Et si, pour une fois, on écoutait les blouses blanches plutôt que les communicants ? En Allemagne, plus de 200 médecins et scientifiques demandent un moratoire sur les vaccins à ARNm, immédiatement.
Leur message est simple, courageux et… profondément démocratique: pause, transparence, réévaluation. Pas de procès d’intention, pas de slogans; juste l’exigence de preuves solides avant de poursuivre une politique sanitaire qui engage des millions de vies.
Cette initiative, rapportée par BAM! News, secoue le confort des certitudes officielles et remet le principe de précaution au centre du jeu. (Source Bam news)
Ce n’est pas un coup de tonnerre isolé. Depuis fin 2024, des pétitions internationales portées par des soignants et chercheurs—comme l’HOPE Accord—réclament déjà une réévaluation stricte des risques associés aux plateformes ARNm, au regard des signaux préoccupants de morbidité et de surmortalité excédentaire observés dans plusieurs pays.
Autrement dit : arrêter de balayer les alertes sous le tapis, et documenter sérieusement le bénéfice/risque sur la durée réelle où des effets indésirables tardifs peuvent survenir. (Source: www.ndtv.com+1)
Le cœur du message des signataires est limpide :
- Les AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) ont été accordées en procédure accélérée ; il faut désormais un contrôle renforcé, indépendant, et des données brutes accessibles.
- Les signaux de sécurité doivent être traités, comparés et publiés—sans délai, ni opacité.
- Tant que ces conditions ne sont pas remplies, continuer “business as usual” reviendrait à jouer aux apprentis sorciers avec la confiance publique.
Soyons clairs : demander un moratoire n’est pas être “anti-science”. C’est, au contraire, refuser l’idéologie du fait accompli et rappeler que la science avance par tests, contre-tests et réfutations, pas par éléments de langage. Si 200 praticiens allemands prennent ce risque public, c’est que le doute est devenu raisonnable—et que la société a tout à gagner à remettre des garde-fous.
Dans la suite, on revient aux faits, on cite les sources, et on propose une action concrète pour peser : signer la pétition pour un moratoire et exiger une évaluation transparente, complète et contradictoire.

Ce que demandent ces 200 médecins (et sur quelles bases)
En Allemagne, plus de 200 médecins et scientifiques ont signé une déclaration réclamant un moratoire immédiat sur les vaccins à ARNm contre la COVID-19, invoquant le principe de précaution, l’insuffisance des données de sécurité à moyen/long terme et des signaux de pharmacovigilance jugés préoccupants.
Leur texte met explicitement en cause la qualité des évaluations préalables et la gouvernance scientifique qui a prévalu depuis 2020, et appelle à suspendre les injections « le temps de conduire des audits indépendants, transparents et réplicables ». (Source bam.news)
Cet appel allemand n’est pas isolé. Fin 2024, une initiative baptisée HOPE Accord a agrégé des centaines de signatures de soignants anglophones demandant, elle aussi, une ré-évaluation complète des produits à ARNm et un arrêt temporaire des campagnes, en s’appuyant sur l’excès de mortalité, les événements indésirables graves rapportés et les limites des essais initiaux. (Source: www.ndtv.com+1)
Une alerte mondiale : le Japon aussi tire la sonnette d’alarme
Et ce ne sont pas seulement les médecins allemands qui s’inquiètent.
👉 Au Japon, plusieurs chercheurs et cliniciens ont eux aussi tiré la sonnette d’alarme face aux signaux de sécurité observés après la vaccination à ARNm.
Ils demandent un arrêt immédiat des campagnes, le temps de réévaluer les effets à long terme et de mieux comprendre les mécanismes inflammatoires et cardiovasculaires observés chez certaines populations.
Leur position rejoint celle des 200 médecins allemands : même constat, même exigence de transparence, même appel à une pause responsable.
À lire : Arrêt des vaccins à ARNm au Japon : les experts demandent un moratoire
Pourquoi cela vous concerne — même en dehors d’Allemagne
- Le consentement réellement éclairé. Beaucoup de citoyens n’ont pas reçu une information complète et équilibrée (durée réelle de protection, réactogénicité selon les doses, issues rares mais graves). Le moratoire vise à réparer cette asymétrie d’information.
