octobre 2, 2025

Arrêt des vaccins à ARNm: «Game Over» démonte le narratif officiel – et pourquoi il faut exiger un moratoire maintenant

L’arrêt des vaccins à ARNm n’est plus une revendication marginale: c’est une exigence de bon sens tant que la technologie n’a pas livré de preuves indépendantes, complètes et à long terme.
Avec le document « Game Over », deux scientifiques de premier plan — Alexandra Henrion-Caude et Klaus Steger — posent clairement les questions qui fâchent: nature réelle du produit (modRNA), biodistribution systémique, effets biologiques de la protéine produite, risque de rétro-transcription et présence d’impuretés d’ADN.
Autrement dit: le problème n’est pas un lot isolé, mais le principe technologique lui-même.

Si la santé publique doit rester un bien commun, elle ne peut pas reposer sur des zones d’ombre. Avant de poursuivre, mettons sur pause: demandons un moratoire, le temps d’obtenir des données ouvertes, vérifiables et reproductibles. Votre voix compte.

👉 Agissez maintenant: signez et partagez la pétition pour l’arrêt des vaccins à ARNm.

Deux scientifiques crédibles portent ce signal d’alarme pour l’arrêt des vaccins à ARNm: la généticienne Alexandra Henrion-Caude, spécialiste de l’ARN et de l’épigénétique, et le biologiste moléculaire Klaus Steger.

Stop ARNm: données long-terme trop inquiétantes

Leur document « Game Over » n’est pas une diatribe (lien vers le document en anglais), mais une synthèse pédagogique qui met bout à bout des éléments techniques souvent ignorés du grand public: nature modifiée de l’ARN injecté, vecteurs lipidiques, diffusion dans l’organisme, effets biologiques potentiels de la protéine produite et questions ouvertes sur l’intégrité génomique.
Nous allons reprendre ici les différents points cruciaux abordés.

Leur objectif est simple et rationnel: replacer la science avant la communication.
« Game Over » rappelle que la plateforme modRNA exige un niveau de transparence, de contrôle qualité et d’évaluation à long terme à la hauteur des enjeux. Tant que ces garanties manquent, demander un moratoire—donc l’arrêt des vaccins à ARNm—relève du principe de précaution le plus élémentaire.

Par “plateforme modRNA”, on entend ce couple technologie + procédé: un ARNm chimiquement modifié, encapsulé dans des nanoparticules lipidiques pour forcer l’entrée cellulaire et programmer la production d’une protéine cible—une logique d’ingénierie génétique, pas de vaccin traditionnel.

Consentement éclairé: une condition non négociable

1) « C’est un vaccin » — vraiment?

C’est l’argument-reflexe: si c’est appelé “vaccin”, alors circulez.
Or, ce que « Game Over » met en lumière, c’est qu’on parle d’un produit d’ingénierie génétique: un ARN chimiquement modifié (modRNA) encapsulé dans des nanoparticules lipidiques pour forcer l’entrée dans les cellules et programmer la production d’une protéine cible.

Cette logique est informatico-biologique (donner un code à exécuter), pas celle d’un vaccin traditionnel (présenter un antigène inerte/atténué pour susciter une réponse).
Dans ce cadre, exiger un arrêt des vaccins à ARNm pendant qu’on remet les définitions et les garanties au clair n’a rien d’extrême: c’est du bon sens réglementaire.

La confusion vient aussi d’une évolution sémantique: en 2021, la définition opérationnelle de « vaccin » a été élargie pour inclure toute préparation “capable de susciter une réponse immunitaire”, même si le mécanisme n’a plus grand-chose à voir avec les vaccins historiques.

Résultat: un mot unique recouvre désormais des technologies hétérogènes.
Pour le citoyen, c’est trompeur; pour l’évaluation des risques, c’est dangereux.
Tant que ces glissements ne sont pas assortis de tests de biodistribution, génotoxicité et suivi long terme clairement publiés et réplicables, le moratoire _ autrement dit l’arrêt des vaccins à ARNm _ s’impose comme mesure de précaution.

