La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) est l’une des principales causes de cécité dans le monde. Touchant déjà près de 200 millions de personnes, elle devrait concerner plus de 280 millions de malades d’ici 2040.
Pourtant, malgré des traitements coûteux et très lourds, les patients restent piégés dans une dépendance médicale à vie.
Dans une interview passionnante, le Dr Richard Luscan, ophtalmologiste et chirurgien, tire la sonnette d’alarme : il dénonce la corruption du système médical et l’influence écrasante de Big Pharma qui bloque toute innovation non rentable.
Mais il présente aussi des pistes inédites et encourageantes pour un véritable DMLA traitement alternatif, fondé sur des approches chirurgicales et biologiques novatrices.
🎥 Regardez l’entretien complet ici :
Comprendre la DMLA : une maladie qui détruit la vision
La DMLA est une pathologie oculaire qui s’attaque au centre de la rétine, appelé macula. C’est cette zone qui permet de lire, de reconnaître les visages et de percevoir les détails fins. Lorsque la macula se dégrade, la vision centrale disparaît progressivement, laissant place à une tâche sombre irréversible.
Il existe deux formes principales de la maladie :
- La DMLA sèche (atrophique) : elle représente la majorité des cas. Ici, l’épithélium pigmentaire, une fine couche de soutien des cellules visuelles, s’atrophie et n’arrive plus à régénérer correctement les photorécepteurs. Résultat : les cellules meurent par apoptose et ne sont pas remplacées. La perte de vision est lente, mais irréversible.
- La DMLA humide (néovasculaire) : plus rare mais plus agressive. De nouveaux vaisseaux sanguins anormaux apparaissent sous la rétine, provoquant des fuites, des œdèmes et parfois des hémorragies. Dans ce cas, la vision peut être détruite en quelques semaines seulement.
Le Dr Luscan compare ce phénomène à un processus d’accumulation de déchets que l’œil ne parvient plus à éliminer. Ce mécanisme n’est pas sans rappeler d’autres maladies liées au vieillissement, comme Alzheimer ou Parkinson. La DMLA ne serait donc pas une fatalité isolée, mais un symptôme d’un dysfonctionnement plus large du vieillissement cellulaire.
Les limites et les dérives des traitements actuels
Aujourd’hui, la médecine conventionnelle ne propose pas de solution curative à la DMLA. Pour les formes dites humides, le protocole repose sur des injections intraoculaires d’anticorps anti-VEGF. Ces molécules, initialement conçues pour traiter certains cancers, visent à bloquer la croissance des vaisseaux sanguins anormaux qui endommagent la rétine.
Si cette approche peut ralentir temporairement l’évolution de la maladie, elle ne traite pas la cause profonde. Le patient doit se soumettre à une véritable dépendance médicale, avec des injections répétées tous les mois ou tous les deux mois, parfois pour le reste de sa vie. Une perspective lourde et anxiogène.
À cela s’ajoute un coût colossal : entre 800 et 1 200 euros par injection, multipliés par 8 ou 9 séances par an, et par des centaines de milliers de patients. Rien qu’en France, la facture dépassait déjà 580 millions d’euros en 2016.
Le Dr Luscan rappelle que des alternatives moins coûteuses, comme l’Avastin (initialement développé contre le cancer), avaient montré leur efficacité. Mais son usage a été freiné, voire découragé, sous la pression des laboratoires pharmaceutiques. Pourquoi ? Parce qu’une ampoule de 200 euros permettait jusqu’à 40 injections ophtalmologiques, un coût dérisoire comparé aux solutions « validées » et bien plus lucratives.
Pour le Dr Luscan, ce modèle illustre parfaitement la logique actuelle : soigner les symptômes sans jamais résoudre la cause, au prix d’une dépendance infinie des patients et d’un jackpot financier pour Big Pharma.
