mai 30, 2025

Risque cardiaque des vaccins COVID : la vérité éclate enfin aux États-Unis

Depuis plusieurs mois, un nombre croissant de citoyens et de médecins alertent sur un sujet longtemps resté tabou : le risque cardiaque des vaccins COVID.
Cette problématique, autrefois cantonnée à des cercles critiques marginalisés, s’impose désormais au cœur du débat public américain.

Selon un sondage publié le 16 mai 2025 par l’institut Rasmussen Reports, 51 % des adultes aux États-Unis pensent que les vaccins contre le COVID-19 ont probablement causé des inflammations du cœur chez de nombreux patients vaccinés. Un chiffre lourd de sens, qui illustre un basculement de la perception collective. (Source)

Le 7 mai dernier, la Food and Drug Administration (FDA) a officiellement exigé que les fabricants de vaccins à ARNm mettent à jour leurs notices.
Objectif : inclure plus explicitement les risques de myocardite et de péricardite, en particulier chez les jeunes hommes de moins de 30 ans.

Cette décision confirme ce que certains médecins indépendants dénoncent depuis 2021 : le lien entre vaccins et inflammations cardiaques n’est plus une hypothèse marginale, mais un risque reconnu, documenté, et désormais assumé.

Mais qu’entend-on exactement par myocardite et péricardite ?
La première désigne une inflammation du muscle cardiaque, la seconde touche la membrane qui entoure le cœur. Ces deux pathologies, potentiellement graves, peuvent provoquer douleurs thoraciques, troubles du rythme cardiaque, voire des décès soudains chez des sujets jeunes. Elles ne sont pas nouvelles, mais leur fréquence après injection vaccinale inquiète.

Le choc, cependant, ne vient pas seulement des effets secondaires en tant que tels. Il vient surtout de la prise de conscience massive que ces risques ont été minimisés, voire sciemment dissimulés. C’est ce que révèlent aujourd’hui des documents internes, des témoignages d’experts et des auditions parlementaires explosives. La confiance du public vacille.

🧠 Ce que révèle réellement la science sur les risques cardiaques

Le risque cardiaque des vaccins COVID n’est plus une simple rumeur circulant sur les réseaux sociaux alternatifs. Il s’agit aujourd’hui d’un sujet documenté, chiffré et reconnu dans plusieurs publications scientifiques internationales, au point que même les agences de santé les plus prudentes commencent à revoir leur position officielle. Ce tournant n’est pas anodin : il marque la fin d’un silence, et le début d’un réexamen critique d’une campagne vaccinale menée dans l’urgence.

Parmi les études les plus citées, celle publiée en 2022 dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) avait déjà mis en lumière une augmentation significative des cas de myocardite, en particulier chez les hommes de 16 à 24 ans, dans les jours qui suivent la deuxième dose d’un vaccin à ARNm.
Les chercheurs y avaient noté que l’incidence observée dépassait largement les taux de myocardite attendus dans cette tranche d’âge. D’autres études menées en Scandinavie, au Canada ou encore en Israël sont venues confirmer ces résultats, poussant certains pays à suspendre temporairement ou adapter leur stratégie vaccinale.

Mais alors pourquoi ce signal d’alerte n’a-t-il pas été immédiatement pris en compte par les autorités ?
Le discours dominant a longtemps insisté sur le fait que les bénéfices du vaccin l’emportaient sur les risques.
Un argument qui reste pertinent pour certaines populations à risque élevé, mais qui a été appliqué sans nuance à des millions de jeunes en bonne santé.

Or, selon plusieurs analyses rétrospectives, le rapport bénéfice/risque pour les jeunes adultes, surtout masculins, pourrait être beaucoup moins favorable qu’annoncé, notamment en ce qui concerne les effets cardiovasculaires.

En 2023, une méta-analyse indépendante conduite par une coalition de chercheurs européens et américains a même suggéré que le nombre de myocardites post-vaccinales était probablement sous-déclaré, en raison du manque de suivi à long terme et de la réticence de certains praticiens à faire le lien avec l’injection.

Des bases de données comme VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) aux États-Unis ou EudraVigilance en Europe ont montré une augmentation anormale de signalements après administration de doses Pfizer ou Moderna, bien au-delà de ce qui avait été anticipé dans les essais cliniques.

Il est donc désormais difficile, même pour les plus fervents défenseurs de la politique vaccinale, de nier la réalité de ces risques cardiaques.
D’ailleurs, l’Agence européenne des médicaments (EMA), tout comme la FDA, a modifié ses recommandations à plusieurs reprises. Ce revirement progressif est le résultat d’une pression croissante du terrain médical, de la recherche indépendante, et de la société civile.