Enfin, si l’on confond « étiquette » et « nature du produit », on brouille le consentement éclairé.
Le public a le droit de savoir quelle technologie on lui injecte, comment elle fonctionne et quels contrôles indépendants ont été réalisés.
C’est la condition pour décider librement.
En attendant, on met sur pause: l’arrêt des vaccins à ARNm protège la confiance collective autant que la santé publique.

Arrêt des vaccins ARNm
Biodistribution en question: ARN modifié, nanoparticules, fragments… des zones d’ombre qui imposent le principe de précaution.

2) « C’est de l’ARNm » — non: c’est de la modRNA

On ne parle pas d’un ARNm naturel, fragile et vite dégradé. La plateforme utilise une ARN modifiée chimiquement (modRNA), souvent substituée par de la N1-méthyl-pseudouridine et passée à la “codon optimization”.

Résultat: une molécule plus stable, moins détectée par l’immunité innée, capable de persister et d’induire une production protéique plus intense et plus longue que prévu.
C’est précisément cette différence de nature qui justifie d’exiger un arrêt des vaccins à ARNm tant que la cinétique réelle (durée de présence, quantités produites, variabilité interindividuelle) n’est pas documentée par des données ouvertes et reproductibles.

Cette “amélioration” de laboratoire a un coût potentiel: en contournant les sentinelles immunitaires et en prolongeant la traduction, on augmente le risque d’effets hors-cible (tissus non visés, sur-expression locale), avec des conséquences encore mal quantifiées.

Là où un vaccin classique présente un antigène défini, ici on programme nos cellules à l’usine—sans certitude publique sur combien, et combien de temps.
Jusqu’à preuve indépendante du contraire, moratoire rime avec prudence: l’arrêt des vaccins à ARNm est la seule position cohérente avec le principe de précaution.

3) « Le produit reste dans le muscle » — les données de biodistribution disent l’inverse

L’affirmation rassurante d’un produit « local et vite éliminé » ne tient pas face aux éléments de biodistribution rapportés dans la littérature et les documents réglementaires: les nanoparticules lipidiques passent dans la circulation, gagnent les ganglions lymphatiques et atteignent divers organes (foie, rate, reins, cœur, cerveau, tissus reproducteurs).

Autrement dit, on ne parle pas d’un dépôt musculaire inerte, mais d’un vecteur systémique qui livre sa charge génétique bien au-delà du point d’injection. Pour une technologie aussi récente, cela suffit à justifier une mise sur pause—donc l’arrêt des vaccins à ARNm—le temps d’obtenir des profils pharmacocinétiques et tissulaires clairs, indépendants et réplicables.

Traçabilité et transparence: le chaînon manquant

Ce qui manque aujourd’hui au débat public, ce sont des données ouvertes: durée exacte de présence de la modRNA, sites tissulaires concernés, variabilité interindividuelle, cinétique de la protéine produite.
Tant que ces questions restent sans réponses publiques, parler de sécurité « démontrée » relève davantage de la communication que de la science.
Le principe de précaution commande d’exiger un moratoire: l’arrêt des vaccins à ARNm protège la confiance du public autant que sa santé.

5) « L’ARNm ne s’intègre pas à l’ADN » — questions ouvertes sur rétro-transcription et ADN résiduel

L’argument d’autorité affirme que l’ARN messager ne peut pas modifier le génome.
En théorie, l’ARN n’entre pas dans le noyau et n’est pas copié en ADN.
En pratique, deux zones grises méritent des vérifications indépendantes et publiques:

  • Rétro-transcription potentielle: certaines cellules possèdent des reverse transcriptases endogènes (ex: LINE-1). La question n’est pas “est-ce fréquent?”, mais “est-ce possible, où, chez qui, avec quelles conséquences?”. Tant qu’on ne dispose pas d’études robustes in vivo, la prudence s’impose.
  • ADN résiduel et séquences facilitatrices: des analyses ont rapporté des impuretés d’ADN plasmidique dans certains lots et la présence de séquences promotrices (ex: SV40) susceptibles de favoriser l’entrée nucléaire. Ce n’est pas une preuve d’intégration, mais un signal de risque qui exige des contrôles qualité et des études d’intégration génomique standardisées, ouvertes et reproductibles.

