La médecine moderne, dominée par l’industrie pharmaceutique et ses dogmes, serait-elle passée à côté de solutions simples, naturelles et efficaces? C’est la question que soulève le Dr Vincent Reliquet dans son intervention diffusée sur Géopolitique Profonde.
Auteur des différents tomes des Chroniques de médecine contestataire, il défend une idée forte, presque provocatrice dans le contexte actuel : « Si ça marche, on a le droit de se soigner avec. »
Cette philosophie, radicalement opposée à la vision imposée depuis le fameux rapport Flexner (1910), remet au centre le pragmatisme médical: tout ce qui améliore réellement la santé des patients mérite d’être considéré, qu’il s’agisse de sels marins, de vitamines oubliées ou de pratiques holistiques comme la musique thérapeutique.
Avant d’entrer dans les exemples concrets, prenez quelques minutes pour écouter son témoignage direct :
📺 Regardez la vidéo de l’intervention du Dr Vincent Reliquet :
Le ton est posé, mais les affirmations sont explosives.
Elles questionnent non seulement la pertinence de nombreuses pratiques médicales établies, mais aussi l’influence démesurée des lobbies industriels sur la santé publique.
Le sens de la médecine contestataire
Le Dr Vincent Reliquet se définit comme un médecin contestataire depuis sa rencontre en 2014–2015 avec des chercheurs indépendants comme Michel de Lorgeril.
De cette dynamique est née en 2016 l’AIMSIB (Association internationale pour une médecine scientifique, indépendante et bienveillante), une organisation qui a pour mission de protéger les agences de santé contre les influences des lobbies et des conflits d’intérêts, et de redonner leur place aux approches thérapeutiques injustement marginalisées.
Être contestataire ne signifie pas rejeter en bloc les avancées de la médecine moderne, mais oser questionner ses dogmes. Reliquet rappelle que la médecine n’est pas une religion : elle doit rester une science en mouvement, ouverte à l’expérience clinique et au bon sens. « Si ça marche avec mes patients, pourquoi ne pas l’utiliser ? », affirme-t-il.
Cette posture le place frontalement à contre-courant d’un système verrouillé depuis plus d’un siècle par le fameux rapport Flexner (1910).
Commandité par les familles Rockefeller et Carnegie, ce rapport a imposé une vision purement biochimique et technologique de la médecine, marginalisant les pratiques naturelles, nutritionnelles ou énergétiques.
Depuis, la médecine officielle s’appuie presque exclusivement sur des molécules issues de la pétrochimie, laissant de côté d’innombrables solutions thérapeutiques utilisées avec succès jusque-là.
C’est ce combat qu’il expose dans le Tome 1 de ses Chroniques de médecine contestataire, intitulé Je pense librement, donc je soigne mieux (à découvrir ici). Un plaidoyer pour une médecine plus libre, plus humaine et plus efficace, qui replace le médecin et le patient au cœur de la démarche de soin.
Les dogmes remis en cause : exemples concrets
La force de la médecine contestataire défendue par le Dr Reliquet réside dans sa capacité à revisiter des pratiques anciennes, souvent oubliées, mais aussi à dénoncer des certitudes installées de manière artificielle. Voici quelques exemples marquants :
Les sels de Quinton (eau de mer)
Pendant des décennies, le sérum marin a été utilisé comme antiseptique, en rhumatologie ou même en remplissage vasculaire pour les blessés hémorragiques. Reliquet raconte avoir soigné sa propre hernie discale grâce à des perfusions lombaires de sérum marin, évitant une chirurgie lourde. Pourtant, ces pratiques sont aujourd’hui rejetées par l’Ordre des Médecins, au profit de traitements coûteux et parfois plus risqués.
L’iode, un nutriment oublié
Selon Reliquet, la carence en iode est massive et dramatique, notamment chez les femmes enceintes. Elle impacte le développement cérébral des enfants et augmente les risques de fausses couches, de mort subite du nourrisson et de dépression post-partum. L’effet Wolff-Chaikoff, souvent invoqué pour diaboliser l’iode, serait un mythe mal interprété, derrière lequel se cachent les intérêts de l’industrie pharmaceutique qui vend des hormones thyroïdiennes de synthèse à vie.
