avril 5, 2025

Ce que disent vraiment les chercheurs indépendants

(et que les médias ne reprennent jamais)

Il existe deux versions de la réalité.
Celle que l’on consomme à travers les journaux télévisés, les communiqués d’agences officielles, les dossiers rassurants publiés dans les grands médias.

Et puis, il y a l’autre.
Celle qu’on découvre en creusant un peu plus, en lisant les travaux de chercheurs sans conflits d’intérêts, en tendant l’oreille vers ces voix isolées, trop souvent ignorées, voire ridiculisées.

Dans le cas du glyphosate, cette fracture entre la parole officielle et la réalité scientifique est flagrante.
Officiellement, cette molécule est sans danger aux doses autorisées. C’est ce que répètent les agences sanitaires, les ministres de la Santé, les représentants de l’agriculture conventionnelle.

Pourtant, des dizaines de chercheurs dans le monde — biologistes, médecins, toxicologues — tirent la sonnette d’alarme depuis des années. Leurs conclusions sont différentes. Et terrifiantes.

Parmi ces scientifiques, la chercheuse américaine Stephanie Seneff, du MIT, fait figure de référence. Elle a consacré plusieurs années à étudier les effets du glyphosate sur l’organisme humain.

Selon elle, ce produit perturbe profondément le fonctionnement de nos cellules, en se substituant à un acide aminé appelé glycine.

Conséquence : nos protéines sont déformées, inefficaces, voire toxiques. Seneff relie cette perturbation à une augmentation des maladies chroniques : autisme, Alzheimer, Parkinson, diabète, cancer.
Ses travaux sont argumentés, sourcés, et publiés dans des revues scientifiques. Mais ils ne font jamais la une.

En France, le professeur Gilles-Éric Séralini est l’une des figures les plus médiatisées — mais aussi les plus controversées — du combat contre les pesticides. En 2012, il publie une étude montrant que des rats exposés à de faibles doses de glyphosate développent des tumeurs massives, des troubles hormonaux et des atteintes hépatiques.

Rats nourris au maïs OGM traité au Roundup : une image-choc issue de l’étude du professeur Séralini (2012), révélant l’apparition de tumeurs massives après une exposition prolongée à de faibles doses de glyphosate. Une photo devenue emblématique des controverses autour des pesticides et de la transparence scientifique. (Source ici)

L’image a fait le tour du monde : des rongeurs difformes, visiblement souffrants. En réponse, une vague de dénigrement s’abat sur lui. On critique sa méthodologie, son éthique, ses conclusions.

L’étude est retirée… puis republiée ailleurs. Aujourd’hui, ses alertes sont réhabilitées, mais le mal est fait. Dans l’opinion publique, le doute est instillé. Et le glyphosate est toujours là.

Cette stratégie du doute, ce brouillard volontairement entretenu autour des effets réels de la molécule, a été largement documentée dans les « Monsanto Papers » : des milliers de documents internes, révélés au fil des procès, qui montrent comment la firme a manipulé l’opinion, les agences de régulation, et même certains scientifiques.

On y découvre que des études ont été rédigées en interne puis signées par des chercheurs payés. Que des campagnes de discréditation ont été menées contre les voix critiques. Que le principe de précaution a été bafoué au nom du profit.

Pourtant, à la télévision, sur les grandes radios, dans les journaux dits de référence, tout cela est rarement abordé. Lorsqu’on parle du glyphosate, c’est pour rappeler que « rien ne prouve sa dangerosité aux doses autorisées ». Une phrase devenue mantra, répétée en boucle, comme un sort jeté à la complexité scientifique.

Mais que ressentent les citoyens, les parents, les consommateurs informés ?

Sophie, 47 ans, mère de deux enfants, habite en zone périurbaine. Elle cultive un petit potager, achète bio, filtre son eau, écoute France Inter et suit des conférences en ligne sur la nutrition.

Et pourtant, son fils souffre de troubles digestifs chroniques. Elle a l’impression de faire tout ce qu’il faut, mais quelque chose cloche. Lorsqu’elle découvre le livre de Seneff, c’est une claque. Puis un soulagement.

« J’avais peur d’être la seule à me poser ces questions. J’avais l’impression d’être complotiste dès que je disais ‘glyphosate’ autour de moi. Et là, je tombe sur une chercheuse du MIT, qui explique clairement ce que je ressentais intuitivement. Je me suis dit : je ne suis pas folle. »

Comme Sophie, des milliers de lecteurs et lectrices ont trouvé dans ce livre un réconfort.
Pas parce qu’il rassure, mais parce qu’il explique.
Parce qu’il donne des clés.
Parce qu’il rend visible ce que d’autres préfèrent laisser dans l’ombre.

Le livre « Glyphosate : vérité alarmante & héritage toxique » n’est pas un livre de militants.
C’est un livre d’enquête.
Un livre de science.

Il rassemble les travaux de dizaines de chercheurs indépendants, met en lumière leurs conclusions, et interroge les silences coupables.
Il ne crie pas, il ne dénonce pas pour le plaisir. Il éclaire. Et ce faisant, il donne du pouvoir.

Aujourd’hui, ce livre est devenu un objet de résistance douce.
Il passe de main en main.
Il s’offre. Il se recommande en message privé.
Il circule dans les cercles de naturopathes, de parents inquiets, d’éducateurs, de journalistes indépendants.
Il ne fait pas la une des médias.
Mais il fait la une des consciences.

Car derrière la molécule, c’est une question de choix de société.
Que met-on dans nos assiettes ?
Qui décide de ce qui est « sûr » ?
Quelle valeur donnons-nous à la santé, à la prévention, à la responsabilité ?

Sophie, elle, a fait son choix. Elle préfère savoir.
Et à celles et ceux qui ont encore des doutes, elle tend ce livre comme on tend une lampe torche dans une pièce obscure.

Ce que disent les chercheurs indépendants est simple : le glyphosate est un problème systémique.
Et refuser d’en parler, c’est le laisser gagner.

Il est temps d’écouter enfin ceux qui n’ont rien à vendre, rien à cacher, mais tout à transmettre.

Pour aller plus loin et découvrir ce que la Dr Stephanie Seneff révèle vraiment dans son livre, lisez l’article complet ici.

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