Conséquences à ne pas balayer d’un revers de main

Si une intégration survenait, même rare, dans des cellules à longue durée de vie ou des cellules germinales, les impacts pourraient être durables: perturbation de l’expression génique, activation d’oncogènes ou inactivation de gènes suppresseurs de tumeurs. Dire “impossible” sans tests de référence n’est pas scientifique. C’est précisément pour éviter l’angle mort réglementaire qu’un moratoire s’impose.

Conclusion provisoire

Tant que les études d’intégration, de génotoxicité et de biodistribution à long terme ne sont pas publiées avec données brutes et protocoles reproductibles, maintenir le statu quo est un pari.
Le principe de précaution conduit logiquement à exiger un arrêt des vaccins à ARNm le temps de produire ces preuves indépendantes et transparentes.

Pourquoi la technologie elle-même pose question

Arrêt des vaccins ARNm avec le document Game Over

Au fil des points précédents, un constat s’impose: ce ne sont pas des « accidents de parcours » qui poussent à demander l’arrêt des vaccins à ARNm. C’est la logique intrinsèque de la plateforme modRNA qui soulève des doutes majeurs.

On injecte un code génétique artificiel, optimisé pour durer et produire une protéine bioactive dont la cinétique réelle (où, combien, combien de temps) reste insuffisamment cartographiée chez l’humain.
On véhicule ce code via des nanoparticules lipidiques connues pour diffuser au-delà du site d’injection. Et l’on revendique une sécurité « démontrée » sans publier, de façon ouverte et réplicable, les profils de biodistribution, d’intégration et de génotoxicité attendus pour une technologie d’ingénierie génétique.

Autrement dit, ce qui est présenté comme une « simple évolution vaccinale » relève en réalité d’un changement de paradigme: de l’exposition contrôlée à un antigène, on passe au programmation temporaire de nos cellules.
Ce saut qualitatif exige plus de transparence, plus de contrôles et plus de recul, pas moins.

Tant que ces exigences ne sont pas satisfaites, le principe de précaution commande une mise sur pause: l’arrêt des vaccins à ARNm, le temps d’apporter des réponses indépendantes, publiques et reproductibles.

Ce que chacun peut faire maintenant

La science n’avance pas à coups d’éléments de langage, mais de données. Pour obtenir ces données, il faut un signal clair venu du terrain: citoyens, soignants, chercheurs. Si vous estimez, vous aussi, que la santé publique mérite mieux que des zones d’ombre, alors votre voix compte.

👉 Rejoignez-la dès maintenant: signez et partagez la pétition pour l’arrêt des vaccins à ARNm.

Parlez-en autour de vous. Transmettez cet article. Demandez des preuves ouvertes, des protocoles reproductibles, des audits indépendants.

Arrêter n’est pas renoncer: c’est exiger le niveau de rigueur qu’une technologie de cette nature impose.
Lorsque la transparence et la preuve seront au rendez-vous, le débat pourra reprendre sereinement. D’ici là, on met sur pause.

Et vous, qu’en pensez-vous?

Votre expérience compte. Avez-vous des données, des lectures ou des témoignages qui éclairent ce débat sur l’arrêt des vaccins à ARNm? Partagez vos questions, objections ou éléments factuels en commentaire—réponses argumentées et respect mutuel bienvenus. Ensemble, faisons vivre une discussion ouverte et utile.

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