octobre 16, 2025

L’inversion morale du pouvoir: comment le chaos est devenu un outil de gouvernance

Depuis la crise du COVID-19, de plus en plus de citoyens éveillés commencent à percevoir ce que certains décrivent comme une inversion morale du pouvoir : un monde où les autorités prétendent protéger, mais nuisent ; où elles parlent d’éthique tout en piétinant les consciences ; où elles imposent des lois au nom du bien… pour mieux faire taire la vérité.

Cette distorsion entre les paroles et les actes n’est pas accidentelle. Elle serait, selon la psychologue Marion Saint Michel, la signature même d’une stratégie politique profondément perverse, visant à inverser le sens du bien et du mal pour désorienter la population et la rendre malléable.

Dans cette vidéo désormais virale, Marion Saint Michel expose une thèse dérangeante: ce que beaucoup considèrent comme de l’incompétence ou de la maladresse de la part des gouvernants ne serait en réalité qu’un programme froidement orchestré, mûri de longue date.
Son fil conducteur?
Une mécanique de l’inversion, pervertir le langage, brouiller les repères moraux, manipuler les émotions, afin de renverser les bases mêmes de notre discernement collectif.

livre "Gouvernance perverse"

Et si le véritable pouvoir n’était plus politique, mais psychologique et symbolique?
Et si le chaos n’était pas une erreur de parcours, mais un outil délibéré de domination?

Dans cet article, nous décryptons les points clés de son intervention, et nous vous invitons à une lecture salutaire pour l’esprit critique : Gouvernance perverse, un livre choc disponible aux Éditions marco pietteur, qui complète parfaitement cette grille d’analyse et donne les clés pour comprendre, et sortir, de ce piège mental soigneusement tissé autour de nous.

👉 À lire ici: Gouvernance perverse – Le livre

Quand le mensonge devient vertu

Ce que Marion Saint Michel nous donne à voir dans cette vidéo, c’est un basculement profond et méthodique des repères moraux. Dans un monde normal, protéger les enfants, soigner les malades et respecter les anciens relèvent de l’évidence.

Mais dans le nouveau paradigme qu’elle décrit, ces valeurs sont systématiquement inversées.
Les enfants deviennent des cobayes masqués, les anciens sont isolés puis « aidés à mourir », les traitements naturels sont diabolisés… pendant que l’on érige le mensonge en vertu publique.

C’est cette mécanique de l’inversion morale du pouvoir qu’elle décortique avec une clarté rare : le pouvoir ne se contente plus de manipuler les faits, il dénature le bien pour imposer le mal comme seule option légitime. Le résultat est une confusion généralisée, où toute critique passe pour un danger, tout appel au bon sens pour un “complot”.

🎥 Regardez l’analyse complète de Marion Saint Michel ici:

Dans cet entretien puissant, elle expose pourquoi le discours officiel ne peut plus être cru sans être retourné. Chaque mesure dite “sanitaire” aurait servi à tester notre obéissance, à accélérer un agenda plus vaste, eugéniste, totalitaire, et fondamentalement inhumain.

En écoutant ses mots, une évidence s’impose : l’ennemi n’est plus extérieur, il est dans le langage, dans la narration imposée par les puissants, dans cette propagande douce qui fait du mal… au nom du bien.

Derrière le chaos apparent : une stratégie ancienne et bien huilée

inversion morale du pouvoir, une technique bien huilée
Quand le pouvoir déguise ses chaînes en “progrès”,
il faut apprendre à lire à l’envers.
L’inversion morale du pouvoir n’est pas une théorie,
mais une stratégie.
Regardez bien les ficelles…
et demandez-vous: êtes-vous encore libre?

Ce que beaucoup prennent encore pour de l’improvisation gouvernementale ou de la simple incompétence est, selon Marion Saint Michel, le fruit d’un plan longuement mûri. Rien de ce qui s’est passé depuis 2020 ne serait accidentel. Tout répondrait à une logique vieille de plusieurs décennies : celle d’un contrôle total, établi pas à pas, sous couvert de progrès, de science ou de sécurité.

L’éducation a été appauvrie, la médecine dévoyée, les familles disloquées, la liberté peu à peu remplacée par des droits conditionnels. Cette lente dérive ne vise pas seulement à affaiblir les peuples.
Elle s’inscrit dans un processus d’inversion morale du pouvoir, où ce qui détruit est présenté comme salvateur, et ce qui soigne, comme dangereux ou complotiste.

