Quand la détox post-vaccin devient une nécessité
Depuis l’apparition des vaccins à ARNm contre le Covid-19, un débat scientifique et sanitaire d’une ampleur inédite secoue la société. Présentés comme des miracles de la science moderne, ces vaccins ont aussi été associés, dans une frange croissante de la population, à des effets secondaires persistants, des inflammations chroniques, des troubles auto-immuns, voire à une forme de fatigue généralisée difficile à diagnostiquer comme démontré dans de nombreux articles sur ce blog.
De plus en plus de médecins indépendants, de chercheurs et de patients posent une question qui reste encore taboue dans les circuits officiels : peut-on se détoxifier après un vaccin ARNm?
C’est dans ce contexte que le livre « La guerre contre l’ivermectine », publié par les Éditions marco pietteur, arrive comme un électrochoc. Il présente l’ivermectine non pas comme un simple antiparasitaire, mais comme un allié potentiel dans la détox des vaccins ARNm et de la protéine Spike.
Une idée provocante?
Oui. Mais ce livre, étayé par des études scientifiques, des témoignages de médecins et des faits vérifiables, ouvre une piste que beaucoup pressentaient: un médicament oublié pourrait bien aider à restaurer ce que les injections répétées ont déréglé.
Dans cet article, nous allons explorer comment l’ivermectine, ce médicament décrié à tort comme un « vermifuge pour chevaux », pourrait jouer un rôle clé dans votre stratégie de détox ARNm; et pourquoi cette information a été activement censurée.
Qu’est-ce que l’ivermectine? Un médicament au passé prestigieux… et controversé
Avant de pouvoir comprendre son rôle potentiel dans une stratégie de détox des vaccins ARNm, il faut remettre l’ivermectine à sa juste place dans l’histoire de la médecine.
Découverte en 1975 par les chercheurs Satoshi Ōmura et William Campbell, l’ivermectine est un médicament antiparasitaire d’une efficacité redoutable.
Sa mise sur le marché dans les années 1980 a permis de sauver des centaines de millions de vies humaines, en particulier dans les pays du Sud, où elle a contribué à éradiquer des maladies comme la cécité des rivières ou la filariose.
En 2015, les deux chercheurs reçoivent pour cette découverte le Prix Nobel de Médecine.
L’Organisation mondiale de la santé classe l’ivermectine sur la liste des médicaments essentiels à la santé humaine. Rien que cela.
Mais alors, comment est-on passé d’un médicament noble, reconnu et utilisé par plus de 3 milliards de personnes, à un produit diabolisé, caricaturé et assimilé à un traitement pour animaux?
Le tournant s’est produit pendant la crise du Covid-19.
Lorsque certains médecins de terrain, comme le Dr Pierre Kory (auteur du livre La guerre contre l’ivermectine), ont commencé à parler des résultats positifs de l’ivermectine sur des patients atteints du Covid-19 ou post-vaccinés, une campagne de décrédibilisation massive s’est mise en place. Médias, institutions de santé, réseaux sociaux : tous ont relayé l’idée que ce médicament était dangereux, inefficace, voire risible.
Pourtant, aucune alerte sanitaire majeure n’a jamais été émise sur son usage humain dans les dosages recommandés. Son profil de sécurité est l’un des plus robustes de la pharmacopée.
Cette diabolisation a permis d’effacer en un clin d’œil 40 ans de preuve clinique, et de brouiller volontairement les pistes autour de son utilisation dans la détox vaccinale ARNm, sujet de plus en plus brûlant.
Ce que vous devez comprendre:
- L’ivermectine n’est pas un produit vétérinaire mais un médicament humain primé au Nobel.
- Elle est largement utilisée dans de nombreux pays avec succès.
- Son profil de sécurité est excellent, y compris pour les enfants.
- Sa remise en cause brutale est plus politique que médicale.
Détox des vaccins ARNm: ce que dit le livre La guerre contre l’ivermectine

Le livre La guerre contre l’ivermectine, écrit par le Dr Pierre Kory et publié par les Éditions marco pietteur, avance une thèse centrale: l’ivermectine pourrait être l’outil manquant pour la détox post-vaccin ARNm, notamment contre la protéine Spike, que de nombreux chercheurs soupçonnent de rester active bien plus longtemps que prévu dans l’organisme.
