C’est une scène rare à Washington : Robert F. Kennedy Jr Sénat Big Pharma. Trois mots qui résument un affrontement tendu, presque théâtral, où Kennedy, désormais secrétaire à la Santé, a osé pointer du doigt un système qu’il accuse d’être « pourri de l’intérieur ». Pendant plus de trois heures, il a tenu tête à un Sénat hostile, dénonçant la corruption politique et l’emprise des laboratoires pharmaceutiques sur la santé publique.
Mais ce coup d’éclat n’est pas un hasard.
Depuis des années, Kennedy enquête, écrit et publie des livres qui dévoilent méthodiquement ce que beaucoup préfèrent ignorer.
Ses ouvrages ne sont pas des lectures faciles ou légères : ce sont des dossiers brûlants, parfois dérangeants, mais indispensables pour qui veut comprendre les forces à l’œuvre derrière les crises sanitaires et démocratiques.
- 📖 Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma – Leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique
Ce livre est sans doute le plus explosif : Kennedy y montre, preuves à l’appui, comment des figures de la santé et de la technologie, comme Anthony Fauci et Bill Gates, ont utilisé la peur et l’influence politique pour imposer une vision autoritaire de la santé publique. Ce n’est pas un pamphlet, mais une enquête fouillée, documentée, qui éclaire les propos qu’il tient aujourd’hui au Sénat. À lire si vous voulez comprendre comment la démocratie elle-même peut être compromise par des intérêts privés. - 📖 Labo P4 Wuhan : Que nous a-t-on caché ?
Derrière la pandémie se cache une histoire trouble de laboratoires, de financements opaques et de recherches à haut risque. Kennedy explore les zones d’ombre autour du fameux laboratoire de Wuhan, révélant ce que gouvernements et médias ont préféré passer sous silence. C’est un livre qui ne se lit pas avec légèreté, mais qui permet de connecter les points entre les mensonges du passé et les batailles politiques d’aujourd’hui. - 📖 Vacciné, Non-Vacciné
Le thème le plus explosif reste celui de la vaccination. Dans ce livre, Kennedy compare les données disponibles sur les populations vaccinées et non vaccinées, posant une question simple mais dérangeante : pourquoi tant d’opacité, si tout est sûr et transparent ? Ce n’est pas un ouvrage contre les vaccins, mais un plaidoyer pour la transparence et le consentement éclairé. En le lisant, on comprend pourquoi Kennedy a défié les sénateurs sur ce sujet, et pourquoi la liberté médicale est au cœur du débat.
Aujourd’hui, devant le Sénat, Kennedy ne fait que prolonger ce combat : mettre en lumière ce que Big Pharma et ses alliés politiques voudraient garder dans l’ombre.
Ses livres, bien que parfois inconfortables, sont des outils essentiels pour reprendre le contrôle de notre santé et de notre démocratie.
La vidéo intégrale de cette audience explosive:
La dénonciation d’un système corrompu
L’audience au Sénat restera comme l’une des plus tendues de ces dernières années. Pendant plus de trois heures, Robert F. Kennedy Jr. a fait face à un hémicycle décrit comme unanimement hostile, bien décidé à le faire taire. Mais loin de se laisser intimider, il a attaqué dès ses premiers mots :
« Le système de santé américain est pourri de l’intérieur. »
Son accusation ne visait pas seulement l’industrie pharmaceutique, mais aussi les sénateurs eux-mêmes, qu’il a accusés de protéger Big Pharma plutôt que les citoyens. Les noms d’Elizabeth Warren, Ron Wyden ou encore Michael Bennet ont été cités comme exemples de parlementaires liés, directement ou indirectement, aux financements de l’industrie.
Le constat est brutal : la corruption est systémique, et la politique sanitaire est guidée par l’argent plus que par la science.
Ce discours est en parfaite continuité avec l’enquête qu’il a publiée dans Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma – Leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique. Dans ce livre, Kennedy démontre comment un petit cercle d’acteurs, mêlant santé, politique et haute technologie, a construit un véritable empire basé sur la peur et la dépendance.
