Au départ, ce n’était qu’une recherche universitaire menée par deux scientifiques français. Pas des militants, pas des complotistes. Juste des chercheurs décidés à comprendre ce que disent réellement les chiffres de la pharmacovigilance européenne.
Mais le 9 octobre, tout a basculé. L’Agence Européenne des Médicaments (EMA) a ordonné à Emmanuelle Darlès, docteur en informatique, et à son collègue Vincent Pavant, de supprimer toutes leurs données, leurs codes sources, leurs analyses et leurs rapports — sous huit jours. Une injonction brutale, assortie d’un ultimatum et d’une menace implicite : se taire ou être sanctionnés.
Le prétexte invoqué ? La protection des données personnelles.
La réalité ? Une tentative manifeste d’effacer du débat public toute étude indépendante sur les effets indésirables des vaccins COVID.
Ces chercheurs n’ont pas obéi. Ils ont décidé de parler. Et en rendant cette affaire publique, ils posent une question essentielle à chaque citoyen européen : depuis quand la transparence scientifique est-elle devenue dangereuse ?
Cet article ne cherche pas à alimenter la peur, mais à réveiller la conscience. Parce que ce qui se joue ici dépasse le vaccin : c’est la bataille pour la vérité, pour le droit de chercher, de comprendre et d’informer sans censure.
Vidéo, contexte et enjeux: ouvrir le dossier sans passion ni faiblesse
Entretien avec la chercheuse Emmanuelle Darlès, docteur en informatique, qui révèle la tentative de censure de l’Agence Européenne des Médicaments sur ses travaux portant sur les effets indésirables des vaccins COVID.
Tout commence par un email reçu un matin d’octobre. Un message sec, administratif, signé de l’Agence Européenne des Médicaments. 
En quelques lignes, la chercheuse française Emmanuelle Darlès est sommée de détruire ses données, ses calculs, ses rapports, et même le code informatique qu’elle a conçu pour analyser les effets indésirables des vaccins COVID.
Huit jours. C’est le délai qu’on lui accorde pour effacer des mois de recherche rigoureuse. 
Officiellement, pour protéger les données personnelles des citoyens européens. 
Officieusement, pour étouffer une découverte trop embarrassante.
Car son travail a permis quelque chose d’inédit: comparer les effets indésirables par pays à partir des données de la base européenne EudraVigilance. 
Une lecture nouvelle, transparente, et surtout impossible à contrôler. En quelques scripts informatiques, elle venait de fissurer le mur du récit uniforme.
Plutôt que de dialoguer, l’agence a choisi d’interdire. Supprimer les fichiers. Supprimer les preuves. Supprimer même la possibilité de vérifier.
Dans cette vidéo, Emmanuelle Darlès raconte les faits sans colère. Sa voix posée rend la scène encore plus glaçante: une institution publique ordonne à une chercheuse d’effacer son propre travail scientifique!
Pour approfondir cette affaire et découvrir le témoignage complémentaire du chercheur Vincent Pavan, consultez aussi cet article des Editions marco pietteur :
👉 Effets indésirables vaccins COVID : la vérité mise à l’épreuve
Le message est clair: certaines vérités ne doivent pas être calculées.
Transparence et santé publique : le droit de savoir avant d’obéir
La science devrait être un espace ouvert, où les faits se vérifient et se débattent sans peur. Pourtant, cet affaire avec Emmanuelle Darlès montre à quel point la transparence dérange quand elle expose ce que le pouvoir préfère taire.
Ce que ses travaux ont révélé n’était pas une théorie, mais une simple observation mathématique: les effets indésirables rapportés après vaccination ne sont pas uniformes selon les pays européens. 
Certains États enregistrent des taux anormalement élevés d’événements graves, d’autres très faibles. En d’autres termes, les chiffres ne racontent pas la même histoire partout.

