Dans une interview donnée sur la chaîne française Nexus, l’écrivaine et journaliste américaine Naomi Wolf lève le voile sur ce qu’elle appelle l’un des plus grands scandales de santé publique de notre époque : les Pfizer Papers. Ces documents internes, obtenus grâce à une décision de justice, révèlent que le laboratoire savait dès le départ que ses vaccins Covid-19 ne remplissaient pas les promesses faites au public et qu’ils pouvaient causer des effets indésirables graves, allant jusqu’à la mort.
Aux côtés de l’eurodéputée Christine Anderson, Naomi Wolf dénonce un système où les gouvernements, les médias et les agences de santé ont préféré dissimuler la vérité plutôt que de protéger les citoyens.
Entre corruption, manipulation de la peur et atteintes aux droits fondamentaux, leur message est clair : le silence face à ces révélations serait une faute historique.
🎥 Voir la vidéo complète de l’entretien sur YouTube :
Que contiennent les Pfizer Papers ?
Les Pfizer Papers sont une série de documents internes que la Food and Drug Administration (FDA) a été contrainte de rendre publics, après une décision de justice. Au départ, l’agence américaine avait tenté de retarder leur divulgation de… 75 ans.
Mais grâce à un procès, plus de 450 000 pages ont été mises à disposition et analysées par un réseau de 3 500 médecins et scientifiques bénévoles.
Ce que ces dossiers révèlent est accablant. Dès novembre 2020, Pfizer savait que ses vaccins n’arrêtaient pas la transmission du Covid-19. Pire encore, en février 2021, le laboratoire disposait déjà de données indiquant :
- 1 200 décès recensés dans les trois premiers mois de campagne vaccinale,
- plus de 52 000 événements indésirables graves,
- des cas d’atteintes neurologiques, de troubles cardiaques, de fausses couches et de complications immunitaires.
Les documents montrent également que le vaccin ne restait pas localisé dans le muscle du bras, contrairement à ce qui avait été affirmé au public. Au contraire, il se biodistribuait dans tout l’organisme : cerveau, foie, rate, glandes surrénales et, chez les femmes, dans les ovaires.
Naomi Wolf insiste sur les conséquences dramatiques possibles pour la fertilité et la santé reproductive, évoquant des « dommages catastrophiques » et une véritable hécatombe invisible.
Ces révélations ne laissent aucun doute : loin d’ignorer les risques, Pfizer et les autorités sanitaires savaient – et ont choisi de se taire.
Corruption et collusion politique
Les révélations des Pfizer Papers ne s’arrêtent pas aux données médicales : elles mettent en lumière une collusion à grande échelle entre l’industrie pharmaceutique, les gouvernements et les médias.
Selon Naomi Wolf, Pfizer n’a pas seulement dissimulé les dangers de son vaccin : l’entreprise a activement influencé les décideurs politiques et les organes de presse pour imposer le récit officiel du « sûr et efficace ».
Cette influence s’est traduite par des campagnes de communication massives, des partenariats publicitaires et un lobbying constant.
Les agences de santé, censées jouer un rôle de garde-fou, se sont révélées complices. L’Agence européenne du médicament (EMA) comme la FDA américaine disposaient des données internes, mais ont validé et promu le vaccin sans alerter le public.
Aux États-Unis, l’administration Biden – y compris Rochelle Walensky, directrice du CDC – était informée des risques graves dès avril 2021, notamment sur les fausses couches, les complications liées à l’allaitement et les décès de nourrissons. Pourtant, aucune mise en garde officielle n’a été adressée aux citoyens.
Christine Anderson dénonce quant à elle une « criminalité à grande échelle », impliquant non seulement le secteur privé, mais aussi les responsables politiques qui ont sciemment choisi de protéger Pfizer plutôt que leurs populations.
Elle rappelle que les hôpitaux américains ont touché jusqu’à 40 000 dollars par décès déclaré Covid, quelle qu’en soit la cause réelle, une incitation financière qui aurait faussé les statistiques et alimenté la peur.
En Europe comme aux États-Unis, la conclusion est la même : la santé publique a été sacrifiée sur l’autel des intérêts financiers et politiques.