Lire cet ouvrage, c’est comprendre pourquoi Kennedy ose aujourd’hui s’opposer frontalement aux sénateurs: il ne s’agit pas d’une posture, mais du prolongement d’années de recherche et de dénonciation.
Ce n’est pas une lecture qui rassure, loin de là.
Mais c’est une lecture nécessaire, car elle permet de mettre des faits précis et des preuves sur ce que Kennedy dénonce désormais en direct au cœur du pouvoir américain.
Le CDC dans la tourmente
Si le Sénat était au centre de l’affrontement, le CDC (Centers for Disease Control and Prevention) a lui aussi été la cible d’accusations directes. Pour Robert F. Kennedy Jr., cette agence, censée protéger la santé publique, a failli dans sa mission au point de transformer les États-Unis en « le pays le plus malade du monde ».
Sa promesse est claire : réformer de fond en comble l’organisation, licencier les responsables des politiques sanitaires passées – ceux qui ont imposé les masques aux enfants, fermé les écoles, dissimulé les effets secondaires des vaccins – et recentrer la mission du CDC sur ce qui aurait toujours dû être sa priorité : les maladies infectieuses, la transparence et l’innovation médicale.
Ces critiques rejoignent directement les révélations contenues dans son livre Labo P4 Wuhan : Que nous a-t-on caché ?. Dans cet ouvrage, Kennedy met en lumière les dérives et les complicités autour de la recherche sur les virus, les financements opaques et les zones d’ombre qui entourent l’émergence du Covid-19.
Ce n’est pas une lecture rassurante – car elle expose un système où la science est parfois manipulée au service de la politique et de l’argent. Mais c’est une lecture essentielle, car elle donne des clés pour comprendre pourquoi les institutions comme le CDC ont perdu la confiance des citoyens et pourquoi Kennedy s’acharne à demander des comptes.
Lire ce livre, c’est voir comment l’histoire cachée des laboratoires et des politiques de santé prépare le terrain à l’affrontement que nous voyons aujourd’hui au Sénat.
Vaccins et controverses sanitaires
Au-delà du CDC, Robert F. Kennedy Jr. a consacré une grande partie de son audience à la question des vaccins. Dès ses débuts, il a été l’un des rares à dénoncer le rôle du Thiomersal, un conservateur à base de mercure utilisé pendant des décennies. Selon lui, ce produit est directement lié à l’explosion des cas d’autisme et de troubles neurologiques depuis la fin des années 80. Des publications scientifiques ont déjà mis en lumière les dangers du Thiomersal, poussant plusieurs pays à le retirer de leurs vaccins pédiatriques【source externe : OMS sur le Thiomersal】.
Mais les polémiques les plus brûlantes concernent les injections à ARNm contre le Covid-19. Kennedy affirme que des autopsies ont révélé des caillots sanguins anormaux, que des “turbocancers” foudroyants apparaissent à une fréquence inquiétante, et que la technologie ARNm elle-même est une “bombe à retardement biologique” dont les risques à long terme restent inconnus. Et il pose une question qui résonne comme un défi :
« Pourquoi un produit sûr et efficace ne supporte-t-il pas la transparence d’un vrai test placebo ? »
Ces arguments font écho à son ouvrage Vacciné, Non-Vacciné, qui explore les différences entre populations vaccinées et non-vaccinées. Loin des slogans simplistes, ce livre met en avant la nécessité d’un consentement éclairé et d’une information transparente pour chaque citoyen. Ce n’est pas une lecture confortable, car elle remet en cause une partie du discours officiel. Mais c’est une lecture vitale pour quiconque veut comprendre les véritables enjeux de la vaccination.
Pour approfondir cette thématique, nous vous invitons aussi à lire notre article dédié : Robert Kennedy Jr.: La croisade explosive contre un système de santé corrompu, qui détaille ses prises de position les plus marquantes contre l’industrie pharmaceutique.
