Des troubles neurologiques jusqu’à l’infertilité, en passant par les cancers foudroyants : les effets secondaires des vaccins ARN messager ne cessent d’inquiéter. Mais s’agit-il d’alarmisme… ou d’une réalité scientifique soigneusement évitée dans le débat public ?
Dans cet entretien exclusif, le Dr Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS et docteur en biologie cellulaire, lève le voile sur ce que peu osent dire à voix haute. Face à Nicolas Dupont-Aignan, il expose sans détour les dérives technologiques et sanitaires autour des vaccins à ARN messager : une biodistribution incontrôlée, des protéines Spike surproduites, des Covid longs confondus avec des effets post-vaccinaux, et même des risques de modification génétique potentielle.
Mais ce n’est pas tout. L’entretien révèle aussi l’existence de vaccins ARN messager auto-amplifiants, déjà injectés à des millions d’animaux… sans aucune étude clinique publiée en France.
Le tout avec des composants inquiétants : nanoparticules, réplicases virales, lipides cationiques.
Et demain, dans nos assiettes ?
Ou dans nos veines via un nouveau cocktail “grippe-Covid” prévu pour la rentrée ?
🎥 Prenez le temps de découvrir cette vidéo capitale (intégrée plus bas). Et surtout, ne partez pas sans avoir consulté ces deux enquêtes complémentaires et rigoureuses :
👉 Covid-19, le naufrage de la science
👉 Covid-19, mystification scientifique
Ces deux livres vous fourniront des repères essentiels pour comprendre les enjeux profonds de cette crise — au-delà de la peur, de la propagande et du silence.
Qui est le Dr Jean-Marc Sabatier et pourquoi l’écouter ?
Dans un monde saturé d’avis contradictoires sur la vaccination, il devient crucial de savoir à qui faire confiance. Le Dr Jean-Marc Sabatier n’est pas un influenceur, un militant ou un politicien. Il est directeur de recherche au CNRS, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, et habilité à diriger des recherches — une reconnaissance scientifique majeure en France.
Son expertise ? Les mécanismes cellulaires, les interactions moléculaires, et notamment le système rénine-angiotensine, au cœur des effets du virus SARS-CoV-2… et de la protéine Spike produite par les vaccins ARN messager.
Ce qui rend son témoignage unique, c’est son indépendance.
Dans cette vidéo, il s’exprime en son nom personnel, loin des conflits d’intérêts et des injonctions politiques. Il analyse, explique et alerte sur les risques biologiques réels que ces technologies nouvelles — notamment les vaccins à ARN messager auto-amplifiants — font peser sur la santé humaine.
📌 Contrairement aux discours officiels qui minimisent voire censurent certains signaux d’alerte, Sabatier met les faits sur la table. Et ils dérangent.
Vaccins ARN messager : une technologie instable et non maîtrisée
Présentés comme une avancée révolutionnaire, les vaccins à ARN messager se révèlent être, selon le Dr Sabatier, une technologie encore immature, aux effets imprévisibles.
Le cœur du problème ? L’absence totale de maîtrise sur plusieurs paramètres cruciaux.
D’abord, la quantité de protéines Spike produite dans l’organisme varie d’un individu à l’autre.
Ce manque de contrôle pose un risque majeur : une surproduction de protéines peut provoquer un dérèglement du système immunitaire et induire des pathologies graves.
Ensuite, la biodistribution des ARN messagers — c’est-à-dire leur diffusion dans le corps — reste mal connue.
Contrairement aux vaccins traditionnels, on ne sait ni où ni combien de temps ces ARN restent actifs.
Pire : leur dégradation et les mécanismes de leur élimination sont encore flous.
Autre point d’alerte : les modifications chimiques apportées aux ARN pour les stabiliser pourraient entraîner la production de protéines hors cibles, inconnues de l’organisme… et donc potentiellement toxiques. Cela ouvre la porte à une multitude de réactions immunitaires inattendues et de déséquilibres métaboliques.
👉 En résumé, ces vaccins ne sont pas seulement innovants.
Ils sont biologiquement instables, et leur impact sur la santé humaine reste largement sous-évalué.
Des pathologies graves déjà observées
Les autorités minimisent encore l’ampleur des effets secondaires liés aux vaccins à ARN messager.
Pourtant, les signaux d’alerte s’accumulent.
Selon le Dr Jean-Marc Sabatier, ces injections peuvent être à l’origine de troubles neurologiques majeurs : Alzheimer, Parkinson, sclérose latérale amyotrophique (SLA), épilepsie, démence, mais aussi syndrome de Guillain-Barré.
Ces pathologies, autrefois rares, semblent aujourd’hui apparaître plus fréquemment chez les personnes vaccinées, y compris chez des sujets jeunes.
