décembre 30, 2025

Preuves scientifiques climato-sceptiques: et si on avait tout faux sur le climat ?

Depuis des années, un consensus semble s’être installé: le réchauffement climatique serait principalement causé par les activités humaines, en particulier nos émissions de CO₂.
Cette idée est portée par des institutions comme le GIEC, soutenue par les médias, les gouvernements, et les grandes ONG environnementales.

Mais en face, une autre voix se fait entendre, plus discrète, parfois moquée, mais soutenue par des scientifiques indépendants, des chercheurs en climatologie, en physique atmosphérique ou en géologie, qui appellent à revoir les fondements du discours dominant. Ces « climato-réalistes », ou « climato-sceptiques », ne nient pas que le climat évolue, ils remettent en cause les causes qu’on lui attribue.

Et ils s’appuient pour cela sur des preuves scientifiques climato-sceptiques qui méritent d’être entendues.
Nous allons les explorer ici, de manière rigoureuse et accessible.

Le GIEC: science ou politique?

Preuves scientifiques climato-sceptiques: le GIEC est politiquement contrôlé

Le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) a été créé en 1988 par l’ONU.
Sa mission officielle est d’évaluer les risques liés aux changements climatiques sur la base de publications scientifiques disponibles.

Mais pour les sceptiques, le problème vient du fonctionnement même de cette institution.

Des résumés politiques révisés par… des diplomates

L’un des points les plus critiqués concerne la manière dont sont rédigés les « résumés pour décideurs » (Summary for Policymakers – SPM), les documents les plus médiatisés.

Ces SPM sont négociés ligne par ligne avec les représentants des États membres, avant publication.
Cela a été souligné par Richard Black, ancien correspondant environnement à la BBC: il note que le GIEC est une organisation particulière, où les résumés officiels sont approuvés non seulement par des scientifiques, mais aussi par des représentants politiques.

Source : Criticism of the IPCC – Wikipedia

Cette procédure, bien que transparente dans son principe, introduit une dimension diplomatique dans un processus censé être strictement scientifique, et peut donc influencer le ton ou la formulation des conclusions.

Des erreurs avérées et une rigueur parfois critiquée

Le GIEC a aussi été pointé du doigt pour certaines erreurs factuelles dans ses rapports. L’exemple le plus connu reste l’annonce, dans le 4ᵉ rapport (AR4, 2007), de la disparition possible des glaciers de l’Himalaya d’ici 2035, une estimation non fondée reprise d’un rapport du WWF. Le GIEC a reconnu cette erreur, évoquant une « piètre application de ses propres procédures ».

Autres critiques fréquentes: l’usage occasionnel de sources non évaluées par les pairs (la « littérature grise », comme des rapports d’ONG ou des mémoires d’étudiants), ou encore la mise en avant de scénarios extrêmes peu probables, comme le SSP5-8.5, pour appuyer la notion d’« urgence climatique ».

Une structure perçue comme politisée

Enfin, des voix estiment que le GIEC est, de fait, une organisation politique autant que scientifique, en raison de sa tutelle onusienne.
C’est le cas notamment de Jean-Michel Jacquemin-Raffestin, auteur de Climarnaque, qui déclare:

« L’ONU, c’est le bébé de la famille Rockefeller. »
Cette citation souligne l’idée, défendue par plusieurs critiques, que les grands récits climatiques sont instrumentalisés pour des objectifs géopolitiques et économiques, sous couvert de science.

Source : Qactus.fr – 11 décembre 2025

Cette confusion entre science rigoureuse et agenda politique nous amène à une question essentielle: qu’est-ce que la vraie science ?

Aujourd’hui, dans bien des domaines – climat, santé, technologies –, on assiste à une forme de sacralisation de la “science officielle”, érigée en dogme. Ceux qui osent poser des questions sont vite qualifiés de « complotistes », quand bien même ils s’appuient sur des faits, des observations ou des raisonnements logiques.

Livre "La menace de la pseudo-science"

👉 Pour aller plus loin sur ce glissement inquiétant, le livre La menace de la pseudo-science propose une analyse accessible mais profonde de ce qu’est la science authentique.

Vous y découvrirez:

  • Comment la vraie science se construit par l’observation, la rigueur, le doute – pas par l’adhésion aveugle à un consensus.
  • Pourquoi les dérives actuelles transforment la science en croyance autoritaire, étouffant le débat.
  • Et comment renouer avec une approche éthique et libre de la connaissance.

C’est un ouvrage essentiel pour toute personne désireuse de reprendre son pouvoir de réflexion, et de faire la différence entre science… et idéologie maquillée en science.

