Imaginez Hippocrate, le père de la médecine, sculpté en train de sourire ironiquement.
Il observe notre dépendance à la haute technologie, tout en murmurant ses principes fondamentaux:
«Que ton aliment soit ton médicament» et, surtout, «D’abord ne pas nuire».
C’est dans cet esprit, lors de la conférence «Back to the Future» aux Pays-Bas, qu’une révélation a secoué le monde de la génomique et de la bioéthique. Une révélation qui remet en question la sécurité des vaccins ARNm contre la Covid-19. Une révélation trop peu relayée par les médias grand public.
Et si ces vaccins n’étaient pas aussi «purs» qu’on veut bien nous le faire croire?
Et si des fragments d’ADN indésirables s’y étaient glissés, contaminant le processus de fabrication?
Accrochez-vous, car nous allons plonger au cœur d’une controverse scientifique explosive, aux implications considérables pour notre santé et notre liberté de choix.
Kevin McKernan: le lanceur d’alerte de la génomique

Kevin McKernan n’est pas le premier venu. Avec plus de 30 ans d’expérience en génomique, ce scientifique a participé au Human Genome Project et fondé des sociétés clés dans le domaine du séquençage, comme Agencourt et Medicinal Genomics.
C’est un expert reconnu des technologies de séquençage et de contrôle qualité.
Mais en 2023, son laboratoire fait une découverte stupéfiante. Il détecte de l’ADN plasmidique résiduel dans les vaccins ARNm contre le SARS-CoV-2. Et pas en infimes quantités, non. À des niveaux qu’il juge problématiques.
Une véritable adultération, selon ses termes.
McKernan, face à ces résultats, choisit la transparence. Il documente ses découvertes, les met à disposition sous forme de diaporama et de vidéo. Mais il se heurte aux circuits classiques de publication scientifique.
Sujet trop sensible? Enjeux politico-industriels trop importants?
D’où son idée de «peer review décentralisée».
Un système d’évaluation par les pairs qui s’appuie sur des réseaux ouverts, la blockchain (Bitcoin) et le financement participatif.
L’objectif?
Évaluer des données scientifiques controversées en dehors des structures traditionnelles, souvent sous influence.
Pourquoi cette découverte est-elle cruciale?

La présence d’ADN résiduel dans les vaccins ARNm n’est pas une simple curiosité scientifique. Elle soulève des questions fondamentales sur la qualité, la sécurité et l’éthique de ces produits.
Ces vaccins sont des biotechnologies complexes, pas des «produits magiques». Ils comportent des risques potentiels liés à la présence d’ADN indésirable.
Cet ADN pourrait, par exemple, s’intégrer dans notre propre génome, avec des conséquences à long terme encore inconnues. Imaginez les implications pour les parents, les enfants à naître, les générations futures. C’est vertigineux.
De plus, la présence d’ADN plasmidique peut activer notre système immunitaire de manière inappropriée, provoquant des réactions inflammatoires ou auto-immunes.
C’est un peu comme si on envoyait de faux signaux d’alarme à notre corps, le perturbant et l’affaiblissant.
Le silence assourdissant des médias
Ce qui est frappant, c’est le peu d’écho médiatique de ces découvertes. Alors que des scientifiques de renom tirent la sonnette d’alarme, les médias grand public restent étrangement silencieux. Un silence qui interroge. Qui inquiète. Qui sème le doute.
Pourquoi si peu de débat sur un sujet aussi crucial?
Pourquoi ne pas informer honnêtement les citoyens des risques potentiels liés à ces vaccins?
Pourquoi ne pas exiger une transparence totale sur les processus de fabrication et de contrôle qualité?
Ces questions touchent au cœur de la bioéthique. Elles concernent notre droit à l’information, notre liberté de choix et notre consentement éclairé. Elles engagent la responsabilité des autorités sanitaires, des gouvernements et des laboratoires pharmaceutiques.
Bioéthique: transparence, contrôle qualité, «d’abord ne pas nuire»

La bioéthique, c’est l’ensemble des principes qui guident nos actions dans le domaine de la santé et des sciences de la vie. Elle repose sur des valeurs fondamentales comme le respect de la personne humaine, la dignité, la liberté et la responsabilité.
Dans le cas des vaccins ARNm, la bioéthique exige une transparence totale sur la composition, les modes d’action et les risques potentiels de ces produits. Elle implique un contrôle qualité rigoureux à chaque étape de la fabrication, pour garantir leur sécurité et leur efficacité.
Elle nous rappelle aussi le principe hippocratique «D’abord ne pas nuire».
Un principe essentiel, qui nous invite à la prudence et à la modération.
Avant d’administrer un traitement, quel qu’il soit, il faut s’assurer que les bénéfices attendus sont supérieurs aux risques encourus.
Mais comment prendre une décision éclairée si on nous cache des informations cruciales?
Comment évaluer les risques si on nous présente une visionPartialOnly et biaisée de la réalité?
Comment faire confiance à des autorités qui semblent plus soucieuses de défendre des intérêts économiques que de protéger notre santé?
Réflexions autour du livre de Robert Malone
Pour comprendre comment ces questions de contamination, de qualité et de transparence vaccinale s’inscrivent dans un système plus large de mensonges d’État et de manipulation de l’information, plongez dans le livre de Robert W. Malone, «COVID-19 – Les mensonges du gouvernement U.S.».
Ce livre révèle les liens complexes entre les agences sanitaires, le gouvernement, l’industrie pharmaceutique et la gestion du récit public autour des vaccins. Il met en lumière les conflits d’intérêts, les pressions politiques et les stratégies de désinformation qui ont façonné la réponse à la pandémie.
Un ouvrage indispensable pour toute personne qui refuse de confier sa santé à des récits officiels non vérifiés.
Pour comprendre comment ces questions de contamination, de qualité et de transparence vaccinale s’inscrivent dans un système plus large de mensonges d’État et de manipulation de l’information, découvrez le livre de Robert W. Malone ‘COVID-19 Les mensonges du gouvernement U.S.’. Un ouvrage indispensable pour toute personne qui refuse de confier sa santé à des récits officiels non vérifiés.
L’article source de Robert Malone peut être consulté ici : Definitive Evidence of DNA Adulteration
Points clés
- Kevin McKernan a détecté de l’ADN plasmidique résiduel dans les vaccins ARNm Covid-19.
- Cette contamination soulève des questions de sécurité, de qualité et d’éthique.
- Les médias grand public restent étrangement silencieux sur cette affaire.
- La bioéthique exige transparence, contrôle qualité et respect du principe «d’abord ne pas nuire».
- Le livre de Robert Malone éclaire les liens entre agences sanitaires, gouvernement et industrie pharmaceutique.
Le livre pour aller plus loin
Si la contamination ADN des vaccins ARNm pose question, la seule réponse honnête est d’observer la réalité du terrain. Le livre ‘Non vacciné ou vacciné?’ examine les données comparatives de santé pour vous permettre de vous faire votre propre opinion, loin des slogans.
En conclusion, la contamination ADN des vaccins ARNm est une affaire grave, qui mérite une enquête approfondie et un débat public transparent. Ne laissons pas la peur ou l’idéologie obscurcir notre jugement. Exigeons la vérité, pour notre santé et celle des générations futures.
Alors, que pensez-vous de tout cela?
Quels sont vos sentiments face à ces révélations?
Avez-vous des questions ou des expériences à partager?
Exprimez-vous dans les commentaires ci-dessous!
Votre voix compte.