Et ce n’est pas tout : de nombreuses atteintes cardiovasculaires et gastro-intestinales, des maladies auto-immunes ou encore des cancers agressifs et rapides — souvent qualifiés de “turbo-cancers” — sont régulièrement signalés.
Mais ce qui choque le plus, c’est l’omerta généralisée.
En France, l’ANSM a cessé de publier les statistiques sur les effets secondaires graves depuis 2023.
Pourquoi une telle opacité ?
Quand on sait que 250 000 cas graves avaient déjà été recensés à cette date, cette décision questionne.
Le Dr Sabatier évoque aussi un phénomène préoccupant : la confusion entre Covid long post-infection et Covid long post-vaccinal.
Car dans les deux cas, les symptômes sont similaires… et souvent liés au dérèglement du système rénine-angiotensine — une perturbation directement induite par la protéine Spike, qu’elle soit virale ou… produite par le vaccin.
👉 Ce que l’on présente comme des séquelles de la maladie pourrait bien, dans de nombreux cas, être les conséquences directes de la vaccination.
Vaccins auto-amplifiants : une nouvelle génération encore plus inquiétante
Comme si les vaccins à ARN messager “classiques” ne soulevaient pas déjà assez de questions, une nouvelle technologie encore plus intrusive fait son apparition : les vaccins à ARN messager auto-amplifiant.
Le principe est simple… et terrifiant : en plus de l’instruction génétique pour produire un antigène (comme la protéine Spike du Covid), ces vaccins contiennent un complexe réplicase dérivé d’un virus animal (ici, le virus de l’encéphalite équine vénézuélienne).
Résultat : une fois dans l’organisme, l’ARN se multiplie de lui-même, produisant des protéines en quantité incontrôlable.
Jean-Marc Sabatier alerte : cette technologie, encore moins maîtrisée que la précédente, est déjà utilisée à grande échelle dans l’élevage avicole français. Plus de 60 millions de canards ont été vaccinés contre la grippe aviaire avec ce procédé, sans réelle transparence sur les effets à long terme, ni sur les risques de transmission à l’homme via la consommation de viande.
Et ce n’est pas une rumeur : la notice officielle du vaccin vétérinaire SRV reconnaît qu’en cas de piqûre accidentelle, il existe un risque de nécrose ischémique et d’amputation.
Une injection qui, dans le cas d’un humain, pourrait se transformer en cauchemar…
Mais le plus grave reste à venir : cette technologie est désormais envisagée pour les humains, notamment contre la grippe.
Et sans études cliniques sérieuses menées en Europe.
Devons-nous attendre une nouvelle catastrophe pour réagir?
Vers une vaccination grippe-Covid obligatoire ?
Pendant que le débat scientifique reste confisqué, une offensive vaccinale silencieuse se prépare.
Des voix influentes – comme François Bayrou ou le président du MEDEF – réclament déjà la vaccination obligatoire contre la grippe, sous prétexte de réduire les arrêts maladie.
Et derrière cette communication, un nouveau produit se profile : le vaccin combiné ARN messager grippe + Covid, en cours de développement chez Moderna et Pfizer.
Avec une subtilité : aucun essai clinique n’a été mené en France, et les décisions d’approbation se prennent à Bruxelles, sans réel contrôle national.
Sanofi, de son côté, semble déjà anticiper une méfiance grandissante envers les vaccins à ARN messager, puisqu’il planche sur un vaccin non-ARN pour se différencier.
Une décision qui en dit long…
Le Dr Sabatier tire la sonnette d’alarme : combiner deux vaccins en un, utilisant une technologie aussi instable, multiplie les risques d’effets secondaires et déséquilibre profondément le système immunitaire.
Les Français vont-ils se laisser piéger par un nouveau narratif ?
Après la peur du Covid, celle de la grippe?
👉 Découvrez les révélations choc du Dr Sabatier dans la vidéo complète ici :
Vaccins à ARN messager : une possible modification génétique ?
C’est sans doute l’aspect le plus dérangeant du témoignage du Dr Sabatier.
Oui, selon les données in vitro, il est possible que l’ARN messager des vaccins soit rétrotranscrit en ADN, puis intégré dans le génome humain.
Une hypothèse jugée “complotiste” il y a encore deux ans… mais désormais étayée par des publications scientifiques, que le Dr Sabatier mentionne dans l’entretien.
Et cela ne concerne pas uniquement le vaccin contre le Covid : le nouveau vaccin ARN messager auto-amplifiant, utilisé sur des millions de canards en France, contient lui aussi des éléments génétiques potentiellement capables de s’auto-répliquer dans l’organisme.
Avec une question glaçante : manger un canard vacciné peut-il transmettre l’ARN messager à l’homme ?
La réponse du chercheur : oui, le risque existe.