👉 Partagez cet article

Partager sur Facebook Partager sur Telegram Partager sur WhatsApp Partager par Email

Les cycles naturels: l’explication qui dérange

Les preuves scientifiques climato-sceptiques ne se limitent pas à une critique de la structure du GIEC. Elles s’appuient aussi sur des observations physiques et historiques du climat que beaucoup considèrent trop souvent ignorées.

Et si le climat changeait… surtout parce qu’il l’a toujours fait?

Les sceptiques s’accordent à dire que le climat terrestre est un système dynamique, cyclique, influencé par une multitude de facteurs naturels, parmi lesquels le Soleil et les océans jouent un rôle central.

1. Le Soleil, grand oublié des modèles officiels

Preuves scientifiques climato-sceptiques: le soleil a pourtant une importance majeure

Le Soleil, c’est 99,86 % de la masse du système solaire, et pourtant… sa place dans les modèles climatiques du GIEC semble minime.

Les climato-réalistes dénoncent un sous-dimensionnement de l’influence solaire. Le GIEC ne prend en compte que la variation directe de l’irradiance solaire (environ 0,1 %) pour conclure à son faible impact.
Mais plusieurs chercheurs insistent sur des effets indirects bien plus puissants, notamment via la modulation des rayons cosmiques influençant la couverture nuageuse.

De plus, la signature thermique du Soleil est identique à celle du CO₂: un réchauffement des basses couches et un refroidissement de la stratosphère. Un détail technique ? Pas vraiment. Cela signifie qu’on ne peut pas attribuer ce signal exclusivement au CO₂ sans risquer un biais d’interprétation majeur.

Enfin, des cycles solaires bien connus, comme ceux de Gleissberg ou de Suess, présentent une régularité de 200 à 400 ans. Cela recoupe étonnamment bien les grandes phases climatiques historiques : Optimum Médiéval (900-1300), Petit Âge Glaciaire (1300-1850), et le réchauffement moderne qui lui succède.

2. Les océans, thermostat naturel de la planète

Autre acteur souvent sous-estimé: les océans.

Les sceptiques rappellent que les océans absorbent, stockent et redistribuent la chaleur sur de longues périodes. Ils jouent le rôle de régulateurs thermiques majeurs.

Les grands cycles océaniques, comme l’Oscillation Atlantique Multidécennale (AMO) ou l’Oscillation Décennale du Pacifique (PDO), influencent directement les températures globales, la répartition des précipitations, et même la fréquence des événements El Niño / La Niña.

Et là encore, on observe une coïncidence troublante entre les périodes de réchauffement (années 1920-1940 et 1980-2000) et les phases chaudes de ces oscillations.

Autrement dit: on peut très bien expliquer une partie importante du réchauffement du 20ᵉ siècle sans invoquer le CO₂. Juste avec des cycles naturels.

Dans la partie suivante, nous allons justement aborder l’un des points les plus débattus: le rôle du CO₂.
Est-il réellement le méchant de l’histoire?
Ou bien, comme le suggèrent plusieurs données paléoclimatiques, n’est-il qu’un indicateur, et non une cause?

👉 Mais si tous ces phénomènes naturels sont connus… pourquoi sont-ils si peu évoqués dans le débat public?

Pourquoi certains discours semblent délibérément orientés, comme si l’objectif était moins de comprendre le climat que de justifier des politiques autoritaires?

Manipulation du climat & contrôle des peuples

Ces questions sont au cœur de l’ouvrage Manipulation du climat – Contrôle des peuples, une enquête percutante qui explore les dérives actuelles autour des politiques climatiques mondiales.

Vous y découvrirez :

  • Comment les données climatiques peuvent être instrumentalisées pour imposer un agenda mondial.
  • Les liens historiques troubles entre l’ONU, les élites financières et les grandes orientations climatiques (comme le fameux Net Zéro).
  • Pourquoi certaines technologies de géo-ingénierie soulèvent aujourd’hui de sérieuses préoccupations éthiques et sanitaires.

Ce livre donne des clés pour comprendre les véritables enjeux qui se cachent derrière le narratif climatique dominant. Un ouvrage incontournable pour reprendre du recul et du discernement.

CO₂: le bouc émissaire idéal?

Parmi toutes les preuves scientifiques climato-sceptiques, celles qui remettent en question le rôle central du CO₂ sont probablement les plus explosives.

Car c’est bien sur ce gaz, pourtant minoritaire dans l’atmosphère, que repose toute la doctrine climatique actuelle: taxe carbone, neutralité carbone, économie verte…
Mais les faits ne sont pas aussi simples qu’on veut bien le croire.

1. Le CO₂ suit la température… il ne la précède pas

L’un des arguments-clés avancés par les climato-réalistes repose sur l’étude des carottes glaciaires.