Mais que dit exactement le livre sur ce sujet controversé ? Voici les principales affirmations — toutes documentées, selon l’auteur — qui méritent d’être portées à la connaissance du grand public :
1. L’ivermectine bloquerait la protéine Spike
La première action décrite est la capacité de l’ivermectine à empêcher la fixation de la protéine Spike sur les récepteurs ACE2 des cellules humaines. En d’autres termes, elle servirait de bouclier cellulaire, réduisant le risque de pénétration virale ou d’effet pathogène de Spike chez les personnes déjà injectées.
Ce blocage serait clé dans une stratégie de détox vaccin ARNm, puisque la Spike est soupçonnée d’être à l’origine de nombreux effets secondaires: myocardites, brouillard cérébral, douleurs chroniques, inflammation systémique, etc.
2. Elle favoriserait l’élimination de la Spike déjà présente
Le livre avance aussi que l’ivermectine pourrait aider l’organisme à décomposer, neutraliser et éliminer les protéines Spike persistantes. Certaines études (non relayées dans les circuits médicaux traditionnels) suggèrent que la protéine Spike peut rester présente dans l’organisme plusieurs mois après injection, voire migrer dans des tissus sensibles (cerveau, cœur, ovaires…).
👉 C’est ici que la notion de « détox ARNm » prend tout son sens.
Si la Spike persiste, la neutraliser devient un objectif thérapeutique légitime, et l’ivermectine se positionne comme un agent sérieux pour cette mission.
3. Elle protège le système immunitaire
Le Dr Kory met aussi en lumière le rôle immuno-modulateur de l’ivermectine: au lieu de simplement « booster » le système immunitaire, elle le régule, calmant l’hyperinflammation (orage cytokinique) tout en soutenant l’immunité innée.
Chez les personnes ayant reçu plusieurs doses de vaccins ARNm, dont le système immunitaire peut être dérégulé (activation permanente, inflammation latente, épuisement des cellules T), ce rééquilibrage pourrait être décisif dans une démarche de réparation cellulaire et de récupération globale.
4. Elle agit sur le métabolisme et la détoxification
Enfin, le livre souligne l’action hépatique de l’ivermectine. Elle soutiendrait le foie dans son rôle de filtre des toxines, tout en ayant un effet régulateur sur l’insuline, le cholestérol et la stéatose hépatique.
Or, le foie est l’organe-clé de toute détox, y compris dans un protocole post-vaccinal.
Pour synthétiser:
L’ivermectine, selon La guerre contre l’ivermectine, coche toutes les cases d’un agent de détox vaccinale ARNm :
- Protection des cellules contre la Spike
- Neutralisation des Spike circulantes
- Soutien du foie et du métabolisme
- Rééquilibrage immunitaire profond
C’est la combinaison de ces effets qui positionne l’ivermectine comme un candidat sérieux pour une détox post-vaccin, et non comme une simple « idée marginale » comme voudraient le faire croire ses détracteurs.
5 Effets puissants de l’ivermectine selon les recherches citées dans le livre
Ce qui frappe dans La guerre contre l’ivermectine, c’est la multiplicité des effets thérapeutiques attribués à ce médicament. Bien loin d’une simple action antiparasitaire, l’ivermectine est décrite comme un agent pluri-actif, capable d’agir à plusieurs niveaux de l’organisme: viral, cellulaire, immunitaire, neurologique et même métabolique.
Voici cinq effets majeurs détaillés dans le livre, en lien direct avec la détox post-vaccin ARNm, et qui renforcent l’idée que l’ivermectine pourrait jouer un rôle central dans la récupération post-injection.
1. Action anti-Spike et antiviral large spectre
Le premier effet documenté est sa capacité à inhiber la fixation de la protéine Spike sur les cellules humaines, ce qui en fait un véritable « pare-feu » biologique contre les effets résiduels de l’ARNm vaccinal.
