juillet 24, 2025

Des scientifiques remettent en cause la théorie des germes & changent notre regard sur la maladie

Depuis plus d’un siècle, la médecine repose sur un postulat que nul n’ose remettre en question : les maladies seraient causées par des germes, des virus, des microbes… qui se transmettent d’un individu à l’autre, provoquant épidémies et pandémies.
Cette théorie des germes, popularisée par Louis Pasteur, est devenue la colonne vertébrale de notre système de santé moderne.

Mais que se passe-t-il quand on regarde les faits de près ?
Quand on observe les études originales, les expériences, les protocoles réels, les biais de méthode ?
Une autre vérité émerge — bien plus dérangeante : la contagion n’a jamais été prouvée scientifiquement.

Dans la lignée du livre Le mythe de la contagion, plusieurs chercheurs, médecins et scientifiques indépendants ont décidé d’ouvrir cette boîte noire.
Non pas pour provoquer ou choquer, mais pour réconcilier science et honnêteté intellectuelle.
Leurs travaux, leurs conférences, leurs publications révèlent un scandale silencieux : ce que nous croyons sur les virus est fondé sur des présupposés, pas sur des démonstrations.

Voici 5 figures majeures de cette remise en question radicale. Leurs approches sont différentes, mais leur message converge : il est temps de revoir nos croyances sur les microbes — et de repenser la maladie autrement.

1. Stefan Lanka : le virologiste qui a prouvé que le virus de la rougeole n’existait pas

Le cas de Stefan Lanka est l’un des plus troublants — et pourtant méconnus — de l’histoire récente de la médecine.
Docteur en biologie moléculaire, ce virologiste allemand a d’abord cru au paradigme classique.
Mais ses recherches l’ont amené à une conclusion explosive : les virus pathogènes, tels qu’on les décrit, n’existent pas.

Son coup d’éclat médiatique : un procès en Allemagne, dans lequel il avait promis 100 000 euros à quiconque lui présenterait une preuve scientifique incontestable de l’existence du virus de la rougeole.
Un médecin, sûr de son fait, lui a présenté six publications. Lanka les a réfutées une par une, démontrant qu’aucune ne respectait les critères fondamentaux de validation (isolement, contrôle, reproduction).
Le tribunal lui a donné raison. Oui, un tribunal allemand a statué qu’aucune preuve cohérente de l’existence du virus de la rougeole n’avait été présentée.

Mais ce n’est pas tout.

Dans ses travaux en laboratoire, Lanka a montré que les phénomènes cellulaires que l’on attribue aux virus — comme la « destruction cellulaire » observée au microscope — peuvent être reproduits sans virus.
En utilisant uniquement des produits toxiques (antibiotiques, enzymes digestives, etc.) dans les cultures cellulaires, il a obtenu les mêmes résultats que ceux censés prouver l’existence virale.
En d’autres termes : le protocole virologique lui-même crée les « preuves » d’un virus qui n’est peut-être jamais là.

Lanka pousse plus loin : selon lui, les virus « démontrés » sont des constructions informatiques.
On assemble des fragments d’ARN via des logiciels, sans jamais isoler une particule entière dans la réalité physique.
La « preuve » devient alors une simulation.
Cela, affirme-t-il, n’a rien à voir avec la méthode scientifique rigoureuse.

Aujourd’hui, Stefan Lanka poursuit ses recherches dans un cadre indépendant.
Il publie, forme, et continue d’exposer — avec une rigueur glaçante — les failles méthodologiques de la virologie.

2. Samantha et Mark Bailey : la virologie sous le scalpel de l’analyse méthodique

Impossible de parler de la contestation de la théorie des germes sans évoquer le couple Bailey, médecins néo-zélandais dont les travaux ont ouvert une brèche majeure dans la pensée médicale dominante.

Samantha Bailey, ex-animatrice d’une émission médicale à succès, a été brutalement évincée des circuits officiels pour avoir osé poser des questions gênantes : comment peut-on prouver scientifiquement qu’un virus existe ?
Pourquoi les études censées l’établir utilisent-elles des protocoles aussi douteux ?

Aux côtés de son mari Mark Bailey, également médecin et chercheur, elle a décortiqué des centaines d’articles virologiques et mis en lumière une mécanique inquiétante: la virologie moderne repose sur des méthodes indirectes, artificielles, et non reproductibles.

Voici ce qu’ils montrent, preuves à l’appui :

  • Les virus ne sont jamais isolés dans leur forme complète. On obtient des fragments d’ARN, jamais une particule entière.
  • Ces fragments sont ensuite assemblés par ordinateur, à l’aide de logiciels de séquençage, pour « reconstituer » un génome supposé.
    Mais cette reconstitution est une fiction mathématique, pas une observation concrète.
  • Les cultures cellulaires, censées prouver l’effet pathogène du virus, sont empoisonnées d’antibiotiques, de toxines, de sérum bovin, etc. : c’est ce mélange qui détruit les cellules, pas un agent viral.

