie, et consommer une nourriture la plus vivante possible – riche en enzymes, peu dénaturée par l’industrie.
Cette approche, loin d’imposer un carcan, « reconnecte au bon sens et au respect du vivant ». De plus en plus d’études confirment qu’un retour à des aliments bruts, fermentés, complets, améliore l’immunité et le microbiote intestinal.
En pratiquant la diète 3V, on retrouve une énergie stable, un meilleur sommeil, on réduit les fringales et on stabilise son poids sans effort.
Souveraineté en santé rime avec autonomie alimentaire : faites votre potager si possible, sourcez vos produits chez des paysans locaux, cuisinez plutôt que commander du tout-prêt.
Chaque bouchée est un vote – pour la vie ou pour la malbouffe.
En choisissant le vivant dans notre assiette, nous résistons silencieusement mais puissamment à l’empire agroalimentaire qui nous voudrait malades et dépendants. «Diététique du 21e siècle» le dit bien : manger sainement n’est pas une punition, c’est « réconcilier santé, plaisir et autonomie ».
À nous de jouer, une bouchée après l’autre.
5. Soigner les causes plutôt que les symptômes : vers une médecine de la pleine santé.
Notre système de santé actuel est trop souvent un système de gestion de la maladie.
Examens expéditifs, ordonnance longue comme le bras, pilule miracle pour chaque maux… et tant pis si le patient traîne sa fatigue et ses douleurs chroniques des années durant. Il est temps de changer de logique.
« La médecine conventionnelle […] ne s’attaque qu’aux symptômes.
Mais alors, où est la solution ? » demande le Dr Stéphane Résimont.
(voir notre article à propos de la Pleine Santé)
Dr Résimont, avec Alain Andreu, proposent une approche résolument différente dans Pleine Santé – Vitalité, immunité, anti-âge, anti-kilos.
Ce guide illustré de médecine fonctionnelle part d’un constat : 15 millions de Français souffrent de maladies chroniques (hypothyroïdie, fatigue inexpliquée, obésité, douleurs diffuses…) et ne trouvent pas de réponses satisfaisantes dans le modèle classique (voir notre article 15 millions de malades : la médecine fonctionnelle de Pleine Santé a la réponse).
La médecine fonctionnelle, porte-étendard de Pleine Santé, vise à remonter à la racine des problèmes plutôt que de prescrire à l’aveugle.
Tel un détective qui cherche le coupable plutôt que de balayer la scène de crime, le praticien fonctionnel identifie les déséquilibres sous-jacents – hormones, microbiote, carences, inflammation – puis propose de les corriger de façon naturelle.
« Pleine Santé vous donne les clés » pour y parvenir : ajustements alimentaires personnalisés, compléments ciblés, plantes médicinales, techniques pour booster l’immunité, etc., le tout appuyé sur des protocoles éprouvés et des preuves scientifiques.
Pour les patients, c’est l’espoir de retrouver une vie pleine d’énergie – les témoignages abondent de personnes ayant perdu du poids, retrouvé le sommeil ou surmonté un Covid long grâce à cette approche intégrative.

Pour les thérapeutes ouverts d’esprit, c’est une boîte à outils unique pour traiter autrement des cas complexes (fibromyalgie, diabète, maladies auto-immunes, séquelles post-vaccinales…).
Au-delà des méthodes, Pleine Santé véhicule un message d’autonomisation : ce n’est pas juste un livre, c’est un mouvement.
Un mouvement pour « reprendre le contrôle de votre corps, de votre énergie, de votre vie ».
Ne plus jamais subir passivement un diagnostic ou un traitement : comprendre ce qui nous arrive et agir dessus, voilà la vraie guérison.
La pleine santé est à notre portée lorsque nous devenons partenaires de notre médecin au lieu d’en être dépendants.
Là encore, la connaissance est libératrice : apprenons comment fonctionne notre thyroïde, à quoi sert tel oligo-élément, comment le stress ou le sucre affectent notre immunité… Les clés de la santé ne doivent plus être confisquées par une élite en blouse blanche, elles appartiennent à chacun de nous.
6. Exiger la transparence et la liberté de choix en matière de soins.
Jamais plus nous ne devons accepter qu’une autorité nous impose un traitement, un vaccin ou une mesure sans débat ni preuves suffisantes.
La souveraineté en santé implique le consentement libre et éclairé.
Grâce aux voix dissidentes de médecins comme le Dr Reliquet, on sait aujourd’hui que nombre de médicaments courants peuvent faire « plus de mal que de bien » et que les patients ignorent souvent leurs effets indésirables réels.
