On peut rire de tout. Mais pas avec tout le monde, disait Desproges.
Et encore moins lorsqu’il s’agit des effets secondaires du vaccin Covid, un sujet encore tabou pour bien des esprits, englués dans la bonne conscience vaccinale.
Pourtant, à travers une vidéo aussi drôle que cruelle de lucidité, le média Kairos et Alexandre Penasse frappent fort – très fort. Le dialogue entre trois personnages, caricatures à peine exagérées de nos proches, amis ou collègues d’hier, expose avec finesse le cœur d’un malaise générationnel: et si certains refusaient encore de voir… parce que la vérité serait trop douloureuse à admettre ?
C’est drôle, incisif, sans filtre. Mais surtout : ça touche juste.
Car derrière les répliques piquantes et les silences gênés, c’est tout un pan de notre mémoire collective qui ressurgit : les slogans répétés sans réfléchir, les non-dits familiaux, les ruptures absurdes…
Et cette question terrible : combien ont préféré perdre des liens humains plutôt que d’ouvrir les yeux ?
Quand le déni devient une stratégie de survie
Face à la question posée dans la vidéo — “tu arrives pas à décrocher ?” — le spectateur sourit.
Un sourire gêné, peut-être. Car tout le monde connaît quelqu’un qui n’arrive pas à « décrocher » : pas de l’analyse, mais du traumatisme.
Kairos met ici en scène un drame sourd : celui des effets secondaires du vaccin Covid, minimisés, ignorés, raillés.
Mais vécus. Dans la chair. Dans la vie quotidienne.
Et pourtant… la majorité préfère détourner les yeux.
Pourquoi ? Parce qu’il faudrait alors reconnaître qu’on s’est peut-être trompé.
Pire : qu’on a peut-être imposé — à ses enfants, à ses parents — un choix médical qui, dans certains cas, aurait pu avoir des conséquences irréversibles.
Le sarcasme au service de la mémoire
La force de cette vidéo ?
Elle ne hurle pas. Elle chuchote.
Avec des blagues bien senties, des silences gênants, des sourires qui ne cachent plus le malaise.
« Je cours un peu moins bien qu’avant, mais c’est sûrement une coïncidence… », glisse un personnage, dans ce mélange de mauvaise foi et de peur viscérale. Tout est là.
On rit, oui. Mais c’est un rire jaune, presque nerveux.
Parce qu’en creux, se profile cette vérité explosive : les effets secondaires du vaccin Covid existent, ils ont été signalés, ils ont été documentés… et pourtant, ils continuent d’être niés dans le discours officiel.
« Je pense donc je suis… complotiste »
Un trait de génie de cette vidéo réside dans la manière dont elle retourne les arguments classiques : la stigmatisation des voix critiques, l’accusation de “complotisme” balancée comme un réflexe, le déni des faits pourtant publics.
La phrase culte “Je pense donc je suis complotiste” résume à elle seule tout l’absurde post-pandémique.
Penser par soi-même est devenu suspect.
S’interroger est devenu subversif.
Et reconnaître l’existence d’effets secondaires du vaccin Covid, c’est presque du terrorisme intellectuel.
Regardez la vidéo ici
Pour mesurer toute la puissance de cette satire, prenez deux minutes. Écoutez les dialogues. Observez les silences. Ressentez l’ironie glaçante.
👉 Vous aussi, vous avez ressenti ce malaise ?
Vous avez vu des proches nier, souffrir, ou disparaître dans le silence ?
Il est temps de rouvrir le débat.
Cette vidéo ne vous laissera pas indemne.
Parce qu’elle dit, en quelques répliques bien ficelées, ce que tant de gens ont ressenti mais n’ont jamais osé exprimer.
Elle ridiculise le déni, mais sans mépris.
Elle bouscule, mais sans dogmatisme.
Elle rappelle une chose essentielle : on ne construit pas une société libre en bâillonnant les questions.
La scène de trop : priver sa mère pour sauver l’ego
Le sommet émotionnel de la vidéo arrive lorsqu’un des personnages admet — sans vraiment l’admettre — qu’il n’a plus vu sa propre mère depuis des années, parce qu’elle avait refusé l’injection. “Je la vois toujours pas. Même à Noël.” On ne sait plus si c’est de la gêne, du regret, ou du déni.
Mais on comprend que ce n’est pas la science qui a dicté ce comportement. C’est l’orgueil. L’incapacité à reconnaître qu’on s’est peut-être trompé. Que ce qu’on croyait juste était, en fait, un engrenage médiatique, politique, émotionnel.
Et là, Kairos nous tend un miroir cruel : combien de liens ont été brisés au nom d’une promesse jamais tenue ?
Celle d’un vaccin qui empêcherait infection et transmission.
On sait aujourd’hui que ce n’était pas le cas.
Pfizer l’a reconnu. Les faits sont là. Mais pour beaucoup, l’aveu est encore trop coûteux.
Un humour qui dérange… et c’est tant mieux
Cette vidéo n’est pas juste un sketch. C’est une charge. Une gifle. Un test de lucidité.
Si vous riez, c’est peut-être que vous avez déjà commencé à vous réveiller.
Si elle vous agace, elle touche là où ça fait mal.
Et si elle vous fait pleurer… alors vous n’êtes pas seul.
Parce que cette histoire-là, ce n’est pas de la fiction.
C’est celle de milliers de familles séparées, de milliers de corps abîmés, de millions de consciences qui cherchent encore à comprendre ce qui s’est joué — et se joue toujours.
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💬 Et vous, qu’en pensez-vous ?
Avez-vous, vous aussi, constaté des effets secondaires du vaccin Covid passés sous silence ?
Pensez-vous que cette vidéo met le doigt sur une vérité que beaucoup refusent encore de voir ?
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