Le Laetrile (vitamine B17, issue des noyaux d’abricots)
Dans les années 1950, des cliniques entières aux États-Unis utilisaient le laetrile pour traiter certains cancers, avec des résultats étonnants. Mais l’industrie, sous couvert du rapport Flexner, a fini par l’interdire. Pire, certaines études auraient été falsifiées pour masquer ses effets positifs. Reliquet ne nie pas sa toxicité en cas de surdosage, mais s’indigne du refus total de recherche sérieuse sur le sujet.
Cholestérol et statines
Pour lui, le lien entre cholestérol et maladies cardiovasculaires est un dogme construit sur une base scientifique fragile. L’étude de Framingham, souvent citée, aurait été manipulée. Les statines, prescrites à des millions de personnes, sont décrites comme toxiques : douleurs musculaires, diabète, troubles cognitifs… sans gain clair en espérance de vie.
Vitamine C et vitamine D
Deux piliers de l’immunité selon Reliquet. La vitamine C, utilisée à haute dose par injection dans certains pays, a montré des résultats spectaculaires sur des cas graves d’infections ou même de cancers. Pourtant, elle reste interdite en France. Quant à la vitamine D, son rôle essentiel dans la prévention des formes graves de Covid et de nombreux cancers a été minimisé, au prix de milliers de vies.
Tous ces exemples montrent la même logique : quand une solution simple, naturelle et peu coûteuse existe, elle est marginalisée ou interdite. Et quand une molécule brevetée, rentable et toxique apparaît, elle est promue comme incontournable.
Ces analyses sont détaillées dans le Tome 2 des Chroniques de médecine contestataire (disponible ici), où Reliquet passe en revue les grands scandales médicaux et révèle les manipulations qui ont façonné la médecine moderne.
à vous de reprendre le contrôle
Face à la désinformation, aux dogmes imposés et aux dérives industrielles qui ont trop souvent pris le pas sur la santé publique, il devient urgent de retrouver des repères solides. Les propos du Dr Vincent Reliquet sont plus qu’un cri d’alerte : ils sont une invitation à comprendre, à vérifier et à agir.
Ses Chroniques de médecine contestataire offrent exactement cela :
- Des explications claires qui décortiquent chaque sujet complexe pour le rendre accessible.
- Des sources vérifiables qui permettent à chacun de juger par lui-même et de se forger une opinion éclairée.
- Une expérience de terrain unique, celle d’un clinicien qui partage les résultats concrets observés avec ses patients.
Ces livres ne sont pas seulement des ouvrages de réflexion, ce sont des outils pour reprendre en main votre santé, comprendre les manipulations à l’œuvre et retrouver la liberté de choix éclairé qui devrait être le droit de chaque citoyen.
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- Chroniques de médecine contestataire, Tome 1 : Je pense librement, donc je soigne mieux
- Chroniques de médecine contestataire, Tome 2
- Chroniques de médecine contestataire, Tome 3
➡️ Ce sont des lectures essentielles pour quiconque veut mieux comprendre en profondeur, vérifier les faits derrière chaque affirmation et s’appuyer sur l’expérience directe d’un médecin qui a choisi la vérité et le soin avant tout.
Et vous, qu’en pensez-vous ?
La médecine contestataire du Dr Vincent Reliquet soulève des questions essentielles : jusqu’où peut-on faire confiance aux dogmes médicaux établis ? Quelle place redonner aux approches naturelles et à l’expérience de terrain des praticiens ?
Ses ouvrages offrent des explications claires, détaillées, sourcées, et permettent à chacun de vérifier les affirmations avancées tout en découvrant la richesse de son vécu clinique. Une lecture précieuse pour qui veut comprendre en profondeur les mécanismes qui gouvernent aujourd’hui la santé et retrouver son libre arbitre face aux traitements proposés.
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