Par exemple, le paracétamol, banalisé depuis 50 ans, est bien plus hépatotoxique qu’on ne le croit et peut aggraver certaines infections.
De même, la dépendance aux antidépresseurs et les syndromes de sevrage sont largement sous-estimés alors qu’ils enferment tant de gens dans un cercle vicieux.

Ces informations vitales, ce sont souvent des médecins indépendants qui les ont portées au jour – parfois au prix de leur carrière.
Nous devons soutenir et relayer ces chercheurs indépendants qui osent mettre en lumière ce que l’industrie ou l’administration sanitaire cachent.
Que ce soit sur l’inefficacité de certains vaccins obligatoires (le Dr Reliquet rappelle par ex. qu’un traitement alternatif à la diphtérie existait depuis 1940, rendant la vaccination de masse discutable (article ici) ou sur les excès de la chimiothérapie anticancer, il est crucial que le public ait accès à toutes les données pour décider en conscience (voir ici).
Reprendre notre souveraineté, c’est revendiquer « le droit à une information médicale complète et non biaisée », ainsi que la liberté thérapeutique.
Cela passe par la demande d’études indépendantes, la fin des conflits d’intérêts dans les agences de santé, et la défense du choix éclairé (que ce soit le droit de se faire vacciner ou de ne pas le faire, le droit de recourir à des médecines alternatives, etc.).
Une médecine vraiment au service du patient ne craint pas la transparence.
Comme le dit le Dr Reliquet, « un traitement qui soigne sur le papier, mais détruit dans les faits, n’est pas un progrès ».
De même, un système de santé qui préfère le dogme à la vérité scientifique et qui punit ceux qui posent des questions est un système à réformer d’urgence.
Ne laissons plus les experts officiels décider seuls : participons aux débats publics sur la santé, exigeons des comptes sur chaque décision.
C’est ainsi qu’on ne subira plus jamais des politiques sanitaires arbitraires ou dangereuses.
7. Faire face aux nouveaux défis technologiques (5G, IA…) avant qu’il ne soit trop tard.

Notre souveraineté ne s’arrête pas aux portes de l’hôpital ou de la cuisine : elle s’étend désormais au monde numérique et technologique qui influence nos vies.
L’arrivée de la 5G et de l’intelligence artificielle sont deux exemples criants de transformations à double tranchant, potentiellement formidables mais lourdes de dangers si nous les laissons se déployer sans contrôle citoyen.
Principe de précaution pour la 5G et les ondes:
La technologie 5G promet des connexions ultra-rapides, mais à quel prix pour notre santé ?
De nombreux scientifiques tirent la sonnette d’alarme sur les risques des ondes millimétriques.
« Contrairement aux principes élémentaires de précaution, la 5G a été installée sans validation complète de son innocuité », note un rapport (voir article ici « Dangers de la 5G pour la santé« ).
Pire, les normes de sécurité en vigueur « protègent uniquement contre les effets thermiques […] mais pas contre les effets biologiques à long terme, tels que les dommages sur l’ADN ou les risques cancérigènes ».
Autrement dit, tant qu’on ne “cuit” pas directement nos tissus, les autorités ferment les yeux sur les effets subtils mais cumulatifs des ondes pulsées.
Des cas de syndrome des micro-ondes (insomnie, migraines, arythmie cardiaque, fatigue chronique…) sont déjà documentés chez des personnes exposées de près à des antennes 5G.
Les chercheurs Hardell et al. (2024) ont rapporté huit cas où l’installation de la 5G a provoqué quasi immédiatement des troubles graves – un signal d’alarme que nous serions irresponsables d’ignorer (référence de notre article ici).
Alors que fait-on ?
On agit dès maintenant.
Appliquons nous-mêmes le principe de précaution : réduisons l’usage du sans-fil chez nous (Wi-Fi, Bluetooth) en privilégiant les connexions filaires, surtout la nuit (voir Actions conrètes pour se protéger).
Informons nos voisins et élus : beaucoup d’entre eux n’ont aucune idée des enjeux et installent des antennes sur les écoles sans débat.
Or, « attendre des preuves irréfutables serait une erreur dramatique, car ces effets mettent 10 à 20 ans à se manifester » – tout comme l’amiante ou le tabac ont mis des décennies à être officiellement reconnus mortels.
Refusons d’être une génération cobaye.
Certaines municipalités pionnières ont déjà freiné le déploiement de la 5G en attendant plus d’études indépendantes: soutenons ces initiatives, interpellons nos maires, exigeons des moratoires si nécessaire.
Nous devons rappeler aux pouvoirs publics que la santé prime sur les intérêts économiques.