Mais ce n’est pas tout: l’ivermectine aurait également un effet direct sur la réplication virale, y compris contre les virus à ARN comme le SARS-CoV-2. Cela en fait un traitement potentiel post-vaccinal pour des individus à l’immunité affaiblie et exposés à des réinfections.
👉 En clair: elle empêche à la fois l’attaque initiale et la progression virale, y compris chez les vaccinés.
2. Effet anti-inflammatoire sans les effets secondaires des corticoïdes
Les vaccins ARNm ont été associés à des réactions inflammatoires, parfois violentes, chez certaines personnes (myocardite, péricardite, inflammation neurovasculaire…). L’ivermectine agit ici comme un modulateur de l’inflammation, sans les effets délétères des corticoïdes (immunosuppression, fonte musculaire, déséquilibre glycémique…).
Elle est même utilisée pour traiter des maladies inflammatoires chroniques auto-immunes comme la spondylarthrite, la fibromyalgie ou la maladie de Crohn.
Ce profil est hautement pertinent pour toute personne cherchant à apaiser son organisme après plusieurs doses de vaccin ARNm, mais aussi pour les non-vaccinés contaminés.
3. Protection du système nerveux central et régénération neuronale
Selon le livre, l’ivermectine est capable de traverser la barrière hémato-encéphalique et d’atteindre le cerveau. Elle y aurait une action neuroprotectrice, ce qui intéresse particulièrement les personnes souffrant de ce qu’on appelle le brouillard cérébral post-vaccinal, ou de troubles de concentration apparus après l’injection.
Le Dr Kory insiste: ce n’est pas un effet secondaire, c’est un atout stratégique. Si la Spike touche le système nerveux, alors il faut un agent qui puisse y intervenir directement. L’ivermectine est l’un des rares médicaments autorisés à faire cela en toute sécurité.
4. Renforcement de l’immunité naturelle
Dans un contexte où de nombreuses personnes craignent que les doses répétées de vaccin ARNm aient déséquilibré leur immunité, l’ivermectine semble jouer le rôle d’un réharmonisateur du système immunitaire.
Elle stimulerait les défenses naturelles sans les suractiver, ce qui est essentiel chez les personnes ayant vécu une réaction excessive à la vaccination.
De plus, elle réduit la fréquence de certaines infections chroniques: herpès, zona, sinusites… autant de signaux faibles d’un système immunitaire en souffrance.
5. Détox métabolique et soutien du foie
Enfin, et c’est peut-être le point le plus important pour une stratégie de détox post-vaccin, l’ivermectine soutient le métabolisme hépatique. Elle régule les fonctions du foie, organe central pour éliminer les toxines, y compris celles générées par une surexpression de la protéine Spike.
Elle agit aussi sur le glucose, l’insuline et le cholestérol, ce qui permet d’éviter certains effets métaboliques observés après des injections ARNm répétées (prise de poids, fatigue chronique, perte d’énergie).
En combinant ces cinq effets, on comprend pourquoi l’ivermectine est perçue dans ce livre non comme un remède miracle, mais comme un outil global de détox vaccinale ARNm: prévention, réparation, régulation, élimination.
Études, résultats de terrain et cas ignorés par les autorités
Si l’ivermectine était vraiment inefficace, comme certains médias et autorités sanitaires l’ont affirmé, comment expliquer qu’autant de résultats spectaculaires aient été observés sur le terrain, dans des pays aux stratégies très différentes des nôtres?
C’est l’un des points centraux abordés dans La guerre contre l’ivermectine: l’omission volontaire de cas de réussite dans la lutte contre le Covid-19, et indirectement, dans la prévention ou la réparation des dommages liés aux vaccins ARNm.
Le cas emblématique de l’Uttar Pradesh (Inde)

L’État indien de l’Uttar Pradesh, avec plus de 230 millions d’habitants (l’équivalent du Brésil), a mis en place en 2021 une stratégie inédite de terrain : distribution massive de kits médicaux contenant de l’ivermectine, accompagnés d’un dépistage actif et d’un suivi à domicile.
Résultat?