Dans leurs écrits, leurs conférences, et leurs nombreuses vidéos (plus d’une centaine publiées sur YouTube), les Bailey rappellent une chose simple mais capitale : on ne peut pas affirmer une vérité scientifique sur la base d’un protocole qui introduit lui-même les effets qu’il prétend observer.

Ils ont aussi contribué à la rédaction du livre Virus Mania, un ouvrage collectif qui dénonce la fabrication artificielle des grandes peurs virales : SIDA, SRAS, H1N1, Covid-19… Et s’ils ont été largement censurés, leur impact ne cesse de croître dans les cercles de pensée critique.

Leur travail est une leçon de méthodologie, mais aussi de courage : oser remettre en cause l’un des piliers les plus dogmatiques de la science moderne, au nom de l’honnêteté intellectuelle.

3. Pierre Chaillot : le statisticien qui a vu les failles du récit sanitaire

Le mythe de la contagion contredit par les chiffres
Les chiffres parlent : la contagion s’effondre face aux données.

Pierre Chaillot n’est ni médecin, ni biologiste. Il est statisticien, spécialiste de l’analyse des données publiques.
Et pourtant, son travail a secoué la narration officielle sur la crise du Covid-19 — avec une rigueur implacable.

Créateur de la chaîne Décoder l’éco, il s’est d’abord intéressé à la gestion sanitaire de la pandémie : saturation hospitalière, tests PCR, taux de mortalité, efficacité des mesures.
Ce qu’il découvre, chiffres officiels à l’appui, est sidérant : aucune surmortalité significative, pas de vague massive, pas de cohérence dans les données censées prouver une pandémie virale mondiale.

De fil en aiguille, Pierre ne se contente plus de démonter les mesures politiques. Il en vient à remettre en cause la cause elle-même : le virus.

Dans son livre Covid-19, ce que révèlent les chiffres officiels, il montre que :

  • Les courbes de mortalité ne présentent aucune propagation virale identifiable.
  • Les vagues dites « épidémiques » ne sont pas synchrones ni géographiquement, ni temporellement.
  • Les tests PCR utilisés pour « prouver » l’existence d’un virus sont incapables de détecter une infection active.
  • Les liens entre vaccination, surmortalité et chute de natalité sont statistiquement troublants.

Et surtout, il va plus loin : à force d’analyser les données d’années précédentes (grippe, bronchiolite, SARS, etc.), il en vient à une conclusion radicale : l’hypothèse même de contagion virale ne repose sur aucun signal statistique observable.

Sa conférence disponible sur Odysee est un moment fort. (voir la vidéo dans notre article ici)
Sans jamais céder à l’émotion ou au militantisme, il expose, graphiques à l’appui, l’absence de preuve de transmission.
Et déclare, avec calme : « Il n’y a pas de contagion, il n’y a pas de virus. Juste des interprétations erronées. »

Ce qui rend son témoignage si puissant, c’est sa sincérité. Lui-même y croyait. Il était « vacciné, obéissant, confiant ».
Mais les faits l’ont trahi. Il a osé suivre la vérité, là où elle le menait.
Et c’est ce qui fait de lui une figure incontournable du contre-récit.

4. « La fin de la théorie des germes » : un documentaire pour sortir de l’hypnose

Parfois, une vidéo bien construite vaut plus que mille pages.
C’est exactement ce que réussit le documentaire américain « La fin de la théorie des germes », diffusé en 2022 et traduit par les bénévoles du site CV19.
Ce film est un tournant pour quiconque souhaite comprendre les limites — et les failles — de la virologie moderne.

En une heure d’enquête serrée, le documentaire démonte les postulats clés de la théorie pasteurienne :

  • Il montre que les « virus » ne sont jamais réellement isolés dans les études.
  • Il met en lumière les expériences biaisées des virologues, basées sur des cellules intoxiquées.
  • Il expose comment les preuves « visuelles » (photos au microscope électronique) sont souvent interprétées à tort.

Mais surtout, il donne la parole à ceux que les médias ignorent ou censurent :

  • Le Dr Mark Bailey, qui explique pourquoi les assemblages génétiques viraux sont des constructions numériques, pas des entités biologiques.
  • Le Dr Thomas Cowan, qui relie l’histoire des pandémies à l’évolution de l’environnement électromagnétique.
  • Le Dr Stefano Scoglio, prix Nobel alternatif, qui critique le dogme virologique du VIH et du SARS-CoV-2.
  • Stefan Lanka, encore, qui y présente ses expériences spectaculaires en laboratoire.

