mai 12, 2025

COVID-19 : 5 Ans après, sommes-nous les témoins d’un coup d’État sanitaire ?

Il y a cinq ans, un virus bouleversait la planète. Ce qui semblait être une crise sanitaire inédite s’est peu à peu mué, pour beaucoup d’observateurs avertis, en un véritable coup d’État sanitaire.

Cette expression n’est pas utilisée à la légère.
Elle reflète une prise de pouvoir insidieuse, une instrumentalisation de la peur pour imposer des mesures liberticides et établir un contrôle social sans précédent.

Au cœur de cette analyse, une figure s’impose : Jean-Dominique Michel, expert en santé publique, qui n’a cessé de dénoncer cette dérive et d’en démontrer les rouages.

Dans une récente interview (ci-dessous), il revient sans concession sur cette séquence historique, qui marque peut-être l’avènement d’un nouveau modèle de gouvernance, où la santé publique devient le prétexte à toutes les manipulations.

L’origine du virus : début d’un enfumage planétaire

Tout commence avec une question pourtant fondamentale : d’où vient réellement le SARS-CoV-2 ?

Pendant des mois, l’opinion publique a été bercée par le récit rassurant d’un virus issu de la nature, transmis à l’homme via un animal intermédiaire comme le pangolin ou la chauve-souris. Mais très vite, cette thèse montre ses limites. Les preuves manquent, les incohérences s’accumulent.

Des voix s’élèvent, parmi elles celle du Pr Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, qui évoque des séquences génétiques anormales dans le virus, suggérant une possible manipulation de laboratoire.
Ces déclarations, bien qu’émises par des experts de renom, sont aussitôt tournées en dérision, censurées ou traitées comme des élucubrations complotistes.

Pourtant, les révélations s’enchaînent. Jeffrey Sachs, président de la prestigieuse commission COVID-19 du Lancet et professeur à l’université de Columbia, finit par reconnaître publiquement que l’hypothèse d’une origine artificielle est non seulement crédible, mais probable à 99 %. (Source)

Dès février 2020, certains gouvernements auraient même eu connaissance de cette possible origine de laboratoire.
Mais admettre cette réalité, c’était ouvrir la boîte de Pandore. Cela signifiait pointer du doigt des responsabilités politiques, économiques et scientifiques bien plus grandes qu’un simple accident de la nature.

Pourquoi ce silence organisé ?
Parce qu’admettre l’inacceptable aurait mis à nu les responsabilités des plus puissants.
Ce fut le premier acte de ce coup d’État sanitaire : étouffer la vérité à son berceau.

Une crise gérée à l’envers : quand la peur devient outil de pouvoir

À partir de mars 2020, un basculement sans précédent s’opère.
Partout dans le monde, les mêmes mesures liberticides sont imposées à des sociétés tétanisées : confinements généralisés, fermetures des écoles et des commerces, couvre-feux, interdictions de rassemblements.

Ce qui était présenté comme des mesures temporaires pour « sauver des vies » s’est progressivement transformé en un contrôle permanent et oppressant.

Jean-Dominique Michel dénonce avec force cette logique : « Tout a été fait à l’envers de ce que l’on sait devoir faire en santé publique. Ce n’était plus une crise sanitaire, c’était une stratégie de prise de pouvoir. »

Les manuels de gestion des pandémies, y compris ceux de l’OMS datant de 2019, déconseillaient pourtant formellement ces mesures de confinement.
Les experts de santé publique savaient que ces stratégies avaient des effets délétères plus graves que les bénéfices attendus.
Mais curieusement, ces connaissances ont été balayées d’un revers de main.

On a préféré nourrir l’hystérie collective à coups de chiffres décontextualisés et de courbes alarmantes, plutôt que de mettre en œuvre des stratégies de soins précoces et de protection ciblée des populations les plus vulnérables.

