Et si une réponse simple, naturelle et oubliée pouvait participer à la lutte contre les virus les plus redoutés de notre époque ?
C’est la question que soulève une étude japonaise récente, passée presque inaperçue, mais aux résultats pour le moins intrigants, et qui relance le débat autour du natto et le covid.
L’objet de cette étude : un aliment ancestral du Japon, le natto.
Un mets au goût prononcé, au parfum déconcertant pour les non-initiés, mais à la richesse nutritionnelle exceptionnelle.
Le natto est issu de la fermentation du soja par une bactérie appelée Bacillus subtilis var. natto. Au Japon, il fait partie du petit-déjeuner quotidien de millions de personnes. Et si ses bienfaits pour la santé digestive et cardiovasculaire sont connus depuis longtemps, c’est un autre domaine qui l’a récemment propulsé sous les projecteurs de la recherche scientifique : son effet antiviral direct.
Dans une publication parue dans la revue scientifique Biochemical and Biophysical Research Communications, des chercheurs japonais ont démontré que l’extrait de natto est capable d’inhiber l’infection de cellules par certains virus, y compris le SARS-CoV-2, responsable du Covid-19. L’effet a été observé en laboratoire, sur des cultures cellulaires.
Le lien vers cette étude est disponible ici :
👉 https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0006291X21010718
Cette découverte soulève de nombreuses interrogations. Non pas tant sur le fait que des aliments puissent avoir un impact sur notre santé (ce que toute logique élémentaire nous rappelle), mais sur la capacité d’un aliment fermenté traditionnel à rivaliser, à sa manière, avec certaines stratégies thérapeutiques modernes.
Ce que cette étude révèle, c’est la puissance ignorée de ce que l’on appelle aujourd’hui les aliments fonctionnels.
Des aliments qui, au-delà de nourrir, interagissent activement avec notre métabolisme, influencent notre microbiote, renforcent nos défenses naturelles, ou ici, agissent directement sur des agents pathogènes.
Natto et Covid : une autre manière de penser la prévention
L’étude japonaise repose sur une hypothèse simple : certaines substances contenues dans le natto, notamment des enzymes issues du processus de fermentation, pourraient interagir avec les virus et empêcher leur entrée dans les cellules humaines.
Les résultats sont nets : dans les expériences menées en laboratoire, l’extrait de natto a bloqué l’infection virale in vitro. Les virus testés, dont le SARS-CoV-2, ont vu leur enveloppe attaquée et leur capacité infectieuse fortement diminuée. Cela ne signifie pas encore que manger du natto protège du Covid, bien entendu. Mais cela ouvre une voie de recherche passionnante sur l’effet préventif ou adjuvant de certains aliments dans la lutte contre les infections virales.
Ce que cette étude révèle, c’est aussi une chose essentielle : notre immunité ne dépend pas uniquement des médicaments que l’on nous prescrit, mais aussi de ce que l’on mange, respire, absorbe, et vit au quotidien. Ce que l’on appelle notre « terrain » biologique n’est pas une abstraction, mais une réalité bien concrète que certains aliments peuvent nourrir, soutenir… ou affaiblir.
Depuis des décennies, la médecine moderne a relégué la nutrition à un rôle secondaire, accessoire, voire décoratif.
Pourtant, de plus en plus de recherches réhabilitent l’idée que ce que nous mettons dans notre assiette est en lien direct avec la prévention des maladies, notamment infectieuses. Le natto n’est qu’un exemple parmi d’autres. Mais il symbolise cette prise de conscience croissante, surtout depuis la pandémie.
Pourquoi une telle information ne fait-elle pas la une des journaux ?
Pourquoi des recherches de ce type, pourtant rigoureuses, validées par des pairs, et publiées dans des revues scientifiques sérieuses, sont-elles si peu diffusées dans les médias généralistes ?