Malheureusement, comme souvent, « les intérêts économiques prennent le pas sur les considérations sanitaires » dans cette course technologique.
Des révélations ont montré que l’OMS elle-même et des comités comme l’ICNIRP sont infiltrés par les industriels du télécom.
Résultat : des limites d’exposition laxistes, fixées « en ignorant volontairement les effets biologiques chroniques largement documentés » par la science indépendante.
Il est de notre devoir de citoyens de défendre l’intérêt général : la 5G peut attendre si elle présente le moindre doute sérieux pour la santé.
En engageant ce combat maintenant, nous éviterons de revivre dans 20 ans un nouveau cauchemar sanitaire du type « scandale des ondes » avec son cortège de malades.

Garder l’IA sous contrôle humain:
L’intelligence artificielle s’immisce partout dans nos vies, souvent de façon invisible.
Réseaux sociaux, moteurs de recommandation, publicités ciblées, reconnaissance faciale…
« Chaque jour, des algorithmes décident de ce que vous voyez, de ce que vous pensez être “important”, de ce que vous consommez — et même de la manière dont vous vous percevez vous-même » (voir Pourquoi reprendre le contrôle sur l’IA est devenu vital).
Et « le plus inquiétant, c’est que ces mécanismes fonctionnent sans transparence, sans contrôle démocratique, sans garde-fous clairs ».
En clair, nous n’avons pas voté pour ces algorithmes qui pourtant orientent nos pensées et nos choix.
Il est urgent, comme le dit l’article Reprendre le contrôle sur l’IA, de refuser de laisser ces systèmes devenir nos maîtres à notre insu (article ici).
Comment reprendre le pouvoir ?
D’abord en prenant conscience des biais algorithmiques : non, les IA ne sont pas neutres ni objectives.
Elles reflètent les intentions (souvent commerciales) de leurs concepteurs et les données biaisées sur lesquelles on les entraîne. En comprenant cela, on peut briser la fascination aveugle pour la pseudo “intelligence” des machines.
Ensuite, des gestes simples nous libèrent déjà partiellement de l’emprise numérique : désactiver les recommandations automatiques sur YouTube/Netflix, refuser les cookies non essentiels, installer des bloqueurs de pub et traqueurs (uBlock, Privacy Badger…), régler son smartphone pour limiter le suivi publicitaire (voir les 5 actions concrètes pour reprendre le contrôle sur l’IA).
Ces actions réduisent considérablement le pouvoir des IA sur nos habitudes en ligne.
Par ailleurs, privilégions des alternatives éthiques et décentralisées : des moteurs de recherche comme Qwant ou DuckDuckGo qui ne tracent pas, ou le navigateur Brave, ou commencer à choisir des réseaux sociaux libres (Mastodon pour remplacer Twitter ou Facebook par exemple, ou Peertube pour remplacer Youtube…), des systèmes de messageries chiffrées (comme Protonmail), etc.
Chaque fois que nous quittons une plateforme tentaculaire au profit d’un service respectueux, nous reprenons un peu de contrôle – et nous envoyons un message aux géants du numérique.
N’oublions pas l’éducation : parlons de ces enjeux autour de nous.
Expliquons à nos enfants que TikTok ou Instagram peuvent façonner leur vision du monde selon des intérêts cachés.
Aidons nos aînés à comprendre les filtres invisibles qui peuvent les enfermer (par exemple, pourquoi tel fil d’actualité ne montre qu’une version des faits).
Reprendre le contrôle sur l’IA est un effort collectif : c’est un sujet de société, pas juste individuel.
Enfin, il faut exiger une gouvernance responsable des technologies.
Il est temps que la régulation suive le rythme effréné de l’innovation.
Nos législateurs – sous l’impulsion des citoyens – doivent encadrer l’utilisation des algorithmes dans les domaines sensibles (santé, justice, éducation…), imposer de la transparence et des audits, interdire les dérives qui portent atteinte aux droits humains.
Soutenons les chercheurs et lanceurs d’alerte (comme la docteure en informatique Emmanuelle Darles ou les signataires du moratoire sur l’IA) qui réclament un débat public honnête. « Reprendre le contrôle sur l’IA, c’est affirmer que la technologie ne doit jamais supplanter la démocratie ».
Aucun système automatisé ne doit décider de nos vies sans que nous ayons notre mot à dire.
L’IA doit rester notre outil, pas notre geôlier – et cela nécessite vigilance et mobilisation dès maintenant, avant que le piège ne se referme.
La chercheuse Emmanuelle Darles, dans son livre IA : illusion d’avenir, explique avec rigueur pourquoi l’intelligence artificielle n’est pas l’alliée neutre qu’on imagine, mais pourrait devenir « l’outil ultime de domination ». (Voir notre article Reprendre le contrôle sur l’IA).