Les solutions alternatives du Dr Luscan
Face aux limites des traitements classiques, le Dr Richard Luscan a choisi une autre voie : chercher à corriger les causes profondes de la DMLA, plutôt que d’entretenir les patients dans une dépendance coûteuse et interminable.
La chirurgie de revascularisation
Inspiré par les travaux du Dr Myrie Bonet, il a adapté une technique chirurgicale novatrice : le néo-recrutement rétrograde d’origine veineuse. L’objectif ? Restaurer l’équilibre hémodynamique de l’œil en redirigeant le flux sanguin pour revasculariser la rétine.
Concrètement, cette intervention permet de réactiver la circulation dans la choroïde, le tissu le plus vascularisé du corps humain, essentiel à la survie des cellules visuelles.
- Résultats : sur près de 600 cas traités, le taux de succès dépasse 60 %, et atteint jusqu’à 70 % lorsqu’elle est associée à un traitement laser.
- Avantage majeur : une seule intervention, réalisée sous anesthésie locale, suffit. Pas besoin d’injections répétées à vie.
- Impact : au lieu de ralentir la maladie, la chirurgie peut même résorber les dépôts initiaux (drusen) et freiner durablement la progression de la DMLA.
L’usage thérapeutique de l’EPO
Autre piste audacieuse explorée par le Dr Luscan : l’érythropoïétine (EPO). Connue comme hormone stimulant la production de globules rouges, elle possède également des propriétés anti-apoptotiques et anti-inflammatoires. Injectée directement dans l’œil, elle a montré des résultats étonnants, notamment dans le traitement de certaines occlusions veineuses.
L’idée est de combiner l’EPO avec d’autres approches, comme les anti-VEGF, mais dans une logique de stabilisation durable du système visuel, et non d’entretien symptomatique.
Ces solutions alternatives offrent un espoir considérable. Pourtant, elles peinent à être reconnues. Malgré des résultats prometteurs, elles se heurtent au mur de l’institution médicale et à l’inertie d’un système dominé par les intérêts financiers.
Lumière, biologie et médecine quantique
Au-delà de la chirurgie et des traitements pharmacologiques, le Dr Richard Luscan insiste sur l’importance de facteurs souvent négligés par la médecine conventionnelle : la lumière naturelle, la biologie globale et même certaines pistes de la médecine quantique.
Le rôle fondamental de la lumière
Nos yeux ne sont pas seulement des capteurs d’images : ils sont synchronisés par la lumière. Selon le Dr Luscan, la lumière bleue du matin, indirecte mais riche en énergie, joue un rôle essentiel pour « calibrer » nos cellules visuelles et prévenir certains troubles comme la myopie.
À l’autre extrémité du spectre, les infrarouges du crépuscule stimulent la régénération cellulaire et favorisent la circulation sanguine. Or, notre mode de vie moderne, saturé d’écrans LED et de lumières artificielles constantes, perturbe ce rythme naturel, avec des effets délétères sur la santé visuelle.
Une vision plus intégrée de la médecine
Pour le Dr Luscan, la médecine classique reste trop enfermée dans une logique chimique et protocolisée. Elle ignore des phénomènes pourtant observables, comme la mémoire de l’eau, l’influence des cycles lunaires ou la capacité des oiseaux migrateurs à s’orienter grâce aux champs magnétiques et à la lumière bleue.
Ces phénomènes, longtemps considérés comme marginaux ou pseudo-scientifiques, pourraient bien ouvrir la voie à une compréhension plus fine des mécanismes biologiques. L’exemple de la photobiomodulation (utilisation de la lumière infrarouge pour régénérer la peau ou stimuler la pousse des cheveux) montre que ces pistes, loin d’être fantaisistes, trouvent déjà des applications concrètes.
Un appel à l’ouverture scientifique
Au cœur de son message, le Dr Luscan en appelle à une curiosité renouvelée et à un dépassement des dogmes. La médecine, dit-il, ne peut se réduire à l’application de protocoles définis par l’industrie pharmaceutique. Elle doit redevenir un espace d’exploration, ouvert à des approches innovantes, même si elles ne sont pas immédiatement rentables.