Pour autant, cette reconnaissance partielle ne suffit pas à effacer les mois — voire les années — durant lesquels les inquiétudes ont été étouffées, moquées, ou censurées.
Pour de nombreux citoyens, il s’agit désormais moins de médecine que de vérité et de justice.

Car la science ne peut être crédible que si elle est transparente, et la santé publique ne peut être respectée que si elle respecte le droit des citoyens à une information claire, complète et sincère.

🏛 Pourquoi ces informations ont-elles été minimisées ?

À mesure que la lumière se fait sur le risque cardiaque des vaccins COVID, une question s’impose avec une force grandissante : comment une information aussi cruciale a-t-elle pu être tenue sous silence aussi longtemps ? Comment se fait-il que des signaux aussi clairs aient été étouffés ou ignorés, malgré les données, les témoignages, et les alertes médicales répétées ?

La réponse se trouve peut-être moins dans l’erreur que dans un système structuré autour d’une logique de contrôle narratif, où la communication prend le pas sur la vérité scientifique. Dès le départ, les campagnes de vaccination contre le COVID-19 ont été présentées comme des “opérations de guerre sanitaire”. Dans cette logique, toute remise en question — même argumentée — a été perçue comme une trahison, une désinformation, voire un danger pour la santé publique.

Les agences de santé, pourtant censées agir dans l’intérêt général, se sont souvent montrées étonnamment opaques. Lors des auditions récentes menées par le Sénat américain sous l’impulsion du sénateur Ron Johnson, des documents internes de la FDA et du CDC ont révélé des échanges inquiétants. Certains hauts fonctionnaires étaient au courant des risques de myocardite dès les premiers mois de la campagne vaccinale, mais ont choisi de ne pas les médiatiser. Officiellement, il s’agissait d’“éviter la panique”. En réalité, cela a permis de maintenir une couverture vaccinale élevée sans remettre en cause les contrats passés avec les laboratoires pharmaceutiques.

Ce silence n’a pas été neutre. Il a retardé la prise en charge de milliers de cas de myocardites. Il a aussi disqualifié les médecins qui osaient alerter. Beaucoup ont été censurés sur les réseaux sociaux, suspendus par leurs ordres professionnels, ou assimilés à des “complotistes” — un terme désormais utilisé pour invalider toute parole dissidente, même lorsqu’elle repose sur des données solides.

Mais derrière ces censures, des intérêts financiers colossaux se dessinent. Le marché mondial des vaccins COVID représente des dizaines de milliards d’euros, avec des marges jamais vues dans l’histoire pharmaceutique. Les liens financiers entre les agences de régulation et les industriels sont bien connus. Dans une enquête de 2024, près de 70 % des experts siégeant dans les comités de décision de la FDA avaient reçu des financements, directement ou indirectement, de la part de Big Pharma.

Cette situation pose un vrai problème de conflit d’intérêts systémique. Peut-on vraiment croire que des institutions liées financièrement aux fabricants peuvent rester neutres lorsqu’il s’agit d’évaluer les effets secondaires de leurs produits ? Peut-on parler d’“evidence-based medicine” lorsque les données dérangeantes sont volontairement enterrées ?

Le cas du risque cardiaque des vaccins COVID illustre à quel point l’urgence sanitaire a servi de prétexte pour faire sauter les garde-fous habituels de l’éthique médicale. La transparence a été sacrifiée sur l’autel de la stratégie vaccinale globale. Aujourd’hui, il ne s’agit plus de débattre de l’efficacité de ces produits, mais de comprendre pourquoi le public a été désinformé — et qui en a profité.

L’audition au Sénat, intitulée “La corruption de la science et des agences fédérales de santé”, a marqué un tournant : pour la première fois, des voix officielles osent nommer ce qui a été jusqu’ici nié. Ce n’est plus une affaire marginale. C’est un scandale systémique en gestation, qui pourrait bien redéfinir le rapport entre citoyens, science, et pouvoir.

📣 Le rôle des citoyens, parents et mouvements comme MAHA

Risque cardiaque des vaccins COVID - Transparence exigée!

Alors que les institutions médicales peinent à regagner la confiance du public, ce sont les citoyens eux-mêmes qui reprennent l’initiative. Parents, soignants indépendants, chercheurs non affiliés, journalistes alternatifs, collectifs de patients : tous participent à une dynamique de réveil face à ce qui ressemble de plus en plus à un dysfonctionnement systémique du monde de la santé. Et dans ce mouvement, les MAHA Moms occupent une place de choix.

Nées au sein de la mouvance “Make America Healthy Again”, ces femmes — souvent mères de famille — incarnent une contestation douce mais déterminée des injonctions sanitaires imposées depuis 2020. Au-delà des clichés, ce sont des citoyennes concernées par la qualité de l’alimentation, la composition des produits pharmaceutiques, l’impact des perturbateurs endocriniens, et bien sûr, la transparence sur les risques sanitaires des vaccins COVID.