- La robustesse des preuves. L’écart entre « l’état des preuves » et « l’état des synthèses institutionnelles » justifie des audits indépendants et un accès aux données brutes.
- La cohérence internationale. De l’Allemagne au Japon, en passant par les signataires de l’HOPE Accord, l’inquiétude est transnationale et structurée autour de demandes précises: transparence, débat contradictoire, recalibrage des politiques.
Ce que nous proposons, concrètement
- Informer sans détour en reliant directement les textes sources pour que chacun puisse juger sur pièces.
- Ouvrir le débat avec des références complémentaires (pétitions, tribunes de praticiens, critiques méthodologiques) pour sortir des slogans et revenir aux méthodes et aux chiffres.
- Mobiliser : si vous estimez légitime d’exiger cette pause méthodique et transparente, signez la pétition et partagez autour de vous.
👉 Agir maintenant : Signez ici la pétition “NON à l’ARNm pour un moratoire et un débat scientifique réel”
Ce que cette alerte signifie pour nous tous: agir avant qu’il ne soit trop tard
L’appel des médecins allemands et japonais n’est pas un pamphlet.
C’est un signal scientifique et éthique: celui de chercheurs, d’oncologues, d’immunologistes et de médecins de terrain qui refusent le silence face à une technologie médicale encore mal comprise, déployée à une échelle mondiale sans précédent.
Leur message est simple :
“Avant de continuer, faisons le point. Comprenons. Réévaluons. Corrigeons.”
Car ce qui est en jeu dépasse largement la question vaccinale.
Il s’agit du rapport entre science, pouvoir et vérité.
Peut-on encore questionner, réviser, douter, sans être marginalisé?
Peut-on restaurer le droit fondamental au consentement libre et éclairé?
Comprendre, c’est déjà agir
La multiplication des signaux d’alerte, thromboses atypiques, myocardites, troubles auto-immuns, excès de mortalité inexpliqué, appelle à une réévaluation complète du rapport bénéfice/risque, notamment pour les jeunes et les personnes déjà immunisées.
Ces signaux ne signifient pas que tout est à jeter, mais qu’il est urgent de rouvrir la discussion scientifique, en dehors des circuits institutionnels verrouillés.
L’article de BAM.news le rappelle: ces 200 médecins ne rejettent pas la science, ils réclament son retour à la rigueur.
Ils demandent :
- la publication complète des données cliniques des laboratoires,
- une transparence totale sur la pharmacovigilance,
- et un moratoire temporaire le temps de garantir que la médecine ne devienne pas un champ d’expérimentation à ciel ouvert.

La science avance, les preuves s’accumulent
Les Pfizer Papers, ces milliers de pages déclassifiées, ont révélé des données préoccupantes sur les effets secondaires graves observés dès les premières phases d’essai.
De nouvelles études, comme celle publiée dans Frontiers in Pharmacology (2024), mettent en évidence des signaux persistants d’inflammation cardiaque et neurologique après exposition prolongée à l’ARNm.
Et désormais, une frange croissante du corps médical appelle à redonner à la prudence la place qui lui revient.
Une réaction internationale s’impose
Après les États-Unis, le Japon et l’Allemagne, d’autres pays s’interrogent.
Des parlementaires britanniques et suisses ont commencé à réclamer des audits indépendants.
Même au sein de l’Union européenne, certaines voix plaident pour un cadre d’évaluation des technologies médicales émergentes plus rigoureux, avant toute généralisation.
Ce n’est donc pas un débat idéologique, mais un enjeu de gouvernance, de responsabilité et d’éthique publique.
Et plus nous serons nombreux à l’exiger, plus les institutions devront écouter.
Ce que vous pouvez faire aujourd’hui
- Lire les sources officielles — et ne vous contentez pas des résumés médiatiques.
👉 Article complet sur BAM.news
👉 Étude japonaise relayée sur notre blog - Partager cet article autour de vous — la censure du débat commence par l’indifférence.
- Signer la pétition officielle portée par les Éditions marco pietteur :
👉 NON à l’ARNm — pour un moratoire et un vrai débat scientifique
Que faire maintenant? Comprendre, vérifier, agir.
L’appel des 200 médecins allemands n’est pas un cri de panique, c’est un signal d’alerte scientifique. Ce qu’ils demandent, c’est de reprendre la main sur la méthode: analyser les données, comparer les cohortes, vérifier les hypothèses sans influence politique ni industrielle.
