La pandémie de Covid-19 a fait émerger de nombreuses interrogations, mais peu sont aussi préoccupantes que celles concernant l’impact du vaccin Covid sur la fertilité.
Alors que les campagnes de vaccination ont été massivement déployées, une analyse indépendante des documents internes de Pfizer, menée par Naomi Wolf et son équipe d’experts, dévoile des informations troublantes sur les conséquences de ces injections sur la reproduction humaine.
Des documents secrets dévoilés
Grâce à une action en justice menée par l’avocat Aaron Siri, Pfizer a été contraint de rendre publics 450 000 documents internes que la FDA souhaitait garder confidentiels pendant 75 ans.
Ces documents, soigneusement analysés par 3 250 experts bénévoles sous la coordination de Naomi Wolf, ont révélé des données préoccupantes, en particulier sur l’impact du vaccin Covid sur la fertilité des femmes et des hommes.
Une autorisation d’urgence au détriment de la prudence
Les vaccins à ARNm ont été autorisés via une procédure exceptionnelle d’Utilisation d’Urgence (EUA), évitant ainsi les protocoles classiques de tests de longue durée. Naomi Wolf souligne que les premiers rapports de Pfizer faisaient état de 12 125 décès et plus de 140 000 effets secondaires graves dès les premiers mois de la campagne vaccinale. Mais ce qui est le plus alarmant, c’est le focus marqué de ces documents sur la santé reproductive, alors même que le Covid-19 est une maladie respiratoire.
Une vidéo Choc à ne pas manquer
Naomi Wolf s’exprime sans détour sur ces révélations dans une interview percutante.
🎬 Regardez la vidéo complète ici :
Prenez le temps de visionner cette intervention pour comprendre la gravité des enjeux évoqués.
Quels risques pour la fertilité féminine ?
Les documents internes de Pfizer détaillent des cas de troubles menstruels graves :
- 15 000 femmes signalant des saignements anormaux quotidiens
- 10 000 femmes ayant perdu complètement leurs règles
- 7 500 femmes subissant des hémorragies deux fois par mois
Des effets qui touchent toutes les tranches d’âge, des jeunes filles de 10 ans aux femmes de 85 ans.
Les rapports indiquent également des lésions placentaires, responsables d’une augmentation de 40 % du taux de mortalité maternelle et fœtale. Les nanoparticules lipidiques traverseraient les membranes corporelles, compromettant l’apport d’oxygène et de nutriments essentiels au fœtus.
➡️ Une étude scientifique publiée dans la revue Particle and Fibre Toxicology confirme que certaines nanoparticules, en fonction de leur taille et de leur composition, peuvent franchir la barrière placentaire et atteindre le fœtus, avec des conséquences potentielles sur le développement in utero.
➡️ Translocation of (ultra)fine particles and nanoparticles across the placenta
Qu’en Est-il de la fertilité masculine ?
Les documents Pfizer révèlent que les hommes vaccinés étaient officiellement invités à éviter les relations sexuelles non protégées avec des femmes en âge de procréer, recommandant même deux moyens de contraception.
Naomi Wolf rapporte également une inquiétante augmentation de l’infertilité masculine, basée sur des données officielles canadiennes et des études supplémentaires. Des dommages irréversibles pourraient aussi toucher les bébés garçons exposés in utero, mettant en péril leur capacité future à procréer.
Allaitement et risques pour les nourrissons
Les effets des vaccins à ARNm ne s’arrêteraient pas à la conception. Les bébés allaités par des mères vaccinées auraient été exposés à des substances toxiques, notamment le polyéthylène glycol. Certains nourrissons ont présenté des symptômes graves et, dans un cas tragique, un bébé serait décédé après avoir convulsé suite à l’allaitement.
Des naissances en forte baisse : Une corrélation inquiétante
Les statistiques officielles révèlent une baisse des naissances de 13 à 20 % dans les pays occidentaux. Une étude réalisée en République tchèque indique même une chute de 30 % des naissances chez les femmes vaccinées par rapport aux non-vaccinées.
Naomi Wolf affirme que Pfizer était parfaitement conscient de ces conséquences dès avril 2021.
Une intention cachée ?
Naomi Wolf va plus loin en évoquant l’hypothèse d’une intentionnalité derrière ces impacts. Elle établit une comparaison lourde de sens avec les expérimentations inhumaines du passé, dénonçant ce qu’elle considère comme une fraude et un crime contre l’humanité.
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