Nous sommes donc face à un basculement silencieux vers une biotechnologie transgénique, sans débat démocratique, sans études indépendantes sérieuses… et avec des implications génétiques irréversibles.
Ces informations vous semblent incroyables ?
Elles sont pourtant publiques.
Et elles sont développées avec rigueur dans deux livres essentiels pour comprendre ce qui se joue vraiment derrière la pandémie :
📘 Covid-19 : le naufrage scientifique
📕 Covid-19 : la mystification scientifique
Ce que nous révèle vraiment cette vidéo
L’entretien entre NDA et le Dr Jean-Marc Sabatier n’est pas un simple échange technique : c’est une alerte lucide et argumentée sur l’évolution silencieuse de la vaccination et des biotechnologies.
Des vaccins non testés en France, des produits injectés dans la chaîne alimentaire, des risques de modifications génétiques… Le tout, sans transparence, sans débats publics, sans preuves solides de l’innocuité à long terme.
Le Dr Sabatier ne se dit pas opposé aux vaccins, mais il réclame — avec raison — un moratoire immédiat sur l’usage de l’ARN messager, qu’il soit “classique” ou “auto-amplifiant”.
Face à une telle gravité, l’inaction n’est plus acceptable.
Et vous, après avoir vu la vidéo, êtes-vous toujours aussi confiant envers les nouveaux vaccins à ARN messager ?
👉 Partagez vos réflexions en commentaire.
Ce blog est un espace de débat libre et respectueux.
Foire aux questions (FAQ)
C’est un vaccin qui, en plus de l’information génétique du virus cible, contient un “code” permettant à l’ARN de se reproduire lui-même dans le corps. Ce mécanisme accroît la production de protéines… et donc les risques d’effets secondaires.
Le Dr Sabatier affirme que c’est possible, notamment en consommant du canard insuffisamment cuit vacciné avec des produits ARN messager auto-amplifiants.
Parce qu’ils sont souvent expérimentés dans des pays tiers (Vietnam, Japon) et validés ensuite au niveau européen sans essais cliniques sur le sol français.
Oui. Des vaccins classiques à virus inactivés existent, comme ceux utilisés avant l’introduction de l’ARN messager, mais ils sont moins médiatisés et moins promus par les laboratoires.
Les livres recommandés plus haut, ainsi que les publications citées dans la vidéo, offrent un excellent point de départ.
3 commentaires
Bonjour , Je n’ai jamais été confiant par rapport aux vaccins ARN Messager , jamais ! J’ai refusé la vaccination , j’ai été victime du PASS SANITAIRE et aujourd’hui j’ai toujours la même opinion , mais le fait qu’ un grand nombre de personnes dénonçant ce vaccin soit d ‘extrême droite ou proche de ce parti( le RN nouvelle version me dérange énormément et personne ne remarque cela ! Beaucoup de Français , attirés par les solutions TRUMPISTES également se retrouvent dans les opposants au vaccin ARN Messager ! Voila cela me navre vraiment ! Cordialement .
PS : Si certains déplorent celà manifestez-vous !
Bonjour M.Bonnet,
Vous touchez là à un point sensible : l’amalgame.
Depuis plusieurs années, les médias dominants travaillent à associer toute forme de dissidence ou de remise en question du discours officiel à des étiquettes infamantes : “complotiste”, “extrême droite”, voire “antidémocrate”.
Ce procédé est ancien : il vise à discréditer l’argument sans jamais le traiter sur le fond.
On va même jusqu’à qualifier de “dangereux” ou “radicaux” des hommes et des femmes qui parlent de paix, de dialogue ou de souveraineté populaire. Le sens des mots est inversé, et cette inversion crée une grande confusion : on finit par ne plus savoir qui ment et qui dit vrai.
Il est important de rappeler que non, tous les opposants aux vaccins à ARNm ne sont pas liés à un courant politique précis, encore moins à une mouvance extrême. Beaucoup défendent simplement le droit de choisir pour leur santé, la liberté de parole, et la protection de leur pays contre des décisions imposées par des dirigeants obéissant à des forces bien plus puissantes que les gouvernements eux-mêmes.
Rester vigilant face à cette propagande, c’est aussi refuser qu’on vous impose une vision unique des choses. Les voix dissidentes ne sont pas l’ennemi ; elles sont souvent le dernier rempart contre l’uniformisation de la pensée.
Lire, réfléchir, confronter les points de vue… c’est résister.
Et après toute cette triste mascarade les génies politiques inspirés par leur science infuse seront surpris de la fuite devant les vaccinations et même devant les médicaments
Et les mêmes génies inspirés vont nous bassiner avec la « désinformation » alors que depuis 2020 ce sont les politiques au pouvoir qui manipulent cette désinformation.
Personnellement quand j’entends une « information » officielle je prends l’exact contrepied et je ne suis pas loin de la vérité ….