Comprendre avant d’obéir
L’expérience de ces quatre dernières années a montré à quel point la population a été infantilisée dans son rapport à la santé. On a confondu la confiance dans la science avec la soumission à la communication des laboratoires.
Les médecins allemands, japonais et d’autres pays rappellent une évidence: la science n’avance que dans le débat contradictoire.
C’est ce que souligne d’ailleurs le professeur Sucharit Bhakdi, microbiologiste et ancien directeur de l’Institut de médecine de l’Université de Mayence :
“Lorsqu’un consensus devient obligatoire, ce n’est plus de la science, c’est une religion.”
Reprendre la main, c’est retrouver le droit de poser des questions, de douter, de demander des preuves.
Vérifier les faits, sources à l’appui
Les alertes sur les effets secondaires, les risques de myocardites, de désordres auto-immuns ou de troubles menstruels ne relèvent plus du complotisme : elles sont désormais documentées dans la littérature scientifique.
Plusieurs études indexées sur PubMed et publiées dans des revues à comité de lecture, dont la récente analyse de Classen (2024), soulignent un lien statistiquement significatif entre les doses d’ARNm et l’augmentation d’événements cardiovasculaires post-vaccinaux, notamment chez les jeunes adultes.
Ces publications appuient la demande de réévaluation du rapport bénéfice/risque, notamment à long terme.
👉 Pour consulter l’étude complète et son résumé :
Ces données renforcent la légitimité du moratoire demandé par les médecins allemands, japonais et d’autres collectifs de chercheurs indépendants.
Agir maintenant: défendre le principe de précaution
Le moratoire n’est pas un rejet aveugle des vaccins, c’est un appel à la raison et à la transparence.
Suspendre temporairement, le temps d’évaluer correctement, n’est pas une faiblesse: c’est une responsabilité sanitaire et éthique.
Ce que vous pouvez faire dès aujourd’hui:
- Informer votre entourage, partager cet article et les sources officielles.
- Dialoguer avec vos proches, vos élus, vos médecins.
- Signer la pétition officielle pour exiger un moratoire citoyen sur les vaccins à ARNm.
👉 Signez ici : NON à l’ARNm — pour un moratoire et un débat scientifique réel
FAQ: Les questions que tout le monde se pose
Les vaccins à ARNm sont-ils encore sous AMM conditionnelle?
Oui. L’Autorisation de Mise sur le Marché conditionnelle (AMMc) permet la commercialisation avant la fin des études à long terme, sous réserve que les laboratoires fournissent des données complémentaires. Or, ces données ne sont pas encore complètes.
Les risques sont-ils prouvés?
Des signaux robustes existent (inflammations cardiaques, troubles menstruels, coagulation).
Ils ne sont pas universels, mais suffisent à justifier une pause selon la majorité des chercheurs indépendants.
Pourquoi les autorités ne réagissent-elles pas?
Parce que le coût politique et économique serait immense : admettre une erreur reviendrait à reconnaître une défaillance structurelle du système de santé publique.
Mais la science, elle, n’a pas peur des remises en question.
Reprendre le contrôle de notre santé
Ce mouvement de médecins n’est pas marginal. Il marque le retour du débat scientifique libre, celui qui avait disparu sous la pression médiatique.
Que l’on soit vacciné ou non, il ne s’agit plus de camp, mais de vérité et de responsabilité collective.
Nous devons cesser de confondre urgence politique et urgence sanitaire.
Ce qui est en jeu aujourd’hui, ce n’est pas seulement la question d’un vaccin: c’est notre droit à une médecine indépendante, transparente et humaine.
Et vous, pensez-vous qu’il est temps de stopper l’expérimentation à l’échelle planétaire ?
👉 Dites-le en commentaire et signez la pétition pour que la science redevienne un espace de vérité.
2 commentaires
C’est dommage que les noms des 200 médecins soient introuvables, cela nuit à la crédibilité.
Nous n’avons pas pu accéder à la liste des noms.
Par contre, concernant la demande de moratoire des médecins japonais le 18-9, c’est beaucoup mieux documenté et ils s’expriment dans la vidéo au bas de cet article.