En à peine 4 semaines, les contaminations se sont effondrées de 97 %, pendant que d’autres régions de l’Inde (comme le Kerala) continuaient d’afficher des taux de positivité extrêmement élevés, sans ivermectine dans leur protocole.
Le plus troublant: un rapport officiel de l’OMS a salué le succès de l’opération de l’Uttar Pradesh… sans jamais mentionner l’ivermectine dans son analyse.
Une omission qui semble plus stratégique que scientifique.
Pérou, Slovaquie, Afrique : des données qui dérangent
L’Uttar Pradesh n’est pas un cas isolé. Le Pérou, la Slovaquie, certaines régions d’Afrique ont toutes connu une baisse massive de la mortalité ou des hospitalisations après l’adoption de traitements incluant de l’ivermectine.
Mais ces chiffres ont été systématiquement ignorés dans les méta-analyses officielles, ou bien classés comme “non fiables” sans justification scientifique claire.
❝ Quand les données contredisent le récit dominant, on ne les réfute pas, on les fait disparaître. ❞
– extrait de La guerre contre l’ivermectine
La science manipulée: l’affaire Andrew Hill
Le livre revient également sur une affaire édifiante : celle du Dr Andrew Hill, chercheur mandaté par Unitaid (partenaire de l’OMS), pour évaluer l’efficacité de l’ivermectine. Sa première méta-analyse montrait une réduction de 75 % de la mortalité. Mais dans la version finale publiée… cette conclusion avait disparu.
Pourquoi? Parce que, selon un enregistrement révélé par la Dre Tess Lawrie, le Dr Hill aurait reçu des pressions directes de ses sponsors pour atténuer ses résultats.
Cette affaire démontre que l’ivermectine n’a pas été évaluée objectivement, mais à travers le prisme des intérêts financiers liés aux traitements brevetés et aux campagnes de vaccination massive.
Quel lien avec la détox vaccinale ARNm?
Ces cas réels démontrent une chose: l’ivermectine fonctionne dans le monde réel, pas uniquement en laboratoire.
Si elle est capable d’empêcher la progression virale, de réduire les hospitalisations et de moduler l’immunité chez des millions de personnes, elle peut logiquement être utilisée en post-injection vaccinale, pour :
- calmer l’inflammation chronique
- éliminer les protéines Spike circulantes
- rétablir une immunité saine
- renforcer l’organisme en profondeur
C’est précisément le cœur de ce que vise une détox vaccin ARNm à base d’ivermectine.
Le problème n’est pas que l’ivermectine soit inefficace, mais qu’elle soit trop efficace, trop peu coûteuse et non brevetée.
Voilà pourquoi les exemples les plus probants ont été effacés du discours dominant.
Pourquoi l’ivermectine dérange autant ?

S’il y a bien une question qui traverse chaque page de La guerre contre l’ivermectine, c’est celle-ci: Pourquoi un médicament aussi prometteur a-t-il été attaqué avec une telle violence ?
La réponse ne relève ni de la théorie du complot ni d’une paranoïa médicale. Elle est structurelle, économique et politique.
L’ivermectine dérange car elle bouscule l’équilibre des pouvoirs dans l’industrie pharmaceutique. Elle représente l’antithèse du système actuel: efficace, bon marché, non brevetée, déjà connue du public, difficile à contrôler.
1. Trop bon marché pour être rentable
L’ivermectine est un médicament générique. Son coût de fabrication est inférieur à 0,50 € la dose.
En comparaison, les traitements antiviraux récents (Paxlovid, Remdesivir, anticorps monoclonaux…) coûtent entre 600 € et 2000 € la cure.
Quant aux vaccins ARNm, vendus à des États en milliards de doses, ils ont représenté un marché estimé à plus de 100 milliards de dollars sur deux ans.
Une molécule peu chère, efficace, et déjà disponible menace trop d’intérêts commerciaux en place. Elle ne génère pas de brevets, pas d’exclusivités, pas de rente.
2. Incompatible avec le récit du “progrès par l’ARNm”
Le développement des vaccins ARNm a été vendu comme une révolution technologique, presque une nouvelle ère médicale. Accorder de la légitimité à l’ivermectine, une vieille molécule des années 70, reviendrait à admettre que des solutions simples ont été ignorées au profit d’innovations coûteuses, expérimentales et parfois risquées.