Ces enregistrements montrent qu’au cours des derniers 800 000 ans, les hausses de température ont toujours précédé les hausses de CO₂ de plusieurs siècles.
C’est donc la chaleur qui libère du CO₂, notamment via le dégazage des océans, pas l’inverse.

Le phénomène est bien connu des physiciens: plus l’eau est chaude, moins elle retient le CO₂. C’est la loi de Henry.

Preuves scientifiques climato-sceptiques

Autrement dit: le CO₂ pourrait bien être un effet secondaire du réchauffement naturel, et non sa cause principale.

2. L’impact réel des émissions humaines reste minime

Les émissions anthropiques de CO₂ (issues des combustibles fossiles) représentent environ 4 à 5 % des flux annuels globaux. Le reste provient de sources naturelles: volcanisme, sols, respiration des plantes, océans…

Les climato-sceptiques soulignent que cette fraction humaine, bien que mesurable, est largement absorbée chaque année par la végétation et les océans. Le “stock résiduel” qui reste dans l’atmosphère serait donc faible… et pas forcément le moteur du réchauffement.

D’ailleurs, en 2020, lors de la crise COVID et de la chute historique des émissions, la concentration de CO₂ dans l’atmosphère a… continué à grimper. Un paradoxe difficile à expliquer si l’on croit en une relation directe, proportionnelle et immédiate.

3. Saturation de l’effet de serre

Autre point souvent évoqué: l’effet de serre du CO₂ serait déjà proche de la saturation dans ses principales bandes d’absorption infrarouge.

En clair: doubler le CO₂ n’aurait qu’un effet marginal, car la majeure partie de l’effet radiatif a déjà été captée. C’est un peu comme si vous repeigniez une vitre déjà opaque: le résultat ne change plus beaucoup.

La prochaine partie s’attaquera à un pilier fondamental du récit climatique: les modèles, les courbes, les projections… sont-ils vraiment fiables? Ou bien sont-ils eux aussi construits sur des hypothèses fragiles, voire des erreurs méthodologiques majeures?

Nous n'avons pas pu confirmer votre inscription.
Votre inscription est confirmée.

Recevez nos contenus exclusifs directement 

dans votre boîte mail

Des articles, des dossiers, des pépites oubliées ailleurs… 

mais essentielles pour comprendre le monde d’aujourd’hui.

Recevez-les dès maintenant 

et restez connecté(e) à l’essentiel.

Peut-on encore faire confiance aux modèles climatiques?

C’est l’un des fondements de la politique climatique mondiale : les modèles numériques du GIEC, censés prédire l’évolution du climat jusqu’en 2100. Mais ces projections sont-elles vraiment fiables ?

Pour de nombreux scientifiques climato-sceptiques, les preuves scientifiques climato-sceptiques montrent au contraire que ces modèles sont profondément biaisés, trop simplifiés, et construits sur des hypothèses contestables.

1. Une « crosse de hockey » très controversée

La fameuse courbe en crosse de hockey, popularisée par Michael Mann et intégrée dans les rapports du GIEC, est peut-être l’un des graphiques les plus critiqués de la climatologie moderne.

Pourquoi?
Parce qu’elle fait disparaître des périodes climatiques bien documentées, comme:

  • l’Optimum Médiéval (IXe au XIVe siècle), une période chaude où les Vikings cultivaient au Groenland,
  • ou le Petit Âge Glaciaire (XVe au XIXe siècle), avec ses hivers rigoureux.

Selon plusieurs études indépendantes, ces périodes montrent que notre climat a toujours fluctué, bien avant l’industrialisation.
Mais dans la courbe de Mann, tout ça est gommé, aplati, pour mieux faire ressortir une montée brutale et sans précédent du XXe siècle.

2. Des modèles qui surchauffent

De nombreux chercheurs ont comparé les prévisions des modèles climatiques aux observations réelles: les modèles surestiment souvent le réchauffement. Parfois d’un facteur 2, voire plus.

Ces erreurs s’expliquent en partie par le fait que certains modèles ignorent des paramètres naturels clés: les cycles solaires, la variabilité volcanique, ou encore les oscillations océaniques profondes.

En se concentrant presque exclusivement sur les gaz à effet de serre, on néglige des facteurs puissants et encore mal compris.

3. Des erreurs factuelles dans les rapports du GIEC

Plus grave encore: certains rapports du GIEC ont comporté des erreurs manifestes, reconnues par l’organisation elle-même:

Preuves scientifiques climato-sceptiques: L'urgence a-t-elle été programmée?
  • une prédiction fantaisiste sur la fonte des glaciers himalayens d’ici 2035,
  • une surestimation des zones agricoles africaines affectées par la sécheresse,
  • ou encore des inexactitudes sur les Pays-Bas et leur position par rapport au niveau de la mer.

