Le syndrome de fatigue chronique chez les femmes est une réalité bien plus fréquente qu’on ne le pense.
Elles sont des millions à se lever chaque jour avec une fatigue écrasante, inexpliquée, persistante.
Ni la médecine classique ni leur entourage ne semblent comprendre l’ampleur de ce qu’elles vivent.
Ce n’est pas une maladie spectaculaire. Pas de plâtre, pas de test sanguin flagrant.
Juste un mal diffus.
Une fatigue qui colle à la peau.
Un brouillard mental qui assourdit les pensées.
Un corps qui ne répond plus comme avant.
Ces femmes, on les croise tous les jours.
Ce sont nos sœurs, nos mères, nos collègues, nos compagnes, nos patientes.
Elles ont tout essayé.
Elles mangent “comme il faut”.
Elles prennent soin d’elles.
Elles écoutent des podcasts bien-être.
Elles font du yoga, de la méditation.
Et pourtant… elles vont mal.
Et personne ne semble vraiment les entendre.
Elles ont consulté. Beaucoup. Trop.
Généralistes, endocrinos, gynécos, psys, ostéos…
On leur a dit : “Tout est normal.”
“Vous êtes stressée.”
“Vous devriez vous reposer.”
“C’est sûrement la périménopause.”
“Et si c’était dans votre tête ?”
Alors elles rentrent chez elles, encore plus fatiguées qu’en partant.
Avec cette sensation terrible que ce qu’elles vivent n’a pas de nom.
Qu’elles sont seules dans une douleur floue.
Qu’elles sont cassées sans pouvoir le prouver.
Et ça, c’est violent.
Parce qu’en plus d’être épuisées, elles doivent se justifier.
S’expliquer. Sourire quand on leur dit “tu devrais faire du sport, ça aide”.
Endurer les remarques bien intentionnées mais profondément blessantes.
Et continuer, malgré tout. Pour les enfants. Pour le boulot. Pour les autres.
Mais à quel moment… pour elles ?
La vérité, c’est qu’on ne leur a jamais vraiment appris à écouter leur corps autrement que dans la douleur ou la pathologie lourde.
On leur a appris à ignorer les signes faibles.
À normaliser la fatigue.
À minimiser les douleurs diffuses.
À rester fortes, performantes, adaptables.

Et si justement… c’était là le problème ?
Car non, ce n’est pas “normal” d’être exténuée au réveil.
Ce n’est pas “normal” d’avoir besoin de 3 cafés pour fonctionner.
Ce n’est pas “normal” de pleurer sans raison, d’avoir un ventre gonflé après chaque repas, de voir sa libido s’éteindre lentement.
Ce n’est pas “la vie moderne”.
Ce n’est pas “le stress”.
Ce n’est pas “l’âge”.
C’est un système qui lâche.
Un corps qui hurle ce que personne n’entend.
Un déséquilibre que les analyses classiques ne captent pas toujours, mais que l’intelligence du corps, elle, ressent parfaitement.
Ce déséquilibre, dans de très nombreux cas, porte un nom : syndrome de fatigue chronique chez les femmes.
Il peut prendre mille formes :
Un axe hormonal en chute libre.
Un microbiote intestinal ruiné par des années de pilule, d’antibiotiques ou de malbouffe silencieuse.
Des carences profondes, bien cachées sous des “valeurs dans la norme”.
Une inflammation de bas grade qui épuise les réserves jour après jour.
Un foie saturé. Un système nerveux en mode survie.
Un métabolisme lent, une thyroïde ralentie, mais “pas assez” pour qu’on s’en inquiète.
Et malgré tout ça, on continue à leur dire que c’est psychologique.
Qu’elles devraient “faire un effort”.
Ou pire : qu’elles exagèrent.
Mais le syndrome de fatigue chronique chez les femmes est réel. Documenté. Complexe. Et surtout : il mérite d’être reconnu, étudié, accompagné.
Parfois, ce qu’il faut, ce n’est pas un nouveau médicament.
C’est une carte. Une grille de lecture. Un guide pour remettre de la clarté là où tout semble flou.
C’est exactement ce que propose Pleine Santé, un livre co-écrit par le Dr Stéphane Résimont et Alain Andreu.
Ce n’est pas un manuel de bien-être édulcoré.
C’est une synthèse rigoureuse, accessible, humaine, fondée sur les bases de la médecine fonctionnelle.
Il explique ce que peu de médecins ont le temps de vous dire.
Il relie les points entre fatigue, hormones, nutrition, microbiote, inflammation, et stress chronique.
Surtout, il donne des clés concrètes.
Pas des miracles, pas des injonctions.
Juste des pistes pour reprendre le pouvoir — à votre rythme, selon votre histoire.
De nombreuses femmes disent qu’en lisant ce livre, elles se sont senties comprises pour la première fois.
Et parfois, c’est tout ce dont on a besoin pour recommencer à espérer.
Alors si vous vous reconnaissez dans ces lignes…
Si vous avez l’impression de faire tout “comme il faut” et pourtant de vous épuiser chaque jour…
Sachez que vous n’êtes pas seule.
Et que des ressources existent pour comprendre ce que vous vivez.
Parce que non : ce n’est pas dans votre tête.
C’est dans votre corps.
Et votre corps a besoin d’être entendu.
Pleine Santé est disponible ici.
Foire aux questions sur le syndrome de fatigue chronique chez les femmes
R : C’est un trouble caractérisé par une fatigue persistante et inexpliquée, souvent accompagnée de douleurs, d’un sommeil non réparateur, et de troubles cognitifs. Il est plus fréquent chez les femmes et reste encore sous-diagnostiqué.
R : Fatigue intense au réveil, hypersensibilité, douleurs musculaires, brouillard mental, cycles hormonaux irréguliers et sentiment constant d’épuisement, même au repos.
R : Parce que les bilans classiques ne montrent rien d’anormal. Les symptômes sont diffus, souvent attribués au stress ou à la charge mentale, et rarement pris au sérieux par les professionnels de santé.
R : En explorant les causes systémiques comme les déséquilibres hormonaux, les carences micronutritionnelles, le stress chronique, ou le microbiote. Le livre Pleine Santé propose une approche claire et accessible pour mieux comprendre et rééquilibrer le corps naturellement.