« Moi, ma fille avait des jetons pour respirer à l’école… Trois jetons par demi-journée pour avoir le droit de baisser son masque. Sinon, elle devait copier des lignes : “Je dois mettre mon masque correctement.” »
Quand on réécoute ces témoignages aujourd’hui, un frisson parcourt l’échine.
Des enfants punis pour respirer. Des parents culpabilisés. Des citoyens enfermés chez eux, avec une autorisation en poche pour aller acheter du pain.
Et soudain, une question s’impose : comment avons-nous pu laisser faire ça ?
C’est la question au cœur du livre Covid-19 : Plus jamais ça, un ouvrage essentiel pour comprendre ce qui s’est réellement passé, et surtout, pourquoi tant de gens ont obéi sans broncher.
Quand on réécoute ces témoignages aujourd’hui, un frisson parcourt l’échine. 
Des enfants punis pour respirer. Des parents culpabilisés. Des citoyens enfermés chez eux avec une autorisation pour sortir. 
Une question s’impose : comment avons-nous pu laisser faire ça ?
C’est la question au cœur du livre Covid-19 : Plus jamais ça, un ouvrage pour comprendre ce qui s’est réellement passé, et pourquoi tant de gens ont obéi sans broncher.
Quand respirer devenait un privilège
Imaginez la scène: une salle de classe, des enfants masqués, des jetons pour « respirer un peu ». Absurde. Et pourtant, c’est arrivé. Une mère raconte la détresse de sa fille, humiliée devant ses camarades pour avoir baissé son masque. Un système froid, déshumanisé. Et tout le monde a laissé faire.
Ce n’était pas un cauchemar individuel. C’était un symptôme collectif. Nous avons transformé la peur en norme, la précaution en punition, l’obéissance en vertu.
La mécanique de la peur, comment tout un peuple a obéi

Personne ne s’est levé un matin en se disant : « Aujourd’hui, j’accepte l’absurde. » Et pourtant, pas à pas, nous avons glissé. Chaque jour, un nouveau décret. 
Une nouvelle restriction. Toujours la même justification : « C’est pour votre bien. »
Les psychologues parlent de conditionnement progressif. La peur du virus a été amplifiée, rationalisée, entretenue. On a fait de la peur un outil de cohésion… et de contrôle. Des travaux publiés dans Frontiers in Psychology montrent que la peur est positivement liée à la conformité aux mesures, même lorsqu’elles sont contestées. Source Frontiers
Résultat : nous avons obéi moins à la raison qu’à l’émotion.
Le prix du silence, quand la peur coûte plus cher que la vérité
Les cicatrices ne se voient pas toutes. 
Emplois perdus. Enfants anxieux. Familles fracturées. Confiance effritée envers les institutions. 
Et une douleur silencieuse: des enfants ayant appris que « respirer » pouvait valoir une punition.
Plus troublant encore, nous en parlons de moins en moins. 
La mémoire s’efface. Le mécanisme, lui, peut se reproduire, sous une autre forme, un autre prétexte, avec la même logique: soumission par la peur.
« Plus jamais ça », comprendre pour ne plus subir
C’est tout le sens du livre Covid-19 : Plus jamais ça (Éditions marco pietteur). 
Un livre-choc, documenté, qui met des mots sur ce que beaucoup ont ressenti sans pouvoir l’articuler. Il explore les dérives politiques, médiatiques et sociales d’une période où la peur a pris le pas sur la raison.
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La mémoire courte est notre plus grand danger
L’histoire se répète quand on l’oublie. Nous avons accepté d’être enfermés. Nous avons toléré que des enfants soient punis pour respirer. Et nous avons aussi renoncé à des libertés fondamentales au nom d’une peur plus grande que nous.
Il est temps de dire: Covid-19 Plus jamais ça. 
Pas par colère. Par lucidité. Un peuple qui se souvient devient vigilant. Un peuple vigilant reste libre.
Le Covid-19 a été plus qu’une crise sanitaire : une expérience sociale à ciel ouvert sur notre rapport à la peur, à l’autorité et à la liberté. La question n’est pas de rejeter, mais de comprendre pour ne pas répéter.
Lisez Covid-19 : Plus jamais ça pour ouvrir les yeux et rouvrir le débat. La vraie immunité n’est pas que biologique. Elle est mentale et collective.
Réponses aux questions courantes
Pour comprendre les mécanismes psychologiques et politiques qui ont mené à des décisions extrêmes, et éviter leur retour.
Il interroge l’instrumentalisation de la science pour justifier des politiques déconnectées de la réalité humaine.
Des impacts durables sur la santé mentale, la confiance et la cohésion sociale, documentés par témoignages et analyses.
En cultivant l’esprit critique, la désobéissance raisonnée et la mémoire collective. En refusant de confondre prudence et soumission.
Et vous, qu’en pensez-vous ?
Avons-nous collectivement perdu la raison pendant la pandémie ?
Partagez votre avis, vos souvenirs, vos désaccords.
Le débat doit rester vivant — parce que la mémoire ne se construit que si chacun ose parler.
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