juillet 22, 2025

Conséquences profondes de la propagande sur la médecine, la démocratie et les relations humaines – Mensonges officiels Partie 3

Et si la plus grande menace qui a plané sur nos sociétés n’était pas le virus, mais la peur qui a étouffé les voix libres ?

Tout perdre pour la vérité
Couverture de « Tout Perdre pour la Vérité » de Naomi Wolf.
Cette intellectuelle engagée a osé dénoncer les dérives
de la crise sanitaire et s’en est trouvée ostracisée.
Son parcours illustre le prix du courage face à la propagande :
elle a perdu sa position et ses soutiens pour avoir défendu la vérité,
révélant combien la peur et la censure ont pu briser des carrières et des liens humains.

Durant la crise du Covid-19, la propagande de la peur a eu des effets dévastateurs, bien au-delà du domaine sanitaire immédiat.
Libertés fondamentales sacrifiées, science instrumentalisée, climat de méfiance généralisé – les dégâts sont vraiment profonds.

Naomi Wolf, essayiste et défenseure des droits, raconte comment avoir osé dire ce que d’autres taisaient l’a menée à tout perdre : sa position, ses soutiens, ses certitudes (voir la présentation de son livre ici).

Son témoignage donne le ton d’un basculement silencieux : la dérive de nos démocraties, la confiscation de la science au profit d’intérêts obscurs, le basculement vers une société où la vérité dérange et se paie au prix fort (Découvrez pourquoi lire Tout perdre pour la vérité pourrait bien changer votre regard sur la crise).

Examinons comment cette propagande a laissé des cicatrices sur la médecine, sur la démocratie, et sur les relations humaines.

Impact sur la médecine et la science

La pandémie de Covid-19 a révélé un inquiétant naufrage de la science. Sous couvert de « suivre la science », on a imposé un discours unique, binaire, sans nuance – vidant la démarche scientifique de son essence faite de doute et de débat (voir ici).

Quand la science devient un outil de propagande, ce n’est plus de la science.
Poser la moindre question valait d’être pointé du doigt.
Si vous citiez un expert dissident, vous étiez taxé de « complotiste » ; si vous refusiez une injection expérimentale, vous deveniez un « danger public ».

COVID-19 Le naufrage de la science
Couverture de COVID-19 : Le naufrage de la science.
L’image du navire sombrant symbolise la dérive de la science pendant la pandémie – une recherche de la vérité qui a coulé sous le poids
du dogmatisme et des intérêts politico-industriels.

Des sommités médicales ont été écartées du débat sans ménagement. Des études scientifiques valides ont été supprimées de revues réputées parce qu’elles dérangeaient la ligne officielle.

Des professeurs émérites – tel Christian Perronne – ont été attaqués et radiés, non pas pour des erreurs médicales, mais pour avoir osé douter des décisions imposées.

Une nouvelle orthodoxie sanitaire s’est installée : des décisions parfois absurdes sont devenues intouchables, brandies comme des vérités absolues, et la peur a été instrumentalisée pour faire taire les voix discordantes (blog.editionsmarcopietteur.com).
Toute remise en question de ces mesures était immédiatement étouffée par la machine politico-médiatique.

En parallèle, le récit officiel a nié ou minimisé les dégâts collatéraux.
On a interdit certains traitements pourtant efficaces ailleurs, et occulté les effets secondaires indésirables.
Des milliers de personnes jeunes et en bonne santé ont développé des effets secondaires graves, souvent niés, minimisés ou ignorés (blog.editionsmarcopietteur.com).

Face à cela : silence des autorités… ou pire, moquerie, exclusion, sanctions contre ceux qui tentaient de lancer l’alerte (Lisez la présentation du livre du Dr Sabatier ici).
Ainsi, l’intégrité scientifique a failli au moment où l’humanité en avait le plus besoin.

Livre "Influence & Pandémies

Il apparaît aussi que beaucoup de décisions sanitaires n’étaient pas strictement guidées par la science ou l’intérêt public. Comme le révèle Michel Cucchi (ancien haut fonctionnaire de la santé) dans Influence & Pandémies, la santé est devenue un marché, un terrain d’influence où les laboratoires pharmaceutiques, les institutions financières et les multinationales du conseil jouent un rôle central (voir la présentation de ce livre éclairant).

Son enquête rigoureuse montre comment les crises ont parfois servi d’opportunité pour certains acteurs économiques et politiques, orientant les politiques publiques au détriment de l’intérêt général.