Cet ouvrage propose une vision réhumanisée de la technologie, où l’éthique et la conscience collective doivent reprendre le pas sur la course aveugle au profit.
En nous informant via ces sources éclairantes, nous pouvons anticiper les dérives et reprendre le contrôle de l’outil numérique – pour qu’il serve l’humain au lieu de l’asservir.
Pour conclure: La liberté guidée par la conscience
En définitive, ne plus revivre le cauchemar signifie ouvrir les yeux et agir.
Notre santé, notre liberté, notre capacité à penser par nous-mêmes sont nos biens les plus précieux, et nous ne pouvons plus nous permettre de les abandonner aux mains d’autorités aveugles ou corrompues.
La crise récente nous a douloureusement montré ce qui arrive quand la peur l’emporte sur la raison et que le citoyen s’efface derrière le “spectateur”. Mais de cette épreuve peut naître un formidable réveil des consciences.
Redevenons souverains de nous-mêmes!
Cela passe par l’information indépendante (lectures, échanges, éducation populaire), par la reconquête de notre autonomie (dans notre santé, notre alimentation, nos choix technologiques), et par la participation active aux décisions de société.
Chacun à notre échelle, nous pouvons devenir acteur du monde en mutation : le patient qui questionne son médecin et explore des alternatives, le parent qui apprend à ses enfants l’esprit critique, le voisin qui organise un jardin communautaire, le collectif qui interpelle un maire au sujet d’une antenne-relais, le consommateur qui boycotte les produits toxiques…
Ces mille actions convergent vers un même but : reprendre en main notre destin commun.
Ne comptons plus sur « ceux d’en haut » pour penser et décider à notre place. L’histoire a prouvé qu’il revient toujours au peuple éclairé de tracer la voie du changement. Nos dirigeants, soumis à des pressions et conflits d’intérêt, ne feront pas spontanément passer notre bien-être en premier – à nous de l’exiger, de le construire, de le vivre au quotidien.
La souveraineté en santé et en liberté n’est pas un cadeau, c’est une conquête de chaque instant.
Plus jamais nous ne voulons revivre la confusion, l’impuissance et la douleur d’être dépossédés de nos droits fondamentaux.
Alors agissons en amont, préparons le monde de demain dès aujourd’hui : un monde où l’individu informé et responsable collabore avec d’autres pour des décisions justes, où la science retrouve sa probité au service de la vie, où la technologie est maîtrisée par l’éthique, où l’économie se plie aux impératifs du bien commun.
Utopique ?
Non, inspirant.
C’est un défi colossal, mais exaltant – et nécessaire.
La bonne nouvelle, c’est que chacun de nous détient une partie de la solution.
Comme l’écrit Danièle Azout Malinalli, la clé est en nous : la liberté, la santé, ce trésor oublié, qui ne demande qu’à être réveillé.
Prenons-en soin, ensemble, et nous ne redonnerons jamais prise au cauchemar.
L’avenir nous appartient – à nous d’en devenir les acteurs éclairés, pour le meilleur.
Lectures inspirantes pour aller plus loin : Voici la liste des quelques ouvrages de référence cités dans cet article, pour approfondir chaque aspect de cette reconquête de soi :
- Le Mythe de la contagion – Pourquoi les virus ne sont pas la cause des maladies (S.F. Morell & T.S. Cowan, 2024) – Une remise en question radicale de la théorie des germes, explorant le rôle du terrain et des facteurs environnementaux (5G, toxiques…) dans les épidémies (Présentation du livre ici).
- En finir avec Pasteur – Un siècle de mystification scientifique (Dr Éric Ancelet) – Un livre culte qui dévoile les compromissions de la science pasteurienne et appelle à « changer de paradigme » pour retrouver une écologie microbienne équilibrée.
- En finir avec nos peurs (Dr Éric Ancelet également) – Disponible en téléchargement gratuit lors de votre inscription à notre newsletter (voir notre encadré dans la colonne de droite de cette page), ce texte fortifie notre souveraineté intérieure face à la peur.
- Cette “bouffe” qui nous tue ! (Dr Louis de Brouwer) – Le réquisitoire d’un médecin biologiste contre l’industrie agroalimentaire, détaillant le « cocktail explosif des poisons » dans notre alimentation quotidienne et fournissant les clés pour ne plus être dupé en faisant ses courses.
- La santé, ce trésor oublié ! (D. Azout Malinalli, 2023) – Le guide poétique et pratique d’une pharmacienne devenue naturopathe, pour se reconnecter aux lois naturelles de la santé (alimentation vivante, jeûne, lien au sacré) et redonner à chacun les clés d’une vitalité durable.
