mai 22, 2025

La France et la Belgique doivent sortir de l’OMS avant qu’il ne soit trop tard

En ce printemps 2025, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est plus fragile que jamais.

Les États-Unis ont officiellement quitté l’organisation en janvier, suivis de l’Argentine en février, marquant une rupture historique.
Ces départs interviennent dans un contexte où plusieurs enquêtes internationales ont été ouvertes sur la gestion des politiques sanitaires, thérapeutiques et vaccinales menées par l’OMS durant les années Covid.

Mais cette fragilité pourrait être de courte durée.
Car l’OMS tente aujourd’hui de regagner le contrôle en imposant son “Traité mondial sur les pandémies”, finalisé le 16 avril 2025.
Ce traité pourrait être adopté à la fin mai, dans la plus grande indifférence médiatique.

Un traité contraignant, malgré les apparences

La version 2025 du traité prétend rassurer : le texte mentionne que “la souveraineté des États est respectée”. Mais derrière ces formules diplomatiques, le cœur du problème demeure.

Ce traité serait juridiquement contraignant, un fait extrêmement rare dans le cadre des règlements de l’OMS.
Cela signifie que les États membres pourraient être obligés légalement d’appliquer des mesures sanitaires décidées à Genève, même si elles contredisent la volonté de leurs citoyens.

Plus inquiétant encore : ce traité repose toujours sur la doctrine “One Health”, un concept promu par la Commission européenne, la Fondation Gates et d’autres structures privées.

Derrière les apparences d’une “santé globale”, il s’agit d’une approche centralisée, technocratique et idéologique, qui fusionne santé humaine, animale et environnementale pour justifier un contrôle sanitaire généralisé.

Pourquoi la France et la Belgique doivent agir maintenant

Nous avons une fenêtre de tir stratégique : l’OMS est affaiblie comme jamais auparavant. Son autorité est contestée, ses choix passés examinés, son influence sur la scène internationale diminuée.

C’est le moment idéal pour la France et la Belgique de reprendre leur souveraineté sanitaire :

  • Pour ne plus déléguer nos décisions de santé publique à une organisation opaque et non élue
  • Pour mettre fin à l’influence toxique de Big Pharma dans les politiques de santé
  • Pour respecter enfin les choix de chaque citoyen en matière de traitements, de prévention et de vaccination
  • Pour sortir de l’idéologie technocratique de la gestion sanitaire globale

Une sortie possible, légitime et nécessaire

Quitter l’OMS n’est pas un acte extrême. C’est un acte de responsabilité politique.

Les États-Unis et l’Argentine l’ont fait. D’autres pays s’y préparent.
Il est temps que la France et la Belgique s’affranchissent elles aussi d’un système de gouvernance sanitaire qui a trahi la confiance des peuples.

Nous devons reconstruire une coopération internationale de santé fondée sur la transparence, l’éthique, le débat démocratique, et non sur les intérêts privés ou les pressions idéologiques.

Rejoindre une nouvelle alliance libre

De nouvelles alliances sont déjà en cours de formation entre pays souverains, désireux de créer des institutions sanitaires réellement indépendantes. Des réseaux de médecins, de juristes, d’experts en santé publique s’unissent pour proposer une alternative crédible à l’OMS actuelle.

La France et la Belgique ont tout intérêt à rejoindre cette dynamique et à faire entendre la voix de leurs peuples, avant que le traité mondial sur les pandémies ne leur lie les mains pour de bon.

Il est encore temps d’agir.

Sortir de l’OMS n’est pas un isolement, c’est une libération.
C’est reprendre le contrôle de notre santé, de nos choix, de notre avenir.

💬 Et vous, pensez-vous que la France et la Belgique doivent rester sous la tutelle de l’OMS ?
Partagez votre avis. Informez autour de vous. Ce débat ne peut plus être ignoré.

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