Plus inquiétant encore, cette stratégie s’appuie sur une ingénierie sociale sophistiquée: abêtir, diviser, détourner. Il ne s’agit pas de nous guider vers le bien commun, mais de rendre l’humanité gouvernable par fragmentation.
Chaque scandale apparent masque un mécanisme d’assujettissement plus profond.

Les références citées par l’auteure (Pierre Hillard, John Coleman…) montrent que cette manipulation ne date pas d’hier. Mais la crise du COVID a servi de catalyseur: l’heure n’est plus au conditionnement discret, mais à l’imposition brutale.
Et tant que les citoyens refuseront de reconnaître ce changement de paradigme, ils continueront à croire qu’ils vivent dans une démocratie… alors que tout, jusqu’au langage, est falsifié.

Gouverner par inversion: la nouvelle forme de totalitarisme

Nous ne sommes plus confrontés à un pouvoir qui réprime par la force visible. Le totalitarisme moderne agit de manière bien plus pernicieuse: il dérègle les repères moraux, manipule les perceptions, et transforme le mensonge en norme.
C’est ce que Marion Saint Michel appelle une inversion morale du pouvoir, où le Bien est accusé d’être dangereux, tandis que le Mal s’érige en protecteur.

Le citoyen n’est plus sommé d’obéir, il est séduit, culpabilisé, puis enrôlé dans sa propre soumission. Ce ne sont pas des militaires dans les rues, mais des logos rassurants, des slogans empathiques, des campagnes de communication émotionnelles, qui dictent les comportements.
« C’est pour votre sécurité », « pour protéger les plus fragiles », « pour le bien commun »… Et pendant ce temps, la liberté se réduit à une peau de chagrin.

L’inversion morale du pouvoir opère comme une drogue. Elle apaise les esprits tout en détruisant leur lucidité.
Celui qui dénonce devient un dangereux extrémiste; celui qui questionne, un complotiste.
Et celui qui obéit, un héros citoyen décoré par la propagande.

Mais ce totalitarisme n’a plus besoin d’un dictateur. Il est diffus, algorithmique, participatif. Il infiltre les réseaux sociaux, les écoles, les hôpitaux, les bureaux, les familles.
Le pouvoir s’est fragmenté… mais son emprise n’en est que plus totale.
Et le plus terrible, c’est que ce système pervers nous apprend à aimer notre propre servitude.

Pourquoi il faut lire Gouvernance perverse pour comprendre ce renversement du réel

Si vous avez ressenti un malaise grandissant face aux injonctions contradictoires, aux discours déconnectés du bon sens, aux politiques sanitaires et sociales qui semblent faire tout l’inverse de ce qu’elles promettent… vous n’êtes pas seul. Ce que vous pressentez confusément a un nom. Et ce nom, c’est gouvernance perverse.

Gouvernance perverse

Dans ce livre puissant, clair et rigoureusement documenté, Marion Saint Michel expose les mécanismes psychologiques et politiques d’un pouvoir qui ne cherche plus à servir, mais à manipuler. À travers des analyses croisées de la gestion du Covid, de l’école, de la médecine ou encore des médias, elle montre comment l’inversion du langage, des valeurs et des intentions est devenue la norme des élites gouvernantes.

Ce livre n’est pas un pamphlet. C’est un outil de libération intellectuelle, une boussole pour retrouver la clarté, nommer l’indicible, et sortir de la sidération.

Vous avez trouvé cet article éclairant? Dérangeant? Troublant?
Partagez vos impressions dans les commentaires ci-dessous. Nous avons besoin d’échanger pour retrouver notre discernement collectif.

Et surtout, lisez “Gouvernance perverse” dès aujourd’hui.
Ce livre pourrait bien changer votre regard sur le monde, et vous redonner les clés pour penser librement.

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Et vous, qu’en pensez-vous?

Avez-vous, vous aussi, ressenti ce renversement des valeurs dans votre quotidien? Cette impression que plus rien n’a de sens, que le discours officiel contredit la réalité vécue?
Partagez votre ressenti, vos observations, ou vos expériences personnelles en commentaire.
C’est en mettant des mots sur l’invisible que nous reprenons du pouvoir.

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