Le parallèle avec le totalitarisme
Naomi Wolf ne limite pas son analyse aux aspects sanitaires ou scientifiques des Pfizer Papers. Elle propose une lecture plus large, en lien avec son ouvrage The End of America, publié bien avant la crise du Covid. Dans ce livre, elle décrit les dix étapes par lesquelles une démocratie bascule vers un régime autoritaire.
Selon elle, la pandémie de Covid-19 a servi de catalyseur pour franchir plusieurs de ces étapes :
- Créer une urgence de masse : en exagérant la gravité de la maladie et en instaurant un climat de panique permanent.
- Établir un état de surveillance : avec la collecte massive de données personnelles et la traçabilité numérique.
- Créer des zones en dehors de l’état de droit : confinement, couvre-feu, interdictions arbitraires.
- Criminaliser la critique et la dissidence : médecins suspendus, journalistes censurés, chercheurs discrédités.
- Transformer la dissidence en trahison : ceux qui refusaient les mesures sanitaires étaient assimilés à des ennemis de la collectivité.
Le point culminant de cette dérive, selon Wolf, a été le passeport vaccinal.
Elle y voit un outil de contrôle social incompatible avec les constitutions démocratiques, une violation du Code de Nuremberg et l’illustration parfaite de la « suspension de l’état de droit ».
Christine Anderson, eurodéputée allemande, va dans le même sens :
« Tout cela n’a fonctionné que parce que les gens avaient peur. Ils auraient dû avoir bien plus peur de ce que leur gouvernement était capable de leur faire. »
Le message est clair : ce qui s’est joué avec le Covid dépasse la seule gestion d’une crise sanitaire.
Pour Naomi Wolf, il s’agit d’une expérience de bascule vers un totalitarisme moderne, masqué derrière le langage de la santé publique.
Appel à la vigilance citoyenne
Pour Naomi Wolf comme pour Christine Anderson, les révélations des Pfizer Papers ne doivent pas seulement susciter l’indignation : elles doivent pousser les citoyens à agir. Le danger, disent-elles, ne vient pas uniquement des laboratoires ou des gouvernements, mais du silence et de la conformité qui permettent à ces dérives de prospérer.
Naomi Wolf appelle à une prise de parole collective : « Il est beaucoup moins dangereux de s’exprimer maintenant, de s’organiser maintenant, que de se taire et de laisser s’installer une tyrannie supplémentaire. » Selon elle, attendre par peur revient à renforcer ceux qui veulent imposer un contrôle toujours plus étroit.
Christine Anderson, de son côté, insiste sur le rôle de la peur comme arme politique. Elle rappelle que la peur du virus a paralysé des millions de citoyens, alors qu’il aurait fallu redouter davantage les conséquences de l’obéissance aveugle aux autorités. Elle conclut par une phrase sans équivoque : « Le silence et la conformité permettent aux tyrans. »
Cet appel à la vigilance et à la résistance s’adresse à chacun d’entre nous. Car si les Pfizer Papers mettent en évidence une corruption et des mensonges systémiques, c’est bien la mobilisation citoyenne qui peut empêcher que cela ne se reproduise.
Un document incontournable pour comprendre l’ampleur du scandale
Les révélations issues des Pfizer Papers, portées par Naomi Wolf et Christine Anderson, dressent un tableau accablant : dissimulation des risques, corruption des institutions, manipulation de la peur et basculement vers des pratiques autoritaires.
Ce qui est en jeu dépasse largement la gestion du Covid-19 : c’est la confiance dans la démocratie, la science et la médecine qui vacille.
Pour mesurer l’ampleur de ce scandale et accéder à l’intégralité des documents analysés, Naomi Wolf a publié The Pfizer Papers.
Ce livre rassemble les preuves, les chiffres et les témoignages qui montrent que les autorités savaient – et ont choisi de se taire.
Découvrez The Pfizer Papers dès maintenant :
👉 Commander le livre ici
Et rappelons-le : la préface de cet ouvrage est signée par le professeur Didier Raoult lui-même, qui appelle à un véritable « Nuremberg de l’industrie pharmaceutique ». Un avertissement que nous ne pouvons plus ignorer.
Et vous, qu’en pensez-vous ?
Les Pfizer Papers représentent-ils une preuve irréfutable de corruption et de mensonge ?
👉 Réagissez en commentaire et partagez cet article autour de vous.