Beaucoup des mesures ostensiblement « scientifiques » ont en réalité été biaisées par des critères financiers ou politiques plutôt que médicaux. Cette collusion a profondément entamé la confiance dans les autorités sanitaires.

Enfin, la pratique médicale elle-même a souffert. Dans l’urgence et la peur, la médecine s’est hyper–technocratisée, perdant son âme humaniste.

La pensée médicale en action

Protocoles standardisés à outrance, surveillance administrative, pression à appliquer des directives uniformes : le soignant a souvent été réduit à un exécutant.
“Une médecine sans réflexion clinique est une médecine incomplète”, rappelle la Dr Isabelle Lagny.

Or, durant la crise, l’intuition clinique et l’écoute personnalisée du patient ont été reléguées au second plan (voir livre « La pensée médicale en action »).
Beaucoup de praticiens ont ressenti une frustration profonde face à une médecine trop rigide, où le praticien devient un simple exécutant de directives préétablies. Ce glissement déshumanisant a des conséquences psychologiques et éthiques lourdes, en altérant la relation de confiance soignant-soigné.

« La réflexion clinique, autrefois essentielle, est souvent reléguée au second plan… Un bon diagnostic repose aussi sur l’écoute et la compréhension de l’histoire du patient », plaide ainsi Isabelle Lagny, qui invite à réhumaniser la relation médicale. Des ouvrages tels que La Pensée Médicale en Action redonnent espoir en rappelant que la médecine ne doit pas perdre son humanité.
Replacer l’humain, l’éthique et le raisonnement critique au cœur du soin est indispensable pour tirer les leçons de cette période sombre.

Impact sur la démocratie et la gouvernance

La crise sanitaire a également mis à mal le fonctionnement de nos institutions démocratiques. Les gouvernements, investis de pouvoirs exceptionnels, ont pris des mesures drastiques en s’affranchissant souvent du débat parlementaire et du contrôle citoyen.
Des libertés ont été sacrifiées sur l’autel de l’urgence : confinements, couvre-feux, passe sanitaire conditionnant l’accès à une vie normale…

Gouvernance perverse

Autant de restrictions inédites acceptées par une population sous le choc de la peur. « La crise du Covid a été un test grandeur nature de soumission collective », analyse la psychologue Marion St Michel (voir son livre « Gouvernance perverse »).
En effet, la population s’est vue sommée d’adhérer sans réserve aux directives, au nom du « bien commun ».

Simultanément, le débat public a été confisqué.
Médias, experts médiatiques et autorités parlaient d’une seule voix, ne tolérant aucune contestation.
La parole officielle est devenue monolithique, traitant toute critique d’attaque irrationnelle.
« Ce n’est plus de la politique. C’est de la manipulation de masse » résume Marion St Michel.

Les outils employés relevaient davantage de la propagande que de la délibération démocratique : langage anxiogène martelé en boucle, culpabilisation du public, division manichéenne des citoyens entre “bons” et “méchants”.

On a présenté les restrictions les plus dures comme autant de “soins” nécessaires à accepter sans broncher. Toute opposition fut disqualifiée moralement (accusée d’égoïsme ou d’ignorance), plutôt que discutée rationnellement.

Cette période a vu l’émergence d’une “dictature molle”, pour reprendre l’expression de Richard Durastante (voir son livre ici). Pas de tyran affiché ni de parti unique, mais un régime insidieux où les esprits sont lentement privés de leur capacité à raisonner librement.

Sociétés du chaos organisé
Couverture de « Sociétés du chaos organisé » (Richard Durastante).
Cet ouvrage analyse la « guerre psychologique » menée
pendant la crise du Covid. La peur et la confusion y sont délibérément exploitées – un chaos organisé permettant d’imposer un ordre autoritaire sous couvert de bienveillance.
Son auteur, psychologue clinicien, en appelle
à l’éveil des consciences face à cette dictature insidieuse.

La propagande moderne, diffusée par les grands médias et les canaux officiels, n’a plus cherché à convaincre par l’argumentation, mais à conditionner par la répétition et l’émotion.

Comme l’analyse Durastante, le langage a été utilisé de manière perverse : des termes repoussoirs comme « complotiste » ont servi à clouer le bec à toute voix dissidente. On n’argumentait plus – on stigmatisait.
Le mal était masqué par une rhétorique de la bienveillance (protéger des vies, sauver des grands-mères), alors même que nos droits les plus chers étaient suspendus.

