novembre 7, 2025

Pasteur, les inoculations, et le mythe pasteurien à déconstruire

Et si tout avait commencé avec une erreur ?

L’histoire que vous allez découvrir ici ne ressemble à aucun récit officiel. Elle ne vient pas des grands laboratoires pharmaceutiques, ni des manuels de médecine validés par les autorités. Elle est portée par un vétérinaire, Éric Ancelet, auteur du livre “En finir avec Pasteur”, et elle remet en question les fondations mêmes de l’idéologie vaccinale.

À travers une interview saisissante avec Thierry Casasnovas, Éric Ancelet ne cherche pas à convaincre, mais à questionner. Il nous invite à regarder autrement une histoire trop souvent racontée à sens unique.
Ce qu’il décrit n’est pas un simple débat scientifique, mais un enjeu de société fondamental : comment avons-nous appris à considérer le vivant, la maladie, le microbe, et surtout, la manière de s’en protéger ?

L’origine anthropique des épidémies : un miroir de notre civilisation

Selon Éric Ancelet, les épidémies ne sont pas des fatalités naturelles tombées du ciel. Elles sont la conséquence directe de nos choix de société, depuis l’époque des premières civilisations.
Lorsque l’homme s’est sédentarisé, qu’il a entassé animaux et humains dans les premières cités, les conditions idéales pour l’émergence de maladies infectieuses ont été réunies.

Mais ces épidémies se sont aussi nourries des inégalités sociales, de l’exploitation, de la pauvreté et de la dégradation des écosystèmes.
Autrement dit, c’est moins la “nature” qui crée les maladies, que nos modes de vie.

C’est une remise en cause profonde du modèle pasteurien qui accuse le microbe d’être le seul responsable, sans jamais interroger le “terrain” dans lequel il évolue.

Regardez la vidéo ici :

“Corps vils” et expérimentation: l’histoire oubliée de la médecine

Dans cette même logique, Éric Ancelet s’appuie sur les travaux de Grégoire Chamayou pour rappeler que la médecine expérimentale s’est développée en utilisant des “corps vils” : prisonniers, orphelins, prostituées, pauvres… Ce sont ces populations jugées sans valeur qui ont servi de cobayes aux débuts de la vaccination.

Louis Pasteur lui-même aurait demandé à l’empereur du Brésil de lui fournir des condamnés à mort pour ses essais. L’histoire des vaccins est donc indissociable d’une histoire de domination, de hiérarchie sociale, de sélection de ceux à qui l’on inflige les risques.

Une question reste alors en suspens: aujourd’hui, qui sont les “corps vils”?
Ne serions-nous pas devenus, tous, des sujets expérimentaux à grande échelle ?

La mythologie pasteurienne : entre science et pouvoir

Pasteur, bien qu’acclamé comme un héros de la science, n’était pas médecin, mais chimiste. Il a repris les idées de Jenner sur la vaccination, mais les a appliquées sans discernement, parfois au prix de vies humaines.
Ses expérimentations sur la rage ont provoqué des décès passés sous silence, notamment chez des enfants issus de milieux pauvres.

La suite de l’histoire se déroule comme un conte moderne: les adjuvants chimiques, les procédés d’atténuation des virus, les “victoires” sanitaires attribuées aux vaccins, tout cela construit une mythologie.
Une belle histoire, mais à quel prix ?

👉 Pour approfondir cette face cachée de la vaccination, vous pouvez lire cet article complémentaire avec des preuves du danger des vaccins.

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Mythe pasteurien: une guerre contre le vivant?

Vaccins génétiques: un saut dans l’inconnu

Avec les vaccins à ARN messager, on entre dans une nouvelle ère. Il ne s’agit plus d’injecter un virus atténué, mais du matériel génétique.
Pour Éric Ancelet, cela représente un risque majeur.
Non seulement l’efficacité de ces vaccins est questionnée, mais les effets à long terme sont inconnus: recombinaisons virales, perturbations du système immunitaire, intégration au génome…

Ce n’est plus simplement une question médicale, mais une question de civilisation: avons-nous le droit d’altérer le vivant de cette manière? Ou sommes-nous en train de créer une médecine qui outrepasse les lois naturelles au nom du progrès ?

Une autre vision du vivant: du microbe au holobionte

Ancelet ne se contente pas de critiquer l’héritage pasteurien, il propose un véritable changement de paradigme.
Là où Pasteur voyait des envahisseurs à éliminer, lui voit des alliés indispensables.

Car le corps humain n’est pas un champ de bataille, mais un écosystème vivant et dynamique, où cohabitent cellules humaines et micro-organismes en interaction constante.

Le mythe pasteurien oublie que nous sommes des "holobiontes"

En réalité, nous sommes ce que la biologie appelle des holobiontes, c’est-à-dire des êtres hybrides et symbiotiques, composés non seulement de nos propres cellules, mais aussi d’une multitude de bactéries, virus, levures et autres micro-organismes.
Ces compagnons invisibles ne sont pas des menaces par défaut, mais des partenaires essentiels de notre digestion, de notre immunité, de notre régulation hormonale, et même de notre équilibre émotionnel. Sans eux, nous ne pourrions pas survivre.

Et les virus dans tout ça?
Ancelet invite à les voir autrement: non pas comme des ennemis absolus, mais comme des vecteurs d’information génétique, parfois même moteurs de l’évolution.

Cette vision restaurée du vivant redonne toute sa pertinence à la théorie du terrain, défendue dès le XIXe siècle par Béchamp et d’autres médecins oubliés. Elle trace les contours d’une médecine qui ne cherche plus à dominer le vivant, mais à collaborer avec lui, dans une démarche plus respectueuse, plus préventive et profondément ancrée dans l’intelligence du corps.

Le “fait vaccinal”: un outil de contrôle sociétal

Aujourd’hui, la vaccination ne relève plus seulement de la médecine. Elle est devenue un fait politique, social, économique. Elle sert à tracer, à contrôler, à contraindre.
Le passe sanitaire, les obligations vaccinales, les campagnes de peur… tout cela participe d’un système de surveillance où la santé devient un prétexte à la soumission.

Le vrai débat n’est plus scientifique, il est politique, voire militaire.
Et il pose une question centrale: comment voulons-nous vivre?
Dans un monde sous surveillance, ou dans une société qui fait confiance à l’intelligence de chacun?

Reprendre la souveraineté sur nos corps

À travers cette vidéo désormais censurée sur YouTube, et désormais hébergée sur Odysee, Éric Ancelet ne prétend pas avoir toutes les réponses. Mais il nous donne une clé précieuse: la liberté de penser.
La possibilité de remettre en question un modèle, de reconstruire un lien plus sain avec notre corps, notre santé, le vivant.

👉 Découvrez les deux ouvrages d’Éric Ancelet pour approfondir cette réflexion essentielle:

En Finir Avec Pasteur

En finir avec Pasteur:
Une remise à plat historique, scientifique
et philosophique du mythe vaccinal.

Livre "Pour en finir avec nos peurs"

Pour en finir avec nos peurs:
Un guide précieux pour reprendre
le contrôle de sa vie et de sa santé.

Et vous, qu’en pensez-vous ?
Ces perspectives vous éclairent-elles, vous questionnent-elles, ou vous n’êtes pas d’accord?
Nous vous invitons à partager librement vos impressions, vos doutes ou vos réflexions en commentaire.
Votre voix compte dans ce débat essentiel.

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