Vaccins santé publique: comprendre vite, décider mieux

Et si, au lieu de suivre les rumeurs… vous lisiez enfin les règles du jeu officielles ?
Mais avec discernement.
Parce que derrière les sigles rassurants et les beaux principes de santé mondiale, il y a des mécanismes opaques, des intérêts financiers colossaux… et des précédents qui forcent à la vigilance.

Dans cet article, vous découvrirez les procédures officielles de l’OMS (Organisation mondiale de la santé), ses pouvoirs en cas d’alerte sanitaire, et ce que veulent dire concrètement des termes comme USPPI/PHEIC ou RSI/IHR.
Mais surtout, vous verrez qui décide vraiment, comment sont définies les urgences sanitaires, et quels risques cela fait peser sur votre liberté et votre santé.

Parce qu’il ne s’agit pas de nier les maladies.
Mais bien de ne plus confondre prévention et manipulation.
Et de ne plus jamais laisser une poignée d’acteurs privés tirer profit d’une panique mondiale… sans que personne ne leur demande de comptes.

Pourquoi parler de règles plutôt que de rumeurs

Quand une maladie inquiète le monde, on entend beaucoup d’affirmations qui font peur. Mais il existe des règles écrites, communes à presque tous les pays.
Ces règles disent qui alerte, qui vérifie, et qui peut recommander quoi.
Elles ont des noms un peu techniques, comme RSI/IHR ou USPPI/PHEIC, et elles s’appuient sur l’OMS.

Dans l’article, nous allons vous expliquer ces sigles avec des mots simples pour que vous puissiez regarder n’importe quelle vidéo, lire n’importe quel post, et vous faire votre propre avis parce que vous en comprendrez les termes.

Les 3 mots à connaître, expliqués simplement

RSI/IHR
Ce sont des règles communes entre pays pour gérer les dangers qui peuvent passer les frontières.
En français: Règlements sanitaires internationaux (RSI).
En anglais: International Health Regulations (IHR).
Elles disent qui prévient, qui vérifie et comment on décide.
Pensez-y comme un mode d’emploi mondial pour éviter le bazar quand une maladie arrive. (Source who.int)

USPPI/PHEIC
C’est une étiquette d’urgence.
En français: Urgence de santé publique de portée internationale (USPPI).
En anglais: Public Health Emergency of International Concern (PHEIC). Elle sert quand un événement est extraordinaire, peut se propager dans d’autres pays, et demande une réponse coordonnée.
Le Directeur général de l’OMS la déclare après l’avis d’un comité d’experts. Cela ouvre des recommandations temporaires, pas des lois.

OMS
Agence de l’ONU créée par des États: Constitution adoptée à New York en juin-juillet 1946, signée le 22 juillet 1946, entrée en vigueur le 7 avril 1948.
Son rôle: aider les pays à protéger la santé, surveiller les menaces, émettre des recommandations.

Financement mixte: contributions obligatoires des États et contributions volontaires fléchées (États, alliances, fondations).

Contexte historique: la Fondation Rockefeller a fortement soutenu l’architecture sanitaire internationale à l’époque de la Société des Nations, influençant réseaux et écoles de santé publique.

Aujourd’hui, la Fondation Bill & Melinda Gates figure régulièrement parmi les tout premiers contributeurs volontaires de l’OMS, ce qui nourrit des débats sur l’indépendance et la transparence. (Source WHO)

L’histoire en bref: de 1948 à aujourd’hui

En 1948, les pays créent l’OMS pour coopérer en santé.
Objectif simple: partager l’info, aider, conseiller.

En 1974, l’OMS lance un grand programme de vaccination pour que plus d’enfants aient accès aux vaccins.
En 2005, les pays adoptent des règles communes, les RSI/IHR (Règlements sanitaires internationaux / International Health Regulations), afin de mieux gérer les dangers qui peuvent franchir les frontières.

Ces règles définissent aussi l’USPPI/PHEIC (Urgence de santé publique de portée internationale / Public Health Emergency of International Concern): un label d’urgence pour un événement exceptionnel qui peut se propager et demande une réponse coordonnée.

Comment ça marche concrètement quand il y a un danger

Étape 1 — Le signal
Un pays repère quelque chose d’inhabituel (beaucoup de malades, vite).
Il utilise l’outil prévu par les RSI/IHR (Règlements sanitaires internationaux / International Health Regulations) pour vérifier si c’est sérieux.

Étape 2 — Alerte en 24 h
Si oui, le pays prévient l’OMS (Organisation mondiale de la santé) dans les 24 heures et partage les premières informations utiles.

