novembre 6, 2025

Cancer et ivermectine: ce que des médecins découvrent, et que Big Pharma redoute

Pourquoi cette vidéo ci-dessous dérange autant

À première vue, cela pourrait passer pour une énième vidéo sur un “remède miracle”. Mais celle-ci est différente.

Pourquoi ?
Parce qu’elle est portée par un médecin canadien expérimenté, le Dr William Makis, spécialiste en radiologie, oncologie et médecine nucléaire. Un médecin ayant réalisé plus de 10 000 diagnostics de cancer, auteur de plus de 100 publications scientifiques, et qui ose affirmer publiquement que des antiparasitaires comme l’ivermectine, le mébendazole ou le fébendazole pourraient jouer un rôle majeur dans le traitement du cancer.

Ce que vous entendrez dans cette vidéo va à contre-courant de la doxa médicale actuelle. Le Dr Makis y défend une position simple mais explosive : des médicaments connus, peu coûteux, largement utilisés dans le monde pour des pathologies bénignes pourraient en réalité être des armes redoutables contre les cellules cancéreuses, notamment celles responsables des récidives.

Mais alors, pourquoi si peu d’essais cliniques ?
Pourquoi un tel silence ?
Pourquoi cette guerre contre l’ivermectine ?

C’est là que la vidéo devient véritablement dérangeante. Car au-delà des mécanismes biologiques évoqués, c’est le fonctionnement même de la recherche médicale, des agences sanitaires et de Big Pharma qui est remis en question.

Et c’est précisément ce que nous allons explorer dans la suite de cet article.

🎥 Regardez la vidéo ici : le Dr Makis vous expose ses découvertes sur les antiparasitaires et le cancer

Ce que dit vraiment la vidéo du Dr Makis

Le message du Dr William Makis, relayé dans cette vidéo, est sans détour.

Ancien radiologue d’un centre de cancérologie reconnu, il expose calmement, mais fermement, un constat qu’il juge dramatique : des molécules existantes, connues, éprouvées, sont volontairement ignorées par les institutions médicales, car elles ne rapportent rien. L’ivermectine, notamment, en est le parfait exemple.

Depuis la crise du Covid-19, ce médicament est souvent tourné en dérision, qualifié de “vermifuge pour chevaux”. Mais le Dr Makis rappelle un fait crucial : l’ivermectine est un médicament humain, primé par un prix Nobel, reconnu par l’OMS, et prescrit à plus de 4 milliards de personnes dans le monde.

Selon lui, ce traitement présente des effets anticancéreux puissants, aujourd’hui documentés dans plus de 400 études précliniques. L’ivermectine serait capable de :

  • bloquer la prolifération des cellules cancéreuses,
  • inhiber la formation de nouveaux vaisseaux sanguins tumoraux,
  • détruire les cellules souches cancéreuses, ces mêmes cellules responsables des récidives,
  • renforcer l’efficacité de la chimiothérapie et de la radiothérapie.

Et ce n’est pas tout : d’autres antiparasitaires, comme le mébendazole et le fébendazole, afficheraient des mécanismes d’action similaires.
Mieux encore, ces traitements seraient peu toxiques, très bien tolérés, et extrêmement peu coûteux.

Mais alors, pourquoi ne pas les étudier massivement ?

Parce que, selon le Dr Makis, les institutions médicales et les grands centres de cancérologie obéissent à des directives dictées, directement ou indirectement, par l’industrie pharmaceutique.
Et cette industrie n’a aucun intérêt à financer des essais cliniques sur des traitements dont les brevets sont tombés dans le domaine public.

C’est pour cela que la vidéo choque, bouscule, questionne.
Et c’est aussi pour cela qu’elle est précieuse : elle redonne la parole à un médecin qui place le patient, et non le profit, au centre de la médecine.

Pourquoi personne ne parle de ces résultats pourtant stupéfiants

On pourrait penser qu’un traitement aux effets aussi prometteurs sur le cancer, peu coûteux, connu, bien toléré, serait immédiatement l’objet d’essais cliniques de grande ampleur.

Et pourtant… rien. Aucun grand centre de cancérologie ne se saisit sérieusement du sujet. Pas d’essais randomisés, pas de protocoles officiels, pas même un débat public digne de ce nom.
Pourquoi ?

La réponse est aussi simple que dérangeante : l’ivermectine, le mébendazole ou le fébendazole sont des molécules anciennes, non brevetables, donc peu ou pas rentables pour l’industrie pharmaceutique.

Le Dr Makis l’explique clairement : « Ce sont des médicaments humains, validés, parfois primés par un prix Nobel. Mais les grands centres médicaux reçoivent leurs directives d’agences ou d’associations elles-mêmes financées par Big Pharma. »
En d’autres termes : ce qui ne rapporte rien n’est même pas envisagé.

Et ce n’est pas une théorie : c’est un constat. Ces molécules figurent sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS, et pourtant elles sont ridiculisées ou interdites dans de nombreux pays occidentaux.
Même les journalistes médicaux n’en parlent pas. Le sujet semble délibérément ignoré.

Mais une autre question se pose : pourquoi des médecins comme le Dr Makis prennent-ils tant de risques à alerter le public, parfois contre l’avis de leurs pairs ?
Parce qu’ils sont au contact du réel. Ils voient des patients en impasse thérapeutique. Ils constatent des rémissions.
Et ils savent que certains protocoles mériteraient d’être étudiés sérieusement.

Alors ils parlent. Et parfois, c’est tout ce qu’il leur reste.

