mai 30, 2025

Corruption des revues scientifiques : ce que révèle enfin le Pr Didier Raoult

Et si la science n’était plus qu’un décor ? Un outil au service de puissances financières plus préoccupées par leur rentabilité que par la vérité ? C’est l’accusation – grave, mais limpide – formulée par plusieurs figures de premier plan de la médecine mondiale, et relayée avec vigueur dans une récente intervention du Pr Didier Raoult.

Dans cette vidéo percutante, l’ex-directeur de l’IHU Méditerranée-Infection revient sur les propos choc de Martine Angell, ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine (NEJM), qui déclare avec amertume : « Nous sommes devenus le vaisseau amiral de la propagande pharmaceutique. » Quant à Richard Horton, rédacteur du Lancet, il avoue que la moitié de la littérature scientifique publiée serait désormais fausse, biaisée, voire corrompue.

Derrière ces aveux retentissants, un mot revient comme un couperet : corruption des revues scientifiques. Loin d’un débat théorique, c’est une alerte lancée aux citoyens, aux patients, aux chercheurs honnêtes. Un cri d’alarme face à un système éditorial gangrené par des conflits d’intérêts, où l’information médicale se vend au plus offrant.

🎥 Avant de poursuivre, prenez le temps de regarder cette vidéo essentielle :

Dans cet article, nous allons analyser en profondeur ce que ces révélations signifient pour la médecine, pour la recherche… et pour notre santé.

Les aveux accablants des éditeurs des plus grandes revues médicales

corruption des revues scientifiques-déclaration

Quand l’aveu vient de l’intérieur, il ne laisse plus place au doute.
Ce ne sont pas des lanceurs d’alerte marginaux ou des figures polémiques qui dénoncent ici la corruption des revues scientifiques.
Ce sont les anciens gardiens eux-mêmes de la “rigueur médicale” : Martine Angell pour le New England Journal of Medicine (NEJM) et Richard Horton pour The Lancet.

Martine Angell, qui fut pendant 20 ans la directrice du NEJM, l’un des journaux médicaux les plus influents au monde, déclare publiquement, le regard lourd :

« J’ai la tristesse infinie de dire que nous ne sommes plus des journaux scientifiques. Nous sommes devenus le vaisseau amiral de la propagande pharmaceutique. »

Cette phrase, prononcée avec gravité, a résonné comme une onde de choc dans les cercles académiques. Comment un journal censé incarner la science médicale en est-il arrivé à servir d’outil de communication commerciale ?
👉 Ce témoignage de Marcia Angell, publié dans le New York Review of Books, fait écho à son célèbre article « Drug Companies & Doctors: A Story of Corruption » (source).

Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet, n’est pas plus rassurant. Il affirme que :

« La moitié des publications scientifiques que nous recevons et que nous publions sont probablement fausses. »

Ces déclarations ne datent pas d’hier, mais elles ont été longtemps marginalisées, étouffées sous le poids du consensus, de l’autorité apparente de ces grandes revues. Aujourd’hui, dans un climat de méfiance amplifié par la gestion de la crise COVID-19, elles réapparaissent avec une acuité nouvelle. Et c’est bien le Pr Didier Raoult, microbiologiste et ancien directeur d’un des plus grands instituts de recherche français, qui les remet en lumière dans cette interview percutante.

Ce que ces propos soulèvent, c’est une question essentielle :
🔍 Peut-on encore faire confiance aux revues scientifiques ?
Lorsque les voix les plus respectées du monde médical confessent que la moitié des publications sont corrompues, orientées, voire dictées par des intérêts privés, il ne s’agit plus de critiques isolées. C’est un système entier qu’il faut reconsidérer.

Cette corruption des revues scientifiques, selon Raoult et ses pairs, repose sur un triptyque explosif : la dépendance au financement industriel, l’absence de véritable contre-pouvoir éditorial, et la concentration des publications dans les mains de quelques géants de l’édition scientifique (Elsevier, Springer, Nature…).

Un système où l’apparence de rigueur remplace la rigueur elle-même. Où la vérité devient une variable d’ajustement aux logiques de profit.

Un modèle économique toxique : quand publier devient un business

Derrière la façade de neutralité scientifique, c’est tout un modèle économique perverti que dénonce le Pr Didier Raoult dans son intervention. Loin d’être de simples plateformes de diffusion de savoir, les grandes revues médicales sont devenues, selon ses mots, des machines à cash, au service d’intérêts privés plus soucieux de rentabilité que de rigueur méthodologique.

La corruption des revues scientifiques ne se limite plus à l’influence des laboratoires sur le contenu publié. Elle s’étend au processus même de publication. Aujourd’hui, les chercheurs doivent payer pour publier : des montants variant de 3 500 à plus de 100 000 dollars par article, selon le prestige de la revue. Cette dérive transforme ce qui devrait être un espace de validation indépendante en un marché éditorial verrouillé, où seuls les mieux financés peuvent s’exprimer.