- Chroniques de médecine contestataire Tome 1 – Tome 2 – Tome 3 (Dr Vincent Reliquet, 2025) – Une trilogie percutante où un médecin de terrain expose avec rigueur les dangers de nombreux médicaments (paracétamol, antidépresseurs, vaccins…) et plaide pour une information médicale honnête, la vigilance et la liberté thérapeutique.
- Diététique du 21e siècle (Dr C.T. Schaller) – Un manuel de nutrition holistique qui prône la règle des 3V (Végétal-Varié-Vivant) et la conscience alimentaire, afin de retrouver énergie, immunité et plaisir de manger sans régimes frustrants.
- Pleine Santé – Vitalité, Immunité, Anti-Âge, Anti-Kilos (A. Andreu & Dr S. Résimont, 3e éd. 2023) – La « bible » de la médecine fonctionnelle illustrée, pour comprendre et traiter les causes racines des maladies chroniques. Un livre-mouvement qui redonne au lecteur le pouvoir de « reprendre le contrôle de [sa] vie » et d’atteindre une santé optimale durable.
- Les Dangers de la 5G pour la santé (blog Editions marco pietteur) – Dossiers et études scientifiques compilés sur les effets des ondes 5G, les conflits d’intérêts des instances officielles, et des conseils pratiques pour se protéger dès maintenant (réduction de l’exposition, actions locales).
- Reprendre le contrôle sur l’IA – 5 actions concrètes (blog Editions marco pietteur) – Un article manifeste qui liste des gestes simples pour se libérer de l’emprise algorithmique (désactiver les recommandations, choisir des outils alternatifs, éduquer son entourage, exiger une IA éthique).
- IA : illusion d’avenir – Les dangers de l’Intelligence Artificielle (Emmanuelle Darles, 2025) – Une plongée critique par une docteure en informatique dans la face cachée de l’IA. Ce livre démontre comment l’IA, loin d’être neutre, peut devenir un instrument de contrôle massif si l’on n’y prend garde, et propose des pistes pour ré-humaniser la technologie.
Un ouvrage essentiel pour prendre du recul et éviter de tomber dans le piège d’une “dictature des algorithmes”.
En nous inspirant de ces ressources et, surtout, en passant à l’action chacun à notre niveau, nous pourrons bâtir une société plus saine, plus libre et plus consciente.
Il n’y a pas de petite contribution dès lors qu’il s’agit de reprendre notre destin en main.
Ensemble, disons adieu à la peur et à la passivité, et ouvrons grand la porte à un futur choisi, éclairé par la connaissance et la responsabilité.
Nous ne revivrons plus jamais le cauchemar, parce que désormais nous sommes éveillés.
Chaque jour est une occasion de fortifier notre souveraineté personnelle et collective. Ne la laissons pas passer – l’avenir nous appartient, reprenons-en les rênes dès aujourd’hui.
💡 Pour aller encore plus loin : un guide offert pour dépasser vos peurs
La liberté commence là où s’arrête la peur.
Et s’il y a bien un levier psychologique que nos dirigeants ont exploité à outrance pendant la crise, c’est la peur : peur du virus, peur des autres, peur de sortir, peur de désobéir.
Pourtant, la peur est souvent un mensonge déguisé qui nous prive de notre souveraineté.
C’est pourquoi nous vous offrons le livre « Pour en finir avec nos peurs – Le guide pour reprendre le contrôle » : un petit guide clair, transformateur, pour comprendre comment naissent nos peurs, comment elles sont entretenues, et comment les désactiver durablement.
Ce livre vous permettra de poser les premières pierres de votre indépendance émotionnelle, et de vous affranchir des récits toxiques.
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Ne sous-estimez jamais ce pouvoir-là : le jour où vous n’avez plus peur, vous redevenez souverain.
Cet article est la conclusion de notre mini-série d’article à propos de cette crise.
Vous retrouverez les autres parties ici:
- Pandémie de mensonges : comment la santé publique a été trahie (Partie 1)
- Mensonges vaccin Covid : les contre-vérités d’Olivier Véran sur l’efficacité et la sécurité (Partie 2)
- Conséquences profondes de la propagande sur la médecine, la démocratie et les relations humaines – Mensonges officiels (Partie 3)
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Car dans ce monde où l’information est filtrée, chaque voix qui se lève compte.
Nous avons écrit cette série pour éveiller les consciences, pour tendre la main à ceux qui doutent encore, pour offrir des repères à ceux qui cherchent à voir autrement.
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