La réponse est complexe, mais elle se trouve peut-être dans ce que dénonce le livre « Influence & Pandémies », publié aux Éditions marco pietteur.
L’ouvrage pointe les dérives de la décision publique en matière de santé, la mainmise de certains intérêts économiques sur les agences de régulation, et la marginalisation systématique des solutions naturelles.
Dans ce contexte, parler des effets du natto sur le covid semble presque subversif.
Et pourtant, il s’agit simplement de science, de données, de résultats reproductibles.
Aucun miracle ici. Juste une invitation à regarder autrement.
À ne pas sous-estimer les remèdes que la nature — ou ici, la tradition culinaire — met à notre disposition.
Ce que nous enseigne le natto est plus large encore : il est un vecteur de diversité microbienne, un stimulant du microbiote intestinal, un catalyseur de certaines réactions enzymatiques liées à l’immunité.
C’est toute la logique explorée dans le livre « Psychoneuro Endocrino Immunologie », également disponible aux Editions marco pietteur.
L’auteur y démontre que le système immunitaire ne fonctionne pas en vase clos, mais en lien constant avec le cerveau, les émotions, l’alimentation, l’environnement.
Soutenir notre santé ne se limite pas à éviter un virus ou à renforcer nos défenses. C’est un équilibre subtil entre nos choix de vie, nos habitudes alimentaires, notre stress, notre sommeil, et notre environnement chimique ou social.
Dans cette vision, des aliments comme le natto deviennent des partenaires de santé. Pas des solutions miracles, mais des alliés puissants, capables d’agir à différents niveaux de notre physiologie.
Ce changement de paradigme, ce retour vers des approches globales, douces, et ancrées dans la nature, c’est exactement ce que propose le livre « Une nouvelle énergie pour guérir ». À travers une vision intégrative, l’auteur y développe les fondements d’une médecine du XXIe siècle, plus respectueuse du vivant, plus attentive aux processus naturels du corps, et plus en phase avec ce que de nombreuses traditions médicales avaient déjà compris.
Cette découverte autour du natto et covid est une opportunité unique de repenser les bases de notre système de santé. Elle nous invite à explorer des pistes ignorées, à relier l’alimentation, l’immunité et l’environnement dans une approche réellement intégrative.
C’est précisément pour cela que ces trois ouvrages méritent une lecture attentive dans le contexte de cette découverte sur le natto : parce qu’ils offrent une compréhension globale des mécanismes de santé, des enjeux liés à l’indépendance scientifique, et des ressources déjà disponibles — mais trop souvent négligées — pour renforcer naturellement notre immunité.
📖 Lire l’étude scientifique complète :
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0006291X21010718
📚 Livres à découvrir :
C’est précisément pour cela que ces trois ouvrages méritent une lecture attentive dans le contexte de cette découverte sur le natto : parce qu’ils offrent une compréhension globale des mécanismes de santé, des enjeux liés à l’indépendance scientifique, et des ressources déjà disponibles — mais trop souvent négligées — pour renforcer naturellement notre immunité.
“Influence & Pandémies” permet de comprendre pourquoi certaines pistes naturelles sont écartées du débat public, et comment les politiques sanitaires se construisent parfois sur des intérêts opaques.
“Psychoneuro Endocrino Immunologie” éclaire les connexions subtiles entre nos émotions, notre système nerveux et notre immunité, donnant du sens aux approches de santé intégrative.
Enfin, “Une nouvelle énergie pour guérir” offre une lecture inspirante sur le rôle de l’énergie vitale, de l’environnement et de la conscience dans les processus de guérison.
Ensemble, ces livres posent les bases d’un nouveau regard sur la santé : plus lucide, plus ancré, et surtout, plus autonome.
Un commentaire
Vos publications contribuent à une (re)découverte de savoirs anciens et, par là même, à régénérer des liens sociaux réels, par opposition aux réseaux dits « sociaux ». Merci de ces éclairages et bravo pour avoir repéré tous ces textes !