Variant “Frankenstein” et manipulation médiatique: la stratégie de la peur décryptée par Béatrice Rosen

Dans un extrait percutant de l’émission Ligne Droite La matinale de Radio Courtoisie, l’actrice Béatrice Rosen dénonce la gestion absurde de la crise sanitaire du Covid-19 en France, qu’elle décrit comme une véritable folie collective.
Entre masques en forêt, confinement irrationnel et annonces anxiogènes autour du “variant Frankenstein”, elle pointe du doigt une mécanique bien huilée: une stratégie de la peur visant à contrôler les comportements par la panique.

La vidéo, désormais virale, s’inscrit dans une prise de conscience plus large: la peur n’a pas seulement été un outil sanitaire, mais une méthode de gouvernement.

Quand la peur devient un instrument politique

Depuis le début de la crise du Covid-19, la peur a servi de levier émotionnel pour orienter l’opinion publique. Béatrice Rosen évoque un climat de tension où chaque variant est présenté comme une menace existentielle.
Le “variant Frankenstein” devient le symbole d’une communication de crise fondée sur le choc, la sidération et la soumission du citoyen.

Cette stratégie de la peur Covid s’appuie sur une logique simple: maintenir la population dans un état d’alerte permanent. Plus la peur s’installe, plus l’esprit critique s’endort. C’est ce que l’actrice résume avec justesse: “On a plongé dans une folie furieuse… et tout le monde a suivi.”

En réalité, cette peur entretenue a permis d’imposer des mesures disproportionnées: confinement généralisé, pass sanitaire, port du masque en plein air, et suppression du débat public sous couvert d’urgence.

L’absurdité comme marque du pouvoir

Béatrice Rosen dénonce ce qu’elle appelle la “bêtise crasse” de certaines décisions, en particulier le port du masque en forêt ou l’interdiction de marcher seul sur une plage. Ces incohérences n’étaient pas des erreurs isolées : elles ont servi à instaurer une norme d’obéissance.

La stratégie de la peur Covid fonctionne d’autant mieux qu’elle crée un réflexe pavlovien: l’obéissance automatique face à l’autorité, même quand les ordres sont illogiques. La peur devient un outil de formatage, et la société, un laboratoire de docilité.

Manipulation, médias et secret d’État

L’actrice pointe également le rôle des médias dans la diffusion de cette peur. Les chaînes d’information continue ont servi de caisse de résonance à un discours anxiogène, amplifiant chaque “nouveau variant” comme un épisode de série catastrophe.

Parallèlement, Béatrice Rosen accuse Emmanuel Macron et son gouvernement d’avoir instauré une opacité totale via les “conseils de défense”, où aucune transparence n’était permise. “Macron veut tout cacher jusqu’au bout”, affirme-t-elle.

Ce verrouillage institutionnel a empêché tout débat démocratique, tout en présentant la science comme un dogme indiscutable.
En réalité, c’était une instrumentalisation de la science pour justifier l’autorité politique.

Sortir du cercle de la peur

L’enjeu aujourd’hui n’est plus seulement de dénoncer, mais de comprendre comment cette stratégie a fonctionné et comment s’en libérer. Il ne s’agit pas d’un rejet de la science, mais d’un appel à la lucidité: retrouver notre souveraineté intérieure et notre capacité à raisonner au-delà de la panique collective.

Des chercheurs, médecins et auteurs indépendants ont depuis longtemps décodé ces mécanismes psychologiques et médiatiques. Leurs travaux permettent d’envisager un avenir libéré de la manipulation et de la peur permanente.

Découvrez notre article Sortir de la peur: et si «vivre» était notre vraie résistance? « On ne peut pas vivre dans la peur ou l’anxiété permanente ».

Pour aller plus loin: 6 livres essentiels pour comprendre et se libérer de la peur des virus

Ces ouvrages publiés aux Éditions marco pietteur apportent des clés scientifiques, philosophiques et spirituelles pour sortir de la logique de la peur et retrouver la liberté intérieure.

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Reprendre le pouvoir de penser

Béatrice Rosen incarne une voix de lucidité dans un monde saturé de peur.
Sa critique de la stratégie de la peur Covid rappelle que la plus grande des résistances est celle du discernement.
La vérité ne naît pas de la panique, mais du courage de questionner.

La peur a pu gouverner les corps; il est temps que la conscience gouverne à nouveau les esprits. Car la peur est un brouillard qui éteint la raison, tandis que la vérité, même inconfortable, rend à chacun la maîtrise de sa pensée.
La liberté ne se décrète pas: elle s’exerce, jour après jour, dans le refus du mensonge et dans la quête du sens.

Ce que révèle le témoignage de Béatrice Rosen, c’est l’urgence de rouvrir le débat public, de réapprendre à douter sainement, à confronter les points de vue sans haine ni certitude.
Penser librement, c’est refuser la servitude psychologique que fabriquent les médias lorsqu’ils vendent la peur comme une marchandise.

À l’heure où l’on nous apprend à craindre l’air que nous respirons, les autres que nous côtoyons, ou même notre propre corps, il devient vital de retrouver un rapport sain à la vie, à la nature et à la vérité.
C’est cette reconquête de l’esprit critique que portent les auteurs indépendants, les chercheurs libres et les citoyens éveillés, ceux qui refusent de se soumettre à la peur programmée.

Et vous, qu’en pensez-vous?
Avez-vous ressenti, vous aussi, cette manipulation de la peur durant la crise sanitaire?
Croyez-vous encore à la version officielle des événements ou pensez-vous qu’il est temps d’ouvrir enfin un vrai débat sur les dérives du pouvoir et des médias?

Partagez votre ressenti en commentaire: vos expériences, vos doutes, vos certitudes. Ensemble, redonnons de la force à la pensée libre et à la parole sincère.