Les contre-pouvoirs démocratiques ont failli à leur tâche. La presse, censée être un chien de garde, s’est souvent muée en relai docile de la parole officielle.
Rares furent les médias grand public qui ont interrogé la gestion de crise de manière critique.

Certains journalistes ou scientifiques trop critiques ont été discrédités ou censurés. Des complicités insoupçonnées entre la haute finance, la presse et les tribunaux ont pu se nouer pour éteindre toute contestation.

L’avocat Jean-Pierre Joseph témoigne ainsi d’une justice transformée en instrument au service des puissances occultes (voir son livre « Même les beaufs en robe noire dansent avec le diable ») : au lieu de protéger les citoyens et l’équité, certaines institutions auraient suivi les intérêts d’une élite technocratique ou économique.
De fait, peu de recours juridiques ont abouti contre les abus de pouvoir sanitaires, confortant un sentiment d’arbitraire.

Par ailleurs, la démocratie a souffert d’une captation des processus décisionnels par des intérêts privés. Michel Cucchi met en lumière les influences invisibles qui ont façonné les politiques sanitaires bien plus que nous ne l’imaginons.

Loin d’être purement guidées par la santé publique, les orientations ont souvent été dictées par des logiques économiques.
La santé est devenue un terrain d’influence où Big Pharma, grandes institutions financières et cabinets de conseil jouent un rôle central (voir extrait ici).

Quand l’argent et le lobbying orientent la gestion d’une pandémie, la voix du peuple perd de son poids. On se souvient, par exemple, des conflits d’intérêts flagrants de certains “experts” télévisés liés à l’industrie pharmaceutique, ou des contrats opaques passés avec les laboratoires.

Ces mécanismes de décision opaques ont érodé la souveraineté populaire : les citoyens ont eu le sentiment d’être gouvernés sans transparence, ni contrôle démocratique réel, durant cette période.

Enfin, au-delà des faits concrets, c’est l’esprit même de la démocratie qui a été malmené.
Une démocratie saine exige la libre circulation des idées, la confrontation sereine des opinions, le respect des minorités dissidentes.

Or, pendant la crise, les voix dissonantes ont été broyées par la machine médiatico-politique. Le climat de peur a créé un réflexe de conformité où beaucoup ont préféré taire leurs doutes. La vérité est devenue dérangeante et s’est payée au prix fort : ceux qui l’ont défendue ont subi censure et ostracisme.
Cet épisode a montré à quel point nos droits et nos valeurs démocratiques peuvent vaciller sous l’effet de la panique collective orchestrée.

Les auteurs qui ont analysé cette dérive sont clairs : il y a urgence à raviver notre conscience démocratique.
« Il faut apprendre à dire NON.
Non à ce qui nous avilit.
Non à ce qui nous déconnecte de notre humanité » martèle Marion St Michel, qui appelle à reconquérir notre souveraineté individuelle et collective.

De même, Richard Durastante estime que l’éveil des consciences est la seule véritable arme contre cette guerre psychologique, et que chacun de nous doit prendre ses responsabilités plutôt que céder à la passivité.

Préserver la démocratie implique de refuser la servitude volontaire dans laquelle la peur nous a enfermés, et de restaurer un espace où la parole libre et le débat critique sont de nouveau possibles.

Impact sur les relations humaines et le tissu social

Résultat de la propagande sanitaire sur la population pendant le Covid
Exclu par un simple code. Quand la santé publique isole au lieu de protéger.

Les ravages de la propagande ne se sont pas limités aux sphères de la science et du pouvoir – ils ont aussi atteint l’intimité de nos relations humaines.

Jamais, sans doute, l’on n’avait observé une telle division entre proches autour de questions de santé publique.

La peur et le climat de suspicion ont fracturé le tissu social, opposant les individus les uns aux autres. L’autre, qui fait société avec moi, a été tour à tour perçu comme un danger potentiel (porteur de virus) ou un ennemi idéologique (“anti-vax complotiste” vs “mouton irresponsable”).

Dès 2020, les témoignages se multipliaient sur des familles déchirées et des amitiés brisées en raison du Covid. Ce qui aurait dû être un défi à relever ensemble est devenu un sujet de disputes et de ruptures irrémédiables entre amis ou dans le cercle familial (voir cet article de ladepeche.fr).

