Les vaccins ARNm & la mortalité aux USA : une étude conjointe du MIT et du Surgeon General de Floride relance le débat.
Les données analysées suggèrent que les injections à ARNm, en particulier celles de Pfizer, pourraient avoir causé plus de décès que la Première et la Seconde Guerre mondiale, ainsi que la guerre du Vietnam réunies.
Une étude signée MIT et Floride
L’étude, intitulée « Twelve-Month All-Cause Mortality after Initial COVID-19 Vaccination with Pfizer-BioNTech or mRNA-1273 among Adults Living in Florida », a été menée sur 1,47 million d’adultes résidant en Floride. Son objectif : comparer les taux de mortalité toutes causes confondues sur 12 mois, selon le vaccin reçu (Pfizer ou Moderna).

Les résultats sont déjà frappants : les personnes ayant reçu le vaccin Pfizer (BNT162b2) présentent un risque significativement plus élevé de décès toutes causes confondues, y compris de décès cardiovasculaires et liés au COVID, mais aussi non-COVID, par rapport à celles ayant reçu Moderna (mRNA-1273).
Mais une seconde lecture, menée par l’entrepreneur et analyste Steve Kirsch, révèle une conclusion encore plus inquiétante.
Un calcul conservateur : 470 000 morts attribuables à Pfizer
Voici comment cette estimation a été construite :
- Environ 250 millions d’Américains ont reçu au moins une dose de vaccin COVID-19
- Parmi eux, 60 % ont reçu Pfizer → soit 150 millions de personnes
- Le taux de mortalité annuel “normal” aux États-Unis est d’environ 0,87 % (avant COVID)
Sur une année, on devrait donc s’attendre à :
150 M × 0,0087 = 1,305 million de décès
L’étude montre un excès de mortalité de 36 % chez les vaccinés Pfizer par rapport à Moderna :
1,305 M × 0,36 = 470 000 décès excédentaires
Autrement dit, 1 mort pour environ 636 doses administrées, ce qui correspond à un taux de létalité vaccinale (vDFR) de 0,157 %.
Ce chiffre ne vient pas de nulle part
Cette estimation est cohérente avec celle du chercheur néerlandais Redert, qui avait trouvé un vDFR moyen de 0,15 % à travers 17 pays européens.
Autre élément à considérer : la comparaison ici est faite entre deux vaccins à ARNm, dont les effets secondaires sont déjà reconnus comme importants. Ce qui signifie que le risque réel comparé à une population non vaccinée est probablement encore plus élevé.
Plus meurtriers que toutes les guerres américaines modernes
Selon cette extrapolation, les vaccins à ARNm – et en particulier celui de Pfizer – auraient causé plus de morts aux États-Unis que :
- La Première Guerre mondiale (116 000 morts américains)
- La Seconde Guerre mondiale (405 000)
- Et la guerre du Vietnam (58 000)
Soit un total cumulé d’environ 579 000 morts. Le vaccin Pfizer franchirait donc seul ce seuil, sans même comptabiliser les autres produits.

Les VAERS avaient raison?
Le système de pharmacovigilance VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System), souvent discrédité par les médias traditionnels, avait déjà signalé plus de 600 000 événements graves post-vaccination.
Cette nouvelle estimation rend ces chiffres non seulement crédibles, mais probablement en dessous de la réalité.
Et maintenant? La réponse politique attendue
Aux États-Unis, l’État du Minnesota a récemment déposé une proposition de loi (HF3219) pour reclassifier les injections à ARNm comme « armes biologiques de destruction massive ».
Un signal fort, qui illustre à quel point la confiance dans les institutions de santé publique est désormais en chute libre.
L’étude du MIT et de la Floride n’a pour l’instant provoqué aucune réaction officielle des CDC ou de la FDA.
Le silence est-il devenu la nouvelle réponse scientifique?
Alors que des millions d’enfants américains continuent à recevoir des rappels de vaccins à ARNm, les autorités restent muettes. Pourtant, les données s’accumulent. Les morts aussi.
Cette situation révèle une crise bien plus large : celle de la confiance dans la science, dans les gouvernements, dans les systèmes de santé publique.
Si ces chiffres sont exacts – et rien ne permet aujourd’hui de les réfuter sérieusement – alors l’histoire jugera sévèrement cette période.
Et elle commencera par ceux qui auront osé regarder les données. Et poser la question :
Combien de morts de trop pour que le débat ait enfin lieu ?—
Source principale : Nicolas Hulscher, MPH – Substack du 6 mai 2024
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