Quand on base des politiques mondiales sur ce type de documents, l’exigence de rigueur devrait être absolue. Or, ces erreurs fragilisent la crédibilité du GIEC… et nourrissent naturellement la contestation.

4. Une institution sous influence?

Enfin, de nombreux observateurs pointent du doigt le fonctionnement même du GIEC, qualifié par certains de « politique avant d’être scientifique ».

Les résumés pour décideurs sont validés par des représentants étatiques, parfois sans réelle expertise scientifique, mais avec des intérêts géopolitiques majeurs.
Cela crée un climat où l’objectivité peut être mise de côté au profit d’un récit consensuel et alarmiste.

C’est dans ce contexte que le livre La menace de la pseudo-science prend tout son sens. Il rappelle que la science n’est pas une institution intouchable, mais une méthode rigoureuse, fondée sur le doute, l’observation et la remise en question.

Et si on reprenait le contrôle du débat climatique?

Les preuves scientifiques climato-sceptiques ne doivent pas être ignorées.
Elles ne sont ni marginales, ni fantaisistes: elles sont portées par des physiciens, des météorologues, des ingénieurs, des chercheurs rigoureux qui osent poser les bonnes questions.

Mais dans un monde où la science est parfois utilisée comme levier politique, où les modèles deviennent dogmes et les projections des certitudes, il est vital de rester éveillés, critiques, ouverts.

Il ne s’agit pas de “nier” les enjeux environnementaux.
Il s’agit d’exiger de la transparence, du débat contradictoire, et une vraie rigueur scientifique.

Et surtout, de refuser que l’on utilise le climat pour imposer une gouvernance mondiale opaque, au nom d’une urgence dont les fondements sont parfois très fragiles.

👉 À ce sujet, si vous souhaitez approfondir cette réflexion, le livre La menace de la pseudo-science est une lecture indispensable. Il explore comment la science, quand elle se déconnecte de son essence éthique, peut devenir un outil de domination plutôt qu’un moteur de progrès. Accessible, passionnant et salutaire.

Et vous, qu’en pensez-vous?

Avez-vous déjà remis en question le discours dominant sur le climat?
Avez-vous exploré d’autres sources ?
Partagez votre avis en commentaire, même (et surtout) s’il est différent !

Si cet article vous a fait réfléchir, n’hésitez pas à le partager autour de vous.
Plus on ouvre le débat, plus on avance ensemble.

👉 Partagez cet article

Partager sur Facebook Partager sur Telegram Partager sur WhatsApp Partager par Email

FAQ – Preuves scientifiques climato-sceptiques

1. Qu’est-ce que les preuves scientifiques climato-sceptiques remettent en question?

Les preuves avancées par les climato-sceptiques contestent principalement l’idée que le réchauffement climatique soit exclusivement dû aux activités humaines. Elles pointent le rôle majeur des cycles solaires, océaniques, des variations naturelles du climat et soulignent les failles méthodologiques des modèles utilisés par le GIEC.

2. Le réchauffement climatique est-il une réalité selon les climato-sceptiques?

Oui, mais les climato-sceptiques estiment que ce réchauffement est en grande partie naturel et non exceptionnel dans l’histoire du climat terrestre. Ils rappellent qu’il y a eu des périodes plus chaudes dans le passé, comme l’Optimum Médiéval, sans aucune activité humaine industrielle.

3. Le CO₂ est-il réellement le principal moteur du réchauffement?

Pas selon les preuves climato-sceptiques. Elles soutiennent que le CO₂ suit souvent le réchauffement et ne le précède pas, ce qui en fait une conséquence plutôt qu’une cause. De plus, l’effet de serre du CO₂ serait déjà saturé, rendant les augmentations futures peu impactantes.

4. Pourquoi les modèles climatiques sont-ils critiqués?

Les climato-sceptiques reprochent aux modèles du GIEC de surestimer le réchauffement, d’ignorer certains facteurs naturels et de s’appuyer sur des scénarios catastrophes improbables. Ils soulignent aussi l’écart entre les prévisions et les observations réelles.

5. Le GIEC est-il une source scientifique neutre ?

C’est l’un des points les plus controversés. Certains chercheurs et journalistes estiment que le GIEC n’est pas un organisme purement scientifique, mais politisé, car ses rapports sont validés par des représentants des États. Cela remet en question l’objectivité de ses conclusions.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée Champs requis marqués avec *

Poster commentaire

Articles récents
Facebook
Twitter
LinkedIn
2 Livres achetés = frais de port offerts!

Ne passez pas à côté d’une lecture essentielle

Découvrez nos articles et trouvez le livre qui répondra à vos questions.
We recommend
Lire, c’est résister. Partager, c’est éveiller. Acheter, c’est soutenir.

Rejoignez-nous sur

Livres mis en avant