Ce documentaire va plus loin que la critique : il propose une vision nouvelle.
Les « virus » pourraient n’être que des exosomes — des particules produites naturellement par les cellules pour expulser des toxines. La maladie serait alors une réponse d’adaptation, pas une attaque microbienne.

« La fin de la théorie des germes » n’est pas un pamphlet.
C’est un dossier pédagogique, scientifique, extrêmement sourcé.
Il est parfois complexe, mais toujours rigoureux.
Et surtout, il a ce pouvoir rare : éveiller le doute sain. Visionnez la vidéo ici.

À partager sans modération — surtout avec les proches encore prisonniers du récit officiel.

5. Vers une nouvelle compréhension de la maladie : terrain, environnement, conscience

Théorie des germes remise en cause
Pasteur doute, Béchamp observe : la science bascule entre microbe et terrain.

Si les virus ne sont pas les coupables que l’on croyait, alors d’où viennent les maladies ?

C’est la question-clé que posent tous les chercheurs présentés dans cet article.
Et leurs réponses convergent vers une idée fondamentale : ce n’est pas le microbe qui fait la maladie, mais le terrain.

Cette vision, déjà défendue au XIXe siècle par Claude Bernard et Antoine Béchamp, réapparaît aujourd’hui avec une force nouvelle.
Elle affirme que la santé (ou la maladie) dépend d’un équilibre intérieur, et que les symptômes ne sont pas des attaques externes, mais des réactions de l’organisme face à un déséquilibre profond.

Voici quelques pistes proposées par ces scientifiques :

  • La pollution électromagnétique (4G, 5G, Wi-Fi…) altère les échanges cellulaires et provoque un stress oxydatif majeur, corrélé à l’émergence de « vagues » de maladies.
  • Le stress psychique et émotionnel, chronique et non résolu, affaiblit le système immunitaire, dérègle les hormones, et favorise les pathologies chroniques.
  • La malnutrition moderne (déficit en vitamines, acides gras essentiels, oligo-éléments) rend les cellules vulnérables, incapables d’assurer leurs fonctions naturelles de régénération.
  • Les toxines environnementales (pesticides, métaux lourds, perturbateurs endocriniens) saturent le corps, qui tente alors d’éliminer en « crise » (grippe, inflammation, fièvre…).

Et si les symptômes que nous appelons « maladie » étaient en réalité des mécanismes de nettoyage, d’adaptation, de survie ?
Et si les virus n’étaient que des messagers biologiques mal interprétés, ou des signaux d’un processus de régulation ?

Ce changement de paradigme bouleverse tout : il redonne du pouvoir à l’individu, replace l’écosystème au centre de la santé, et ouvre la voie à une médecine non plus guerrière, mais régénératrice.

Le mythe de la contagion n’est donc pas un livre de négation.
C’est un livre de reconstruction. Il nous pousse à repenser la maladie non plus comme une fatalité venue de l’extérieur… mais comme un langage du corps, un appel à rééquilibrer le vivant.

Et si c’était le début d’un réveil scientifique et médical ?

Les travaux de Lanka, Bailey, Chaillot, Cowan, Scoglio — et tant d’autres — forment un corpus cohérent, dérangeant, mais libérateur.
Ils ne nient pas les maladies. Ils osent simplement poser la question que personne ne veut poser : et si la base même de la médecine moderne était erronée ?

Ce deuxième article n’est qu’une porte d’entrée vers un changement de regard radical, une invitation à la curiosité, à la lucidité, à la responsabilité.

Le Mythe de la Contagion

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Questions/Réponses

Peut-on réellement remettre en question la contagion virale ?

Oui. Plusieurs scientifiques ont démontré que la contagion n’a jamais été prouvée selon les critères expérimentaux rigoureux exigés en science (postulats de Koch, isolement, reproduction).

Que reprochent ces chercheurs à la virologie moderne ?

Ils dénoncent des protocoles biaisés, non reproductibles, et une absence de preuves visuelles ou biologiques solides. Ils remettent en cause l’interprétation des effets observés en laboratoire.

Cela signifie-t-il que les virus n’existent pas ?

Ces chercheurs estiment que les particules appelées « virus » pourraient être des exosomes ou des fragments biologiques normaux, interprétés à tort comme pathogènes.

Est-ce dangereux de lire ces théories ?

Non, lire n’a jamais rendu malade. Ces travaux offrent un éclairage critique qui peut nourrir la réflexion, sans jamais inciter à rejeter la médecine en bloc.


Un commentaire

  1. A priori, je relève des incohérences et/ou des informations manquantes dans ce texte…
    Cependant, je continue mes recherches, car le sujet est important.

    Je trouve dommage de vouloir opposer les démarches de Pasteur et Bequand qui, selon mon point de vue, ont raison tous les deux…La réalité a deux faces. Le monde n’est pas binaire, il est multiple…

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