Étape 3 — Vérification
L’OMS compare les données, demande des précisions et peut écouter d’autres sources, puis réunit un Comité d’urgence d’experts pour avoir un avis.

Étape 4 — Décision d’urgence
Avec cet avis, le Directeur général de l’OMS peut déclarer une USPPI/PHEIC (Urgence de santé publique de portée internationale / Public Health Emergency of International Concern). Cela ouvre des recommandations temporaires pour coordonner la réponse.

Étape 5 — Application par les pays
Chaque pays reste souverain: il choisit comment appliquer ces recommandations chez lui, selon sa situation.

Petit pense-bête des sigles
RSI/IHR = règles communes entre pays et OMS.
OMS = agence de l’ONU qui coordonne et conseille.
USPPI/PHEIC = étiquette d’urgence pour un événement grave qui peut se propager.

Compléments 2025 (RSI/IHR) et nuances

Ce qui a changé le 19 septembre 2025
• Nouveau niveau d’alerte: « urgence due à une pandémie ». C’est le plus haut niveau. Techniquement, c’est une USPPI/PHEIC (Urgence de santé publique de portée internationale / Public Health Emergency of International Concern) causée par une maladie transmissible et remplissant des critères additionnels: large diffusion géographique, surcharge des systèmes de santé, forte perturbation sociale/économique, besoin d’action internationale rapide et équitable. (Source: who.int)

• Autorité nationale RSI obligatoire.
Chaque État doit désigner une autorité nationale RSI pour coordonner l’application des RSI/IHR (Règlements sanitaires internationaux / International Health Regulations).
Objectif: décisions plus rapides et lisibles.

• Équité et solidarité renforcées.
Les textes officiels insistent sur l’accès plus équitable aux produits médicaux, aux financements et sur une coopération accrue lors des urgences.
• Transparence et coordination.
Les amendements réaffirment la logique de notification rapide, d’évaluations publiques et de recommandations temporaires non contraignantes.
La souveraineté nationale est réaffirmée.
• Entrée en vigueur. Amendements adoptés le 1ᵉʳ juin 2024. Notification le 19 septembre 2024.
Application dès le 19 septembre 2025 pour la plupart des États Parties, avec quelques rejets ou réserves listés par l’OMS.

Nous devons devenir les acteurs d’une vigilance active responsable

• Gardons un œil sur la centralisation: l’« urgence due à une pandémie » crée un étage d’alerte supplémentaire.
Exigeons la publication des avis du Comité d’urgence, la traçabilité des données et les justifications chiffrées.

• Conflits d’intérêts: suivez l’argent, les contributions fléchées et les partenariats public-privé.
Comparez toujours procédures (RSI/IHR) et acteurs qui les alimentent.
Lecture utile pour ce prisme critique: notre billet sur Kennedy Jr.
→ Lire: « La santé publique avec Kennedy »

⚠️ Une vidéo à voir pour vous faire votre propre opinion

Regardez l’extrait original pour vous faire votre idée.
Vous y entendrez le Dr David Martin qualifier l’OMS (Organisation mondiale de la santé) d’« organisation criminelle », affirmant qu’elle a été fondée par des eugénistes et qu’elle se consacre depuis 1953 presque exclusivement à la promotion des vaccins, au profit d’intérêts financiers puissants, comme le souligne aussi Kennedy dans ses multiples interventions.

Il alerte aussi sur un conflit d’intérêts structurel: selon lui, ce sont les mêmes acteurs qui déclarent une pandémie, qui en fixent les critères, qui collectent les données… et qui profitent des produits promus.
Comment espérer une reddition de comptes ou une justice indépendante dans un tel système?

Ces propos font écho à un malaise grandissant: beaucoup de citoyens ne font plus confiance aux récits officiels.
Les scandales passés, la gestion opaque des crises, et les conflits d’intérêts répétés dans la gouvernance sanitaire mondiale appellent à une vigilance accrue.

C’est à chacun de nous, en tant que citoyen informé et responsable, de vérifier les faits, comparer les sources, comprendre les mécanismes réglementaires comme les RSI/IHR (Règlements sanitaires internationaux / International Health Regulations) ou les fameuses USPPI / PHEIC (Urgences de santé publique de portée internationale / Public Health Emergency of International Concern), et de ne plus jamais se laisser piéger par une crise montée de toutes pièces.

👉 Regardez la vidéo ici (lien vers X) :
https://x.com/BC_BlackMiror/status/1941941059665490361?s=20

Lectures conseillées pour vous faire votre idée

Voici trois ouvrages sourcés, écrits par des experts, pour lire les faits, comprendre les débats et décider par vous-même.

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