Repenser la santé oculaire et la médecine
Le témoignage du Dr Richard Luscan dépasse largement le cadre de la seule DMLA. Il révèle les limites d’un système médical verrouillé, où les traitements les plus coûteux sont privilégiés, tandis que les approches novatrices sont ignorées, voire combattues.
À travers ses recherches et ses expérimentations, il démontre qu’il existe des alternatives crédibles aux injections à vie imposées aux patients : la chirurgie de revascularisation, l’usage de l’EPO, ou encore la prise en compte de la lumière naturelle dans la santé visuelle.
Mais son expérience met aussi en lumière une vérité dérangeante : les blocages institutionnels et les pressions de l’industrie pharmaceutique freinent l’innovation médicale, au détriment des malades.
Son message est clair : il est temps de sortir de la logique purement mercantile pour redonner à la médecine son rôle premier — soigner en s’attaquant aux causes profondes des maladies, et non en entretenant indéfiniment les symptômes.
👉 Que pensez-vous de l’approche du Dr Luscan face à la DMLA et aux limites de la médecine actuelle ?
Connaissiez-vous l’importance de la lumière naturelle et des champs biologiques dans la santé de vos yeux ?
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Un combat commun : résister à la médecine verrouillée
À travers son parcours et ses découvertes, le Dr Richard Luscan s’inscrit dans une lignée de praticiens lucides et courageux, qui refusent de se soumettre aux diktats d’une médecine devenue dépendante des protocoles, des lobbies et des intérêts financiers.
C’est ce même esprit de résistance qu’incarne le Dr Michel Geffard-Reliquet, dans une œuvre magistrale en trois volumes : Chroniques de médecine contestataire.
Ces ouvrages puissants mettent en lumière les dérives systémiques, les conflits d’intérêts, mais surtout, les chemins possibles vers une médecine plus humaine, plus intégrative, et pleinement ancrée dans le soin véritable.
Si le témoignage du Dr Luscan vous a interpellé, ces livres sont une suite naturelle à votre prise de conscience.
📘 Tome 1: Je pense librement, donc je soigne mieux
🧠 Un médecin ose dire tout haut ce que beaucoup murmurent en silence : le soin commence par la pensée libre.
Dans ce premier tome décapant, le Dr Geffard-Reliquet démonte les dogmes qui entravent l’exercice de la médecine moderne.
Avec lucidité et érudition, il appelle à une libération des esprits, à une reprise de pouvoir par les soignants… et les patients.
Un ouvrage essentiel pour retrouver du sens dans l’acte de soigner.
Un livre pour toutes celles et ceux qui refusent d’obéir sans réfléchir.
📙 Tome 2: Déprogrammation médicale en cours
Ce deuxième tome est une plongée fascinante dans les coulisses des programmes implicites qui régissent la médecine actuelle.
Comment la formation des médecins est-elle structurée pour éteindre l’esprit critique ?
Pourquoi certains traitements sont-ils promus, malgré leur inefficacité ?
Et surtout : comment sortir du piège et redéployer une médecine du discernement ?
Le Dr Geffard-Reliquet démonte les engrenages, point par point.
À lire d’urgence pour réapprendre à penser par soi-même dans un monde médical formaté.
📕 Tome 3: Le remède au consentement fabriqué
Ce dernier volet est le plus percutant. Il aborde de front la question du consentement manipulé et du rôle des médias, des institutions et des experts dans la fabrication du récit médical dominant.
Avec des exemples concrets et une analyse tranchante, le Dr Geffard-Reliquet révèle comment l’opinion médicale est orientée à grande échelle… au détriment des libertés individuelles et de la vérité scientifique.
Ce livre offre les clés pour retrouver son autonomie intellectuelle, spirituelle et thérapeutique.
Une lecture-choc qui ouvre les yeux… et les consciences.