Dans un discours aussi solennel que décisif, Robert F. Kennedy Jr. — candidat à la présidentielle américaine de 2024 — a lancé un appel mondial à la rupture avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Son message, adressé aux ministres de la santé du monde entier, marque un tournant. Il ne s’agit plus seulement de critiquer l’institution : Kennedy appelle à en sortir, purement et simplement, pour créer une nouvelle coopération internationale, débarrassée des influences privées et politiques.
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Une dénonciation directe des dérives de l’OMS
Kennedy ne mâche pas ses mots. Selon lui, l’OMS ne sert plus les peuples, mais les intérêts privés des multinationales pharmaceutiques, des ONG opaques et des puissances étrangères hostiles.
“Nous voulons libérer la coopération sanitaire internationale de la camisole de force de l’ingérence politique… et des influences corruptrices des compagnies pharmaceutiques.” — RFK Jr.
Un appel à bâtir une nouvelle coopération mondiale
Kennedy ne se limite pas à la critique. Il propose de créer de nouvelles institutions, ou de refonder celles qui existent déjà, à condition qu’elles soient:
plus efficaces
transparentes
redevables devant les citoyens
Il tend la main à tous les pays “libres”, déjà en contact avec les États-Unis selon lui, pour bâtir un nouvel écosystème de santé mondiale hors de l’orbite de l’OMS et de ses donateurs non élus.
Pourquoi ce discours est un tournant
Ce discours de Robert Kennedy intervient dans un contexte international brûlant :
L’OMS pousse actuellement pour obtenir des pouvoirs contraignants mondiaux en cas d’“urgence sanitaire”, sans consultation des peuples.
Des négociations sur un nouveau traité international sur les pandémies sont en cours à Genève, visant à centraliser le pouvoir sanitaire mondial.
De nombreux pays commencent à remettre en cause l’autorité absolue de l’OMS depuis sa gestion controversée du Covid-19, marquée par des contradictions, des recommandations floues et une dépendance évidente à l’égard de donateurs privés comme Bill Gates ou des intérêts de Big Pharma.
Ce que Kennedy propose, c’est plus qu’une rupture : c’est une révolution
Kennedy rappelle qu’il n’est pas contre la coopération internationale, mais qu’elle doit être réinventée sur des bases saines.
“Nous n’avons pas à subir les limites d’une OMS moribonde.”
Il appelle donc :
à reprendre la souveraineté nationale en matière de santé
à refuser toute délégation de pouvoir sans contrôle citoyen
à protéger la santé de nos enfants et petits-enfants des dérives bureaucratiques et commerciales
Le monde est-il prêt à suivre ?
Kennedy n’est pas seul. Plusieurs pays africains, d’Amérique du Sud et d’Asie ont déjà émis des réserves sur les projets d’accords internationaux de l’OMS. Des ONG, des médecins et des juristes indépendants appellent à un moratoire mondial.
Son message pourrait bien servir de catalyseur à une rébellion mondiale contre une gouvernance sanitaire globalisée et désincarnée.
L’appel de Robert Kennedy à quitter l’OMS est plus qu’une proposition politique : c’est un cri d’alerte. Un appel à reprendre le contrôle, à rompre avec un système qui a échoué, et à bâtir une santé publique réellement au service des peuples.
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