📽️ Regardez l’analyse complète de Jean-Dominique Michel dans cette vidéo incontournable :

Les vaccins : le cheval de Troie du coup d’État sanitaire

Au cœur de cette manipulation, l’arrivée des vaccins à ARN messager a joué un rôle central.
Présentés comme l’unique solution pour sortir de la crise, ces produits expérimentaux ont été déployés à une vitesse inédite dans l’histoire de la médecine.

Le problème ?
Ces injections ne sont pas des vaccins au sens traditionnel du terme.
Elles relèvent d’une technologie génique encore en phase expérimentale (voir notre présentation du livre « Plus Jamais ça » ici), jamais utilisée à si grande échelle sur des populations humaines.
Pourtant, elles ont été imposées, parfois sous la contrainte, au nom de la « science ».

Jean-Dominique Michel rappelle que les autorités de santé n’ont pas mené leurs propres investigations.
Elles se sont contentées de reprendre, sans vérification, les documents fournis par les industriels eux-mêmes.

Comment décrire autrement cette alliance entre les gouvernements et l’industrie pharmaceutique, si ce n’est en disant qu’ils travaillent main dans la main au détriment de l’intérêt public?
Et quel meilleur moyen pour asseoir cette prise de pouvoir que de contrôler la santé et le corps des citoyens, jusqu’à imposer des injections conditionnant l’accès à la vie sociale, au travail et même à la liberté de circulation?

Coup d'Etat sanitaire & corruption

La censure organisée et la mort du débat public

Ce coup d’État sanitaire ne s’est pas limité à des mesures politiques ou médicales. Il s’est accompagné d’une répression sans précédent de la parole publique.

Les réseaux sociaux sont devenus les instruments d’une censure systématique, où toute opinion divergente était immédiatement qualifiée de « désinformation ».

Des médecins renommés ont vu leurs comptes suspendus, leurs vidéos supprimées.

Les journalistes indépendants ont été diabolisés, et toute remise en question du discours officiel a été assimilée à du complotisme.

L’information a été confisquée par des institutions financées directement ou indirectement par les grandes industries pharmaceutiques.
En témoigne le rôle central de la fondation Bill & Melinda Gates dans le financement de l’OMS et de nombreux médias à travers le monde.

Cette concentration du pouvoir médiatique a fait taire les débats, empêchant la société de s’interroger collectivement sur le bien-fondé des mesures prises.

Et maintenant, que reste-t-il à faire ?

Pour Jean-Dominique Michel, il est impératif de ne pas oublier.

Ce que nous avons vécu n’est pas une parenthèse tragique : c’est un signal d’alarme.

La tentative de prise de pouvoir sur nos vies, nos corps et nos esprits n’a pas disparu avec la fin des confinements.

Le projet de société de contrôle est toujours en cours : QR codes, surveillance numérique, projets de monnaies numériques centralisées (CBDC), pressions continues sur la vaccination et la restriction des libertés fondamentales.

Mais l’espoir existe. Il réside dans l’éveil des consciences, dans la résistance paisible mais ferme des citoyens.

Refuser de participer à ce système de contrôle, retrouver des espaces de liberté, soutenir les médias indépendants et, surtout, continuer de s’informer, de débattre et de penser par soi-même.

Pour approfondir et comprendre la mécanique de cette crise, découvrez les livres de Jean-Dominique Michel :

📖 La fabrication du désastre – Comprendre les enjeux cachés de la crise sanitaire

📖 Autopsie d’un désastre – Le livre qui dévoile la vérité sur la gestion du COVID

Deux livres indispensables et sourcés pour comprendre, et partager autour de vous des informations et des arguments vérifiables.

Livre La fabrication du désastre
Livre Autopsie d'un désastre

💬 Et vous, que pensez-vous de cette analyse ?
Avez-vous vous aussi ressenti cette volonté de contrôle pendant ces années de crise ?
Partagez votre avis en commentaire et contribuez à réveiller les consciences autour de vous.

📣 Il est temps d’agir. Partagez cet article et brisons ensemble le silence !

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