Pire encore, ces journaux exigent souvent l’exclusivité des droits d’auteur, sans avoir participé au financement de la recherche ni à sa réalisation. Le chercheur, souvent financé par l’argent public, paie pour publier… et cède ses droits. Une double peine qui scandalise de plus en plus la communauté scientifique.

Selon Raoult, les deux géants du secteur – Elsevier et Springer Nature – forment un véritable cartel de l’édition scientifique, avec des marges de rentabilité dignes des multinationales du luxe : jusqu’à 30 % de bénéfices nets sur les publications. Ces sociétés contrôlent des centaines de revues, influencent le processus de peer-review, et verrouillent la circulation des données.

➡️ Et ce n’est pas un hasard si l’on retrouve dans leur capital des fonds comme BlackRock ou Vanguard, également présents dans l’industrie pharmaceutique. Ce conflit d’intérêts systémique alimente la méfiance et nourrit une question de plus en plus pressante : qui contrôle vraiment l’information médicale ?

Pour contourner ces circuits verrouillés, Raoult évoque avec espoir des plateformes alternatives, comme le portail HAL en France, qui permettent aux chercheurs de publier gratuitement, de conserver leurs droits, et de garantir un accès libre aux citoyens.

Mais ces initiatives, bien que louables, restent marginales face à la puissance éditoriale des revues historiques. Et la censure n’a pas disparu : même les preprints sont désormais filtrés, dès qu’ils contredisent le narratif dominant sur les traitements, les vaccins, ou les politiques sanitaires.

Cette corruption structurelle est le fruit d’une confusion volontaire entre science et industrie, entre recherche et marketing. Et c’est précisément ce que dénonce aussi Robert F. Kennedy Jr. dans ses enquêtes explosives.

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Le contrepouvoir citoyen : reprendre la science des mains de l’industrie

Face à l’ampleur de la corruption des revues scientifiques, l’indignation ne suffit plus. La lucidité impose désormais une action : celle d’un réveil citoyen, d’un retour à une science éthique, transparente, libérée des chaînes du marché.

C’est le message qu’adresse en filigrane le Pr Didier Raoult, mais aussi de plus en plus d’intellectuels, de chercheurs et d’acteurs engagés dans le mouvement pour la libération de la vérité scientifique. Il ne s’agit plus de s’indigner passivement, mais de reprendre le contrôle de la narration scientifique, aujourd’hui trop souvent déléguée à des revues financées, influencées ou carrément dirigées par des multinationales.

Le salut, selon Raoult, viendra de l’Amérique. C’est là que les premiers coups de boutoir contre le monopole éditorial ont été portés. C’est là aussi que Robert F. Kennedy Jr. s’engage, avec détermination, à créer de nouvelles revues indépendantes, à désacraliser les institutions dévoyées, et à permettre aux scientifiques intègres de retrouver un véritable espace de publication.

Car la science, pour redevenir crédible, doit cesser d’être un produit. Elle doit redevenir un bien commun. Accessible. Lisible. Discernable. Et pour cela, il faut :

  • Multiplier les plateformes open access financées par les États ou les citoyens.
  • Exiger la transparence des conflits d’intérêts pour chaque publication.
  • Sanctionner les revues corrompues ou impliquées dans des fraudes éditoriales.
  • Former le grand public à décoder la recherche, au lieu de le soumettre à des slogans scientistes.

📌 Mais ce combat ne peut être gagné sans une base de citoyens informés. Et cette information, vous la trouverez dans les livres les plus censurés, les plus documentés et les plus essentiels de cette décennie.

Nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas. Nous devons simplement décider d’agir.

Et maintenant, que choisissons-nous de croire ?

L’interview du Pr Didier Raoult lève le voile sur un monde dont le grand public ignore encore, trop souvent, les mécanismes occultes. Ce monde, c’est celui de la corruption des revues scientifiques, où les vérités sont achetées, les mensonges publiés, et les voix dissidentes étouffées.

Ce n’est pas un simple problème de méthode ou de rigueur. C’est un enjeu de civilisation. Lorsque les institutions censées protéger la vérité deviennent les outils d’une communication intéressée, c’est toute la confiance dans la science qui vacille. Et avec elle, notre capacité à choisir librement, à nous soigner avec discernement, à résister aux dérives autoritaires.

Mais la bonne nouvelle, c’est que cette prise de conscience est en marche.

Elle s’incarne dans des figures comme Robert F. Kennedy Jr., qui n’hésitent pas à dénoncer les collusions, à nommer les responsables, et à proposer des solutions concrètes : création de revues indépendantes, transparence absolue sur les conflits d’intérêts, et retour à une science au service du vivant, et non du profit.

📚 Si cet article vous a interpellé, prenez le temps de lire les enquêtes courageuses et documentées de Robert Kennedy Jr.
Elles sont une boussole précieuse dans ce brouillard de manipulation.

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