Une Amérique fracturée autour de la liberté médicale
L’audience de Robert F. Kennedy Jr. au Sénat a mis en lumière une fracture profonde qui traverse aujourd’hui les États-Unis. Derrière les débats sur la santé, c’est une véritable bataille culturelle et politique qui se joue autour de la notion de liberté médicale.
D’un côté, des États comme la Floride, sous l’impulsion du gouverneur Ron DeSantis et de son chirurgien général Joseph Ladapo, ont choisi d’abolir les obligations vaccinales et de promouvoir le consentement éclairé. Cette approche met l’accent sur la responsabilité individuelle : chacun doit pouvoir décider librement de ce qu’il accepte – ou non – pour son corps et celui de ses enfants.
De l’autre, des États comme la Californie, l’Oregon et Washington se sont unis pour maintenir les vaccins recommandés par les institutions, même après les remises en cause du CDC. Pour eux, l’autorité scientifique et médicale doit primer sur les choix individuels, afin de protéger la collectivité.
Ce contraste donne naissance à deux Amériques : l’une qui revendique la liberté médicale comme principe fondamental, l’autre qui continue de croire en une approche centralisée et institutionnelle de la santé. Une polarisation qui ne cesse de s’amplifier, alimentée par des déménagements massifs de familles choisissant de vivre dans l’un ou l’autre de ces modèles.
Cette division illustre parfaitement ce que Kennedy dénonce depuis des années : la santé publique ne devrait pas être un champ de bataille idéologique, mais un espace de vérité et de transparence.
Or, tant que les intérêts de Big Pharma prévaudront, le fossé ne pourra que s’élargir.

Vers une “révolte biologique” ?
Au terme de cette audience électrique, Robert F. Kennedy Jr. n’a pas seulement dénoncé un système corrompu : il a lancé un véritable appel à la révolte citoyenne. Selon lui, les Américains – et plus largement les peuples du monde – doivent refuser de servir de cobayes aux intérêts de l’industrie pharmaceutique.
Il parle d’une “révolte biologique”, un mouvement où chaque individu reprend la souveraineté sur son corps et sur sa santé. « Nous ne sommes pas des cobayes », a-t-il martelé, rappelant que la liberté médicale est une condition non négociable de la démocratie.
Cette idée résonne bien au-delà des États-Unis. Elle rejoint un courant international de citoyens, de médecins et de chercheurs qui demandent plus de transparence, plus d’éthique et plus de responsabilité dans la gestion des politiques sanitaires. La crise du Covid n’a pas seulement révélé des failles médicales : elle a montré à quel point la confiance entre les institutions et les citoyens est fragile – voire déjà brisée.
Et c’est là que les livres de Kennedy prennent tout leur sens. Car pour comprendre pourquoi il en est arrivé à ce point de confrontation avec Big Pharma, il faut revenir à ses enquêtes, à ses travaux et aux preuves qu’il met en lumière.
un signal d’alarme et une offre unique pour comprendre son combat
L’audience de Robert F. Kennedy Jr Sénat Big Pharma n’est pas seulement un moment de tension politique. C’est un signal d’alarme, une invitation à ouvrir les yeux sur un système où la santé publique est trop souvent sacrifiée aux intérêts privés. Kennedy a osé dire tout haut ce que beaucoup soupçonnaient : la démocratie elle-même est en jeu lorsqu’une industrie peut dicter ses règles aux institutions censées la contrôler.
Mais pour vraiment comprendre la cohérence de son discours et la profondeur de son combat, il faut se plonger dans ses livres. Chacun éclaire un pan essentiel de cette lutte :
- 📖 Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma – Leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique : comprendre la collusion mondiale entre politique, technologie et industrie pharmaceutique.
- 📖 Labo P4 Wuhan : Que nous a-t-on caché ? : révéler les zones d’ombre sur les origines de la pandémie.
- 📖 Vacciné, Non-Vacciné : poser les vraies questions sur la vaccination et le consentement éclairé.
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Ces lectures ne sont pas forcément réjouissantes, mais elles sont indispensables. Parce que comprendre, c’est déjà agir.
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