Leur message est simple : “On ne peut plus faire confiance aveuglément”. Et cette défiance, loin d’être une posture idéologique, repose sur des données, des témoignages, des expériences vécues. Beaucoup ont vu leurs enfants développer des symptômes post-vaccinaux ignorés ou minimisés. D’autres ont tenté d’alerter, pour se heurter au mépris ou à la censure. Cette révolte silencieuse a muté en exigence de vérité, puis en action politique.

Leur influence est telle qu’en 2024, elles ont contribué à un rapprochement politique inédit entre le courant MAHA porté par Robert F. Kennedy Jr. et le camp Trump/MAGA. Cette alliance improbable s’est cristallisée autour d’une idée fondatrice : l’accès à la vérité ne devrait jamais être sacrifié au nom du “bien collectif” imposé d’en haut.

Les MAHA Moms ont ainsi joué un rôle décisif dans la dénonciation du risque cardiaque des vaccins COVID, en partageant massivement les études censurées, les témoignages de victimes, les auditions du Sénat. Leur mobilisation en ligne — via les hashtags #MAHAMoms ou #VaccineInjury — a participé à créer une masse critique de citoyens informés, difficilement marginalisable.

Mais ce mouvement dépasse les frontières américaines. En France, en Belgique, en Suisse, des collectifs similaires émergent. Ils ne se définissent ni de droite, ni de gauche. Ce sont des communautés en quête de cohérence et de souveraineté sanitaire. Ils ne réclament pas l’interdiction pure et simple des vaccins, mais le droit de choisir librement, avec une information complète. Et surtout, de refuser que la dissidence soit assimilée à un crime moral.

C’est dans ce contexte que les lecteurs des Éditions marco pietteur trouvent un écho particulier.
Les ouvrages publiés par la maison — sur les vaccins, la santé naturelle, les conflits d’intérêts médicaux — prennent tout leur sens face à cette lame de fond citoyenne.
Ces livres ne sont pas des manifestes dogmatiques, mais des outils d’éveil, de discernement, d’émancipation intellectuelle.
Ils donnent des mots à celles et ceux qui sentent que “quelque chose cloche” sans toujours savoir comment le formuler.

Alors oui, quelque chose est en train de bouger. Non pas à travers les grands médias ou les discours officiels, mais par la base, dans les familles, les cercles de soin, les conversations informelles. Le risque cardiaque des vaccins COVID n’est plus un tabou. Il est devenu un catalyseur, un révélateur, un point de bascule. Et ceux qui osent le nommer participent, qu’ils le sachent ou non, à une révolution douce, fondée sur la vérité, le respect et la souveraineté intérieure.

Livre "Covid-19-Les mensonges du gouvernement US"

Une vérité qui dérange, mais qu’on ne peut plus ignorer

Il aura fallu des années, des témoignages, des rapports internes, des drames familiaux, et une pression citoyenne massive pour que le risque cardiaque des vaccins COVID sorte enfin de l’ombre. Ce qui était autrefois taxé de “désinformation” se révèle aujourd’hui comme une réalité médicale, épidémiologique et politique.

Ce réveil ne concerne pas uniquement la santé. Il concerne notre rapport à l’autorité, à la vérité, à la liberté de choisir pour notre corps et nos enfants. Le temps des injonctions aveugles est révolu. Ce qui s’ouvre aujourd’hui, c’est une ère de vigilance lucide, d’exigence d’intégrité, où chacun est invité à sortir de la passivité pour redevenir acteur.

Mais pour avancer, il faut comprendre ce qui s’est passé. Décrypter les silences, analyser les choix politiques, décoder les stratégies de manipulation. Et surtout, ne plus jamais déléguer notre bon sens aux experts d’État.

📚 Le livre “COVID-19 : Les mensonges du gouvernement U.S.” est une ressource essentielle pour quiconque souhaite aller plus loin. Il ne s’agit pas d’un pamphlet de plus, mais d’un travail rigoureux de dévoilement, fondé sur des faits, des documents officiels, des analyses indépendantes.

👉 Lisez-le. Offrez-le. Faites-le circuler.
Parce que ce que vous ne savez pas peut vous nuire.
Et que la connaissance, elle, peut vous libérer.

💬 Et vous, qu’en pensez-vous ?

Avez-vous vous-même été confronté à des effets secondaires post-vaccinaux ?
Pensez-vous que le risque cardiaque des vaccins COVID a été suffisamment pris en compte par les autorités sanitaires ?
Ou, au contraire, estimez-vous que ces informations créent inutilement la peur ?

👉 Partagez votre point de vue dans les commentaires.
Ce blog est un espace de dialogue respectueux, où chaque témoignage compte.
Votre voix peut éclairer, nuancer, ouvrir des perspectives. Ne la gardez pas pour vous.

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