Depuis plusieurs années, le débat sur la sécurité des vaccins ne cesse d’évoluer. Mais une question bien plus troublante refait surface avec de nouveaux travaux : les vaccins Covid contiennent-ils des nanotechnologies actives ?
Dans une vidéo récemment traduite en français, l’avocate Mary Holland, présidente de Children’s Health Defense, interroge le Dr Ana Mihalcea, interniste et chercheuse en pathologie cellulaire.
Ce qu’elle dévoile est saisissant : structures auto-assemblantes, micropuces, composants métalliques rares, signaux électromagnétiques détectés dans le corps humain…
Le sujet est explosif.
Le silence des institutions, encore plus!
📺 Regardez l’entretien intégral sur Crowdbunker :
Ce que contient vraiment une dose de vaccin Covid
Contrairement aux idées reçues, aucune autorité indépendante ne contrôle régulièrement le contenu réel des fioles vaccinales.
Ce sont les fabricants eux-mêmes qui produisent leurs tests, fournissent leurs documents à l’Agence européenne du médicament (EMA) ou à la FDA, et assurent que tout est conforme.
Aucun prélèvement aléatoire, aucune analyse externe obligatoire.
Contrairement à l’alimentation ou aux médicaments classiques, la composition exacte d’un vaccin peut rester floue – y compris pour les États qui les achètent.
Cette opacité, en soi, devrait alerter.
Nanotechnologies vaccins Covid : des structures auto-assemblantes au microscope
Dr Ana Mihalcea affirme avoir observé des structures microscopiques hautement organisées dans plusieurs échantillons de vaccins Pfizer et Moderna, à l’aide de la microscopie sur fond noir.
Ces structures présenteraient des caractéristiques de nanocircuits : formes géométriques complexes, clignotements lumineux, organisation progressive.
Certaines images montrent même des assemblages progressifs, comme si des éléments répondaient à un signal ou à un environnement donné.
Ces observations rejoignent les travaux du Dr David Nixon en Australie, ou encore ceux de l’équipe espagnole La Quinta Columna.
Une analyse menée par le Dr Ricardo Delgado de La Quinta Columna, en collaboration avec le Dr Pablo Campra Madrid, a identifié des structures compatibles avec du graphène dans des échantillons de vaccins COVID-19. Le rapport complet est disponible ici et un document très complet ici.
Métaux rares, graphène et biocompatibilité douteuse
Dans plusieurs fioles analysées, des éléments métalliques non déclarés ont été identifiés : aluminium, baryum, titane… mais aussi des lanthanides, une famille de métaux aux propriétés magnétiques puissantes.
Le Dr Mihalcea cite également les travaux de chercheurs argentins (Université de Comahue) qui ont listé jusqu’à 55 éléments non référencés dans la composition des vaccins.
Ces matériaux pourraient favoriser la conductivité ou la réception d’ondes, mais leur impact sur les cellules humaines est largement inconnu.
La combinaison avec des polymères et des nanoparticules lipidiques ouvre la porte à une intégration dans les tissus vivants – volontaire ou non.
Une technologie transhumaniste déjà active ?
Selon le Dr Mihalcea, ce que nous voyons dans les vaccins Covid s’inscrit dans la logique de la convergence bio-nano-techno. Des brevets déposés par Moderna décrivent l’utilisation de nanoparticules furtives “stealth”, avec des matrices polymères à base de polyéthylène ou de polyamides.
Elle souligne également la similarité entre les filaments synthétiques retrouvés dans les caillots post-vaccinaux et les anciens “morgellons” étudiés dans le cadre des théories de géoingénierie. Plus troublant encore : certains dispositifs observés seraient capables d’émettre des signaux mesurables, que certains smartphones capteraient brièvement.
🧬 Pour comprendre les enjeux cachés derrière cette technologie, lisez le livre L’ARNm, arme du TransHumains publié aux Éditions marco pietteur.
👉 Découvrir le livre ici
Nanotechnologies vaccins Covid et shedding : les effets sur les non-vaccinés
Autre révélation préoccupante : la présence de structures similaires dans le sang de personnes non vaccinées.
Le Dr Mihalcea soupçonne une dissémination environnementale via la peau, l’air ou les fluides corporels – phénomène qu’elle appelle “shedding”.
Ce constat rejoint d’autres témoignages cliniques de médecins ayant observé des troubles vasculaires et immunitaires chez des proches de personnes récemment vaccinées.
Bien que ce sujet soit encore controversé, il mérite d’être étudié sans tabou.
Existe-t-il une solution ? Le protocole anti-nanoparticules
Face à ces observations, Dr Mihalcea a tenté des approches thérapeutiques.
Elle affirme avoir obtenu des résultats encourageants avec une association de vitamine C à haute dose et d’EDTA, un chélateur utilisé pour éliminer les métaux lourds. Sur des patients symptomatiques, ce protocole aurait réduit certains marqueurs inflammatoires.
Elle indique aussi avoir neutralisé des nanoparticules dans un vaccin Pfizer en laboratoire, en seulement 10 minutes, grâce à cette combinaison.
Bien que ces résultats demandent à être reproduits, ils offrent une piste de réflexion médicale concrète.
Conclusion : une piste scientifique que l’on ne peut plus ignorer
L’analyse du Dr Ana Mihalcea, croisée avec les observations d’autres chercheurs, suggère que les vaccins Covid pourraient contenir bien plus que ce qui est écrit sur la notice.
Si cela se confirme, l’enjeu dépasse la simple polémique sanitaire : il touche à notre intégrité biologique, à notre souveraineté corporelle, et peut-être à notre avenir en tant qu’êtres humains.
La présence de nanotechnologies dans les vaccins Covid ne peut plus être traitée comme une théorie marginale.
C’est un chantier d’enquête prioritaire pour quiconque souhaite défendre la science, la vérité, et la santé publique.
🗣️ Et vous, que pensez-vous des révélations sur les nanotechnologies dans les vaccins Covid ?
Avez-vous déjà entendu parler de ces observations ou en avez-vous fait l’expérience ?
Partagez votre avis en commentaire – votre point de vue compte.