Les opinions sur l’origine du virus, sur les traitements (comme l’hydroxychloroquine du Pr Raoult), puis sur les masques ou les confinements, ont très vite polarisé les discussions. Chacun se sentait sommé de prendre position pour ou contre telle mesure (encore un extrait de ladepeche.fr).
Avec l’arrivée des vaccins et du pass sanitaire, ce clivage s’est encore creusé : la campagne de vaccination a durablement fracturé les familles entre, d’un côté, les partisans de la vaccination, et de l’autre ceux qui doutaient.

Les chiffres confirment l’ampleur du phénomène. Quatre Français sur dix disent avoir vécu des tensions sérieuses avec des proches à cause du vaccin ou du pass sanitaire. On a vu des repas de famille tourner à la guerre de tranchée, des réunions de fête annulées par crainte des disputes, des groupes d’amis se scinder selon les convictions de chacun (ladepeche.fr).

Sur les réseaux sociaux, beaucoup ont supprimé des contacts ou quitté des conversations pour éviter les conflits idéologiques.
Face aux désaccords insolubles, une part non négligeable de personnes (31% d’après le même sondage) ont même choisi d’éviter totalement le sujet avec leurs proches afin de préserver la paix familiale.
Ce silence forcé montre à quel point le dialogue honnête est devenu difficile.

Quand l’info devient poison… et qu’on l’avale sans même s’en rendre compte.
Quand l’info devient poison… et qu’on l’avale sans même s’en rendre compte.

La propagande de la peur a joué un rôle central dans ces divisions.
En instillant l’idée que « ceux qui ne suivent pas les consignes mettent les autres en danger », elle a encouragé chacun à surveiller et faire la morale à son prochain.

Nombre de personnes, sincèrement anxieuses, ont rompu tout contact avec des amis jugés imprudents ou “négationnistes” du danger.

Inversement, ceux qui remettaient en question le discours dominant ont pu voir leurs proches les traiter de fous ou d’égoïstes.

La stigmatisation de groupes entiers – non-vaccinés, “complotistes”, jeunes fêtards – a légitimé l’ostracisation de certains individus.
Être étiqueté ainsi a souvent conduit à l’isolement social et à la perte d’estime de soi.
Le citoyen manipulé, culpabilisé et désorienté est un citoyen facile à diriger (cf « Gouvernance Perverse ») – mais aussi un individu en souffrance relationnelle.

Par ailleurs, les mesures elles-mêmes ont cassé du lien humain.
La distanciation physique prolongée, la fermeture des lieux de convivialité, les couvre-feux ont limité les interactions sociales et parfois engendré rancœur (entre ceux qui respectaient strictement les règles et ceux qui les contournaient).

L’isolement a pesé sur le moral de tous et généré des incompréhensions mutuelles : ainsi, certains ont reproché à leurs proches âgés de s’exposer, tandis que d’autres ont reproché à leurs familles de les tenir à distance indéfiniment.

Le résultat, c’est une société où la confiance entre individus s’est érodée. On se méfie plus facilement de son voisin, on juge plus vite les choix d’autrui en matière de santé.
Ce climat délétère pourrait laisser des traces durables, en aggravant le repli sur soi et la polarisation des opinions dans l’espace public.

Comment recoller les morceaux ?

La tâche s’annonce difficile, mais pas impossible.
D’abord, il faut reconnaître l’ampleur du traumatisme collectif.
Nous avons été l’objet d’une manipulation des peurs et d’une guerre des mots qui a dressé des barrières artificielles entre nous.

Prendre conscience de ces mécanismes – par exemple en comprenant que la répétition d’informations anxiogènes finit par être acceptée comme vérité (cf « Sociétés du chaos organisé ») – peut aider à renouer le dialogue.

« Vous n’êtes pas fous. Vous n’êtes pas seuls.
Et surtout : vous avez le droit de penser par vous-même » rappelle Marion St Michel, invitant chacun à se réapproprier son jugement (voir notre article Ce que les pervers narcissiques et les gouvernants modernes ont en commun).

De même, Naomi Wolf nous encourage à ne plus détourner le regard ni accepter le silence imposé (voir son livre « Tout perdre pour la vérité) : parler, témoigner de ce qu’on a vécu, c’est déjà reconstruire du lien.

Les valeurs d’empathie, d’écoute et de respect devront être remises à l’honneur pour guérir les fractures.
Il s’agira de pardonner parfois des mots ou des attitudes dictés par la panique.
Des familles ont déjà entrepris ce travail de réconciliation, en misant sur ce qui les unit au-delà des divergences (l’affection, l’histoire commune).