Ivermectine et cancer: ce que dit vraiment la science

Ivermectine et cancer: un médicament qui dérange

Contrairement à ce que certains laissent entendre, l’ivermectine n’est pas un remède bricolé sur Internet ni un espoir sans fondement scientifique. C’est un médicament éprouvé, utilisé depuis plus de 40 ans, et étudié dans des centaines de publications sérieuses.

D’après le Dr William Makis, plus de 400 études précliniques ont été publiées à ce jour sur l’effet de l’ivermectine dans le traitement du cancer. La majorité de ces études indiquent des résultats encourageants, parfois spectaculaires. Elles ont été menées sur des lignées cellulaires cancéreuses, sur des souris, sur des modèles animaux… mais pas encore à grande échelle chez l’être humain.

Ces travaux montrent que l’ivermectine agit selon plusieurs mécanismes complémentaires :

  • elle bloque les voies de prolifération tumorale,
  • elle inhibe la capacité des tumeurs à créer de nouveaux vaisseaux sanguins,
  • elle neutralise les enzymes qui permettent aux cellules cancéreuses de se détacher et de former des métastases,
  • surtout, elle cible les cellules souches cancéreuses, responsables des récidives.

Ces cellules particulières sont la raison pour laquelle de nombreuses chimiothérapies échouent à éradiquer complètement un cancer. Elles résistent, survivent, et réactivent la maladie parfois des années plus tard. L’ivermectine, elle, semble capable de les atteindre.

La littérature scientifique sur ce sujet est déjà abondante.
Pourtant, presque aucun essai clinique de grande ampleur n’a été lancé. Et ce silence, plus que suspect, interroge.

Si les molécules comme l’ivermectine ou le mébendazole montrent un potentiel thérapeutique réel, pourquoi ne pas les étudier honnêtement, rigoureusement, ouvertement?

Des intérêts trop puissants pour laisser émerger la vérité ?

Si les résultats sont si convaincants, pourquoi l’ivermectine reste-t-elle absente des protocoles de traitement du cancer?
La réponse, selon le Dr Makis et d’autres médecins indépendants, tient en un mot : l’argent.

Les traitements classiques du cancer, chimiothérapies, immunothérapies, thérapies ciblées, peuvent coûter des centaines de milliers d’euros par an et par patient.
En face, l’ivermectine, le mébendazole ou le fébendazole coûtent quelques centimes la dose. Inutile de préciser qui a le plus d’intérêt à influencer les recommandations officielles.

Ajoutez à cela le fait que l’ivermectine est hors brevet depuis les années 1990, donc non rentable pour l’industrie pharmaceutique. Elle n’est tout simplement pas brevetable, et c’est précisément ce qui freine toute volonté d’investir dans des essais cliniques à grande échelle.

Ce mécanisme n’est pas nouveau. Il a déjà été largement exposé dans le combat autour de l’ivermectine et du COVID-19, que vous pouvez retrouver dans cet article :
👉 La vérité explosive sur la guerre contre l’ivermectine

De la même manière, les liens entre certains vaccins et la toxicité à long terme ont ouvert la voie à des réflexions autour de l’ivermectine comme outil de détoxification.
Un sujet traité ici :
👉 Détox vaccins ARNm et ivermectine : un lien méconnu

L’ivermectine, au croisement de tous ces enjeux, dérange.

Elle ne dérange pas parce qu’elle est inefficace. Elle dérange parce qu’elle est efficace, accessible, et incontrôlable par les structures qui dominent la médecine moderne.

Livre "La guerre contre l'ivermectine"

📘 À lire absolument :

La guerre contre l’ivermectine – Enquête sur une censure mondiale
Un livre indispensable pour comprendre comment un simple médicament peut devenir l’ennemi public numéro un… dès qu’il menace un système fondé sur le profit.

Ce que vous pouvez faire aujourd’hui

Si vous avez lu jusqu’ici, c’est que ce sujet vous touche. Peut-être parce que vous-même, ou un proche, êtes concernés par le cancer. Peut-être parce que vous en avez assez des vérités confisquées. Ou tout simplement parce que vous refusez que l’espoir soit réservé à ceux qui peuvent payer.

Alors que faire, concrètement ?

1. S’informer sans filtre
Avant toute décision, la connaissance reste l’arme la plus puissante. Vous pouvez visionner la vidéo du Dr Makis ci-dessus pour entendre de sa bouche ce que tant d’oncologues n’osent dire.
Et si vous voulez comprendre l’ampleur de la manipulation autour de ce médicament, plongez dans l’article suivant :
👉 Ivermectine et COVID : la vérité explosive

2. Soutenir les lanceurs d’alerte
Lire, partager, faire circuler cette information, c’est déjà un acte de résistance. Plus nous sommes nombreux à savoir, moins ils pourront faire taire. Diffusez cet article, relayez la vidéo, parlez-en autour de vous.

3. Lire le livre-enquête incontournable
Parce qu’il rassemble des mois de recherches, des témoignages et des faits troublants, le livre “La guerre contre l’ivermectine” est une clé.
Il permet de prendre du recul, de comprendre les stratégies de censure, et surtout de ne plus se laisser manipuler.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Avez-vous déjà entendu parler de l’usage de l’ivermectine contre le cancer ?
Croyez-vous encore en une médecine libre et indépendante ?
👉 Partagez votre avis en commentaire.
Vos retours sont essentiels pour faire vivre ce débat et ouvrir d’autres consciences.

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