août 20, 2025

Coup de gueule d’un lecteur après « Sociétés du chaos organisé »

Un lecteur fidèle a souhaité partager avec nous son ressenti après la lecture du livre « Sociétés du chaos organisé » de Richard Durastante.
Voici son coup de gueule intégral, publié tel quel, afin de respecter sa parole.


COUP de GUEULE du SAMEDI 16 AOÛT 2025

Au détour de la lecture du livre de Richard DURASTANTE, psychologue clinicien, « SOCIÉTÉS DU CHAOS ORGANISÉ », par lui-même de grand intérêt ( et, au sujet duquel je reviens dans la fin de cet article), j’ai relevé la phrase suivante :

Sociétés du chaos organisé

« Cette période de crise met en valeur les fragilités du lien social, entre autres les attitudes rejetantes de la société vis-à-vis des personnes âgées. »

Certes, il sera facile de m’objecter que « je plaide pour ma paroisse », mais nombre d’échanges avec des personnes dont l’avenir est,( comme pour moi)… derrière eux, m’ont montré qu’il ne s’agissait nullement de mes seules préoccupations.

Je ne peux oublier comment furent traités les anciens en Ehpad durant la mystification du Covid.
Ceux qui avaient échappé au fameux virus, ont été rattrapés par des « soins » palliatifs tels le Remdesivir ou plus tard par un isolement tout aussi mortel, qu’il soit physique ou psychologique.

Au nom d’une soi-disant efficacité économique, les VIEUX doivent être progressivement éliminés car ils ne produisent plus de valeurs et ne consomment plus suffisamment, en dehors des dépenses de santé.

Cette élimination peut se faire par un étranglement financier, appuyé comme habituellement sur des raisons de moralité : « Il n’est pas normal que les retraités gagnent plus que les actifs ! », même si l’affirmation est très globalement fausse et, de plus ignore délibérément que nombre d’entre eux ont eu une rémunération amputée du financement de la retraite de leurs anciens.

Les attaques de l’oligarchie au pouvoir (dont tous ne sont pas de prime jeunesse !) s’attachent à leur liberté de déplacement, la dernière en date voudrait au moins restreindre la faculté de conduire leur automobile.

Elle vient s’ajouter aux diverses contraintes informatiques et aux modifications de procédures incessantes (codes, surcodes, QR codes) ainsi que de matériels, à un rythme suffisamment rapide pour en restreindre la maîtrise.

J’ajouterais que ceux des vieux qui ont réussi à garder leur libre arbitre se gardent bien de faire usage de toute la panoplie des utilisations possibles, très souvent remarquables, dont les buts pervers sont de piller les données individuelles et de décharger la personne de tout effort intellectuel !

Ajoutons que les jeunes d’aujourd’hui seront les vieux de demain ( si la vie arrive à perdurer sur cette Terre) et que le Jacques ATTALI qui avait affirmé : « que l’on soit en système socialiste ou capitaliste, l’euthanasie sera un mode normal de régulation » est maintenant muet sur ce sujet!


Ceci étant dit, je reviens à ce bouquin de Richard DURASTANTE, riche (parfois presque trop) de son expérience de praticien effectif (et non de plateau de télévision), de sa grande culture personnelle à multiples facettes et surtout de son propre questionnement existentiel, sur lui-même comme sur sa spécialisation.

  • Compte tenu de « suicides » récents de personnes ayant émis des critiques argumentées à l’encontre des puissants, il fait de plus montre d’un grand courage voire de témérité en écrivant dès son préambule :
    « Il y a belle lurette que le Pouvoir n’a plus rien à offrir à la population, d’autant plus que le développement …. des nouvelles technologies rend les humains de plus en plus inutiles au regard de ces bouches à nourrir dont les « élites » financières se passeraient bien … (ces) ultra-riches qui culminent au-dessus des États et s’enrichissent entre eux sur le dos des humains ».
    Comment mieux résumer le fond de ma pensée ?
  • Il poursuit sa thèse d’une gouvernance perverse par le chaos et de sa modification intentionnelle du mode de vie d’un groupe humain, comme s’il s’agissait d’une évolution naturelle (wokisme, transgenre, sexualité, atomisation des liens sociaux).
  • J’aimerais partager son optimisme, quand il écrit que, vaccinés ou non (injfectés selon mon vocabulaire) :
    « De plus en plus s’éveillent, et trouvent peu à peu le sens de tout ce que nous vivons depuis 2020 et comprennent l’immense corruption du système et s’en éloignent. »
  • Un concept qu’il partage avec Zygmunt BAUMAN est celui d’une identité liquide de l’individu où la marginalité est érigée en nouvelle norme (chacun s’accordant le droit de changer de sexe quand il le souhaite, et ce même dès l’enfance).
    Ceci créerait une désorganisation organisée et avec elle, la disparition du pouvoir de l’État-nation ainsi que la transformation du citoyen en une machine programmable.
  • Il n’hésite pas à critiquer l’inversion accusatoire, ( de plus en plus pratiquée) qui martèle dans les médias dominants les mots de complotiste, raciste, antisémite …
    Il n’hésite pas à citer comme exemple :
    « Ceux qui font la guerre en Ukraine contre les Russes et les populations locales sont des bataillons Azov constitués de nazis ukrainiens, arborant la croix gammée et les insignes de la division Das Reich … ce qui ne dérange pas … les gouvernements européens et étasunien qui financent ces bataillons » ou encore : « la mort c’est la liberté, le vaccin mortel c’est la vie. Le pass vaccinal c’est un devoir de citoyen … La question qui continue à se poser … Jusqu’où les populations sont capables d’aller dans leur tolérance vis-à-vis des attaques contre les libertés les plus fondamentales, et contre ce qui est visé, à savoir la destruction de l’espèce humaine. ».
    Ici encore, je ne peux m’inscrire en faux !
  • S’il fait beaucoup référence à Sigmund FREUD et notamment à son ouvrage : « Psychologie des foules et analyse du moi », il cite aussi Noam CHOMSKY dans « Fabriquer un consentement » pour déplorer que des maîtres forts et même brutaux aient imposé à la foule « le monde matérialiste faussement confortable que les meneurs ont construit pour elle … un monde numérique et robotique où l’humain serait transformé en esclave … Le hasard n’existant pas, le petit coronavirus arriverait … ».
    Sans autre commentaire !!

Signé :

Jacques Baul


Remerciements & invitation

Nous remercions chaleureusement ce lecteur pour son témoignage courageux et sa réaction spontanée après la lecture du livre.

👉 Et vous, qu’en pensez-vous ?
Avez-vous vécu ou observé ces mêmes dérives dans notre société ?
Partagez vos réflexions en commentaire ci-dessous.
Votre avis compte pour enrichir ce débat nécessaire.


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