En retrouvant une vision lucide de la crise – ni minimisation naïve, ni dramatisation excessive – la société pourra peut-être transformer cette épreuve en leçon d’humanité.
Rouvrir l’espace du dialogue est crucial : réapprendre à débattre sans invective, accepter le désaccord sans rompre le lien. C’est à cette condition que le tissu social, effiloché par deux ans de propagande et de tensions, retrouvera sa solidité.

Pour conclure : refuser l’oubli et reconstruire

"Ils nous disaient que c'était pour notre bien. Nous avons compris que c'était pour leur pouvoir."
« Ils nous disaient que c’était pour notre bien.
Nous avons compris que c’était pour leur pouvoir. »

En définitive, la propagande autour du Covid-19 a eu des conséquences systémiques : une médecine fragilisée, parfois réduite au silence et au pilotage automatique ; une démocratie ébranlée, glissant vers une gouvernance de la peur et du contrôle ; un corps social divisé, où la confiance a cédé la place à la suspicion.

Ces dérives nous invitent à une profonde remise en question.
Les auteurs et lanceurs d’alerte cités tout au long de cet article – qu’ils soient médecins, avocats, psychologues ou simples citoyens engagés – convergent vers le même appel : ne pas céder à la fatalité ni à l’amnésie.

Il serait tentant d’oublier et de “tourner la page” maintenant que l’urgence sanitaire s’estompe.
Mais « malgré l’ampleur du traumatisme, nous sommes déjà en train d’oublier », avertissent Sabatier et Gay, auteurs du Naufrage de la science.

Or, si nous ne voulons pas répéter l’Histoire, nous devons oser regarder en face ce qui s’est passé. La mémoire est une arme : en tirant les leçons de ces erreurs, nous pourrons mieux protéger à l’avenir nos valeurs humanistes.

Concrètement, il s’agit de retrouver notre esprit critique et notre courage civique.
Refuser les récits simplistes, exiger des débats contradictoires, vérifier les faits et les sources au lieu de suivre aveuglément les slogans officiels.

Il s’agit aussi de réhumaniser nos institutions : redonner au soignant le temps d’écouter, au scientifique la liberté de chercher sans dogme, au citoyen la possibilité de s’exprimer sans peur.
Réaffirmer que la fin (même sanitaire) ne justifie pas tous les moyens si ceux-ci piétinent la dignité et la liberté.

Enfin, il nous appartient de recréer du lien là où il a été rompu. Retrouver autour de la table nos proches avec lesquels nous étions en désaccord, et dialoguer à nouveau en toute franchise.
Se souvenir que nous poursuivons, au fond, les mêmes objectifs – la santé, la sécurité, le bien-être commun – même si nos avis divergeaient sur la manière.

« Ne restez pas spectateur », implore Naomi Wolf ; choisissez le camp de la liberté, du débat, de la vérité, même quand elle dérange (voir extrait ici).
Ce choix, chaque individu peut le faire à son échelle, et il peut transformer une société entière.

Savoir et comprendre ce qui s’est joué, c’est déjà résister. En refusant le silence et la soumission, en osant dire non à la peur, nous pouvons faire en sorte que plus jamais une telle propagande ne vienne bafouer la science, la démocratie et nos relations humaines. C’est, en somme, le message d’espoir que nous laissent ces livres et témoignages : la prochaine page reste à écrire, et elle peut l’être avec plus de lucidité, d’humanité et de liberté.


Vous découvrez cette série avec cet article ?

Alors ne manquez pas les deux premières parties pour bien comprendre la mécanique du mensonge qui a tout déclenché :

👉 Partie 1 – « Pandémie de mensonges : comment la santé publique a été trahie »
👉 Partie 2 – « Mensonges vaccin Covid : les contre-vérités d’Olivier Véran sur l’efficacité et la sécurité »

🔁 Ces trois volets forment un tout cohérent : un travail de mémoire, de vérité, et de reconstruction face à l’une des plus grandes opérations de manipulation de notre époque.


💬 Et vous… qu’avez-vous ressenti, vécu, observé pendant ces années sombres ?

Votre parole est précieuse. Votre témoignage peut résonner avec d’autres.
Qu’il s’agisse d’un doute, d’un réveil, ou d’un simple « quelque chose ne collait pas »… racontez-le en commentaire. Vous n’êtes pas seul.

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Un commentaire

  1. Quand ils nous disaient que c’était pour notre bien, nous avons vite compris que c’était pour nos biens les plus chers, notre vie et celle de nos enfants ! Bisoujos

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