Cela mettrait en cause des agences de santé, des gouvernements, des comités scientifiques. Difficilement acceptable d’un point de vue politique.
3. Elle remet en cause le monopole de l’expertise
Le livre montre aussi que l’ivermectine dérange car elle est défendue par des médecins de terrain, et non par les élites universitaires ou les grandes institutions.
Elle renforce la position de ceux qui prônent une médecine basée sur l’expérience clinique, l’autonomie du patient, et la prévention active.
Admettre l’efficacité de l’ivermectine reviendrait à réhabiliter les médecins indépendants, souvent ostracisés depuis le début de la pandémie. Et cela fragiliserait le monopole du savoir détenu par les grandes institutions de santé.
4. Elle menace un système fondé sur la dépendance thérapeutique
Les effets secondaires persistants des vaccins ARNm ont créé un nouveau marché médical: celui du “soin des vaccinés”. Fatigue chronique, inflammations, troubles auto-immuns, douleurs inexpliquées: autant de symptômes qui appellent des traitements à long terme.
Mais que se passerait-il si un médicament peu coûteux permettait d’atténuer, voire d’inverser certains de ces effets? Ce serait un bouleversement économique, mais aussi philosophique: les patients pourraient reprendre le pouvoir sur leur santé, sans dépendre de prescriptions à répétition.
Et c’est précisément ce que propose une détox du vaccin ARNm avec ivermectine: reprendre le contrôle.
❝ Ce n’est pas l’inefficacité de l’ivermectine qui pose problème, c’est son indépendance vis-à-vis du système. ❞
– La guerre contre l’ivermectine
Ce que vous devez comprendre
- L’ivermectine n’est pas juste un médicament controversé.
- Elle est un révélateur des mécanismes de censure, de pouvoir et de profit dans la médecine contemporaine.
- Elle est à la fois symbole de la résistance médicale, et outil pratique pour une détoxification post-ARNm.

Pourquoi ce livre est indispensable à avoir chez soi
À une époque où l’information est manipulée, censurée ou filtrée, avoir accès à des sources documentées et indépendantes est devenu un acte de survie intellectuelle.
Le livre La guerre contre l’ivermectine, publié par les Éditions marco pietteur, n’est pas un simple plaidoyer médical.
C’est un outil de référence, une archive précieuse qui explore en profondeur le rôle possible de l’ivermectine dans la détox des vaccins ARNm, mais aussi dans des domaines bien plus larges comme l’immunité, l’inflammation, la régénération cellulaire ou la prévention du cancer.
Ce n’est pas un livre polémique, c’est un livre pratique
Ce que propose ce livre, c’est une grille de lecture alternative sur la gestion de la pandémie, la manipulation scientifique, et surtout: des pistes d’action concrètes.
- Il explique comment fonctionne la protéine Spike, et pourquoi elle pose problème même des mois après l’injection.
- Il montre comment l’ivermectine agit à plusieurs niveaux: prévention, neutralisation, réparation, soutien immunitaire.
- Il explore les pathologies concernées: maladies inflammatoires, auto-immunes, neurologiques, mais aussi les cas de fatigue chronique ou de complications post-vaccinales.
Et surtout, il donne au lecteur les outils pour comprendre, choisir et agir par lui-même, dans une démarche d’autonomie sanitaire éclairée.
Un guide complet pour amorcer une détox post-vaccin ARNm
Si vous ou un proche ressentez des symptômes persistants après une vaccination ARNm (ou après avoir côtoyé des vaccinés), ou si vous vous demandez comment nettoyer votre organisme des effets à long terme, ce livre peut devenir votre point de départ.
Il ne remplace pas un médecin.
Il ne promet pas des miracles.
Mais il offre une synthèse puissante, cohérente et actionable sur ce que beaucoup soupçonnent, mais n’osent plus dire.
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C’est reprendre la main, avec des faits, des données, et une autre voix que celle des discours officiels.
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