Plutôt que d’y voir une opportunité d’améliorer la surveillance, l’Agence Européenne des Médicaments y a vu une menace. Elle a tenté de retirer aux citoyens le droit de savoir.
Pourtant, la question centrale reste d’une simplicité désarmante: comment garantir la sécurité d’un traitement si l’on interdit d’en mesurer les effets?
Ce refus de transparence n’est pas qu’un problème administratif, c’est une atteinte à la confiance publique. Car un peuple bien informé ne craint pas la vérité. Ce qu’il craint, c’est le mensonge et le silence.
Emmanuelle Darlès, dans la lignée des chercheurs intègres qui défendent la rigueur plutôt que la carrière, rappelle une évidence: la science sans débat devient propagande. 
Et quand une institution publique choisit la censure plutôt que le dialogue, elle se place hors du champ scientifique pour entrer dans celui du pouvoir.
Les chiffres étaient publics, mais jamais expliqués. Les institutions gardaient le silence.
Le véritable scandale n’est peut-être pas ce qu’on cache, mais ce qu’on refuse de regarder en face.
Courage, consentement éclairé et liberté de recherche: trois devoirs, une même exigence
Le courage n’est pas de crier plus fort que les autres. 
C’est de tenir un cap quand la pression pousse à se taire. 
Dans cette affaire, le courage consiste à poser des questions simples et à refuser les réponses floues.
Le consentement éclairé n’est pas un formulaire. C’est un droit de comprendre bénéfices, risques, inconnues, alternatives et délais raisonnables d’évaluation. 
Sans accès aux données ni débat contradictoire, le consentement devient un acte de foi. La santé publique ne peut pas reposer sur la foi.
La liberté de recherche n’oppose pas les camps. 
Elle protège la méthode pour que la vérité empirique finisse par émerger. Interdire la comparaison par pays, exiger la destruction de codes et de rapports, c’est empêcher la falsification au sens poppérien. Une science qui ne peut pas être contredite n’est pas de la science.
Pour les citoyens, l’enjeu est concret: pouvoir discuter avec leur médecin sans crainte d’être disqualifiés, pouvoir consulter des analyses indépendantes, pouvoir signaler un effet et être pris au sérieux. 
Pour les institutions, l’enjeu est vital: restaurer la confiance par la cohérence entre discours et actes.
Règle simple pour avancer sans dogme: publier, débattre, corriger. Puis recommencer. La transparence n’affaiblit pas la santé publique, elle la fonde.
Une Europe vivante et responsable: entre vérité et réconciliation
Une démocratie se mesure à sa capacité d’entendre ce qui dérange. Fermer les yeux sur les signaux d’alerte, c’est préparer la prochaine crise.
L’Europe aime se présenter comme un modèle de rationalité et de progrès. Pourtant, quand une agence publique tente d’imposer le silence à des chercheurs, elle renie ce qui a fait sa force: le débat, la transparence, la contradiction. 
C’est en acceptant la complexité que la science progresse, pas en effaçant les questions qui fâchent.
Reconnaître les effets indésirables, même rares, n’est pas un aveu de faiblesse. 
C’est une marque de respect envers ceux qui en sont victimes et un signe de maturité collective. Une science qui assume ses erreurs devient plus crédible, pas moins.
Le livre Vacciné, Non-Vacciné explore justement 
cette zone grise entre confiance et vigilance. 
Il ne cherche pas à opposer, mais à éclairer. 
Ses auteurs rappellent que le débat sur la vaccination 
n’est pas une bataille entre “pro” et “anti”, 
mais une question de méthode, d’éthique et de transparence. 
Un ouvrage essentiel pour ceux qui veulent 
comprendre avant de juger.
Face à la censure et au contrôle croissant de l’information, 
il devient urgent de retrouver un regard libre. 
C’est ce que propose également 
le livre IA: Illusion d’avenir d’Emmanuelle Darlès. 
En montrant comment les algorithmes orientent nos perceptions, il aide à comprendre pourquoi certaines vérités disparaissent des écrans avant même d’être discutées.
Une Europe vivante ne craint pas la vérité. Elle la cultive.
Et sa renaissance commencera le jour où chaque citoyen décidera de penser par lui-même.
N’oubliez pas de signer la pétition pour stopper les vaccins à ARNm ici.
Partagez votre point de vue dans les commentaires: chaque voix compte pour rétablir la vérité et nourrir un débat que personne ne devrait craindre d’ouvrir.
 
								
 
								 
								







 
															 
								 
															 
								







