Vous avez lu que les effets indésirables des vaccins Covid étaient surveillés. Vous avez entendu que leur bénéfice était incontestable. Vous avez peut-être même pensé que toute alerte nouvelle relevait de la peur ou de la rumeur.
Les données publiées en 2023 et 2024 déplacent le débat. Elles établissent un signal. Elles invitent à regarder la réalité d’un phénomène: une hausse de certains cancers après les campagnes de vaccination massive.
Ce texte présente les observations épidémiologiques disponibles, et interroge la cohérence du silence institutionnel qui les entoure.
Des chiffres observés sur le terrain
Le débat sur les vaccins Covid et les cancers s’est enflammé après la mise en avant de deux études de cohorte, l’une italienne et l’autre coréenne.
La première porte sur près de 300 000 personnes d’une province italienne et signale une légère hausse des hospitalisations pour cancer chez les vaccinés, qui disparaît quand on impose un délai minimal de 12 mois entre vaccination et hospitalisation, avec rappel que des biais de confusion ne peuvent être exclus.
La seconde, réalisée en Corée du Sud sur 8,4 millions de dossiers, rapporte des associations à 1 an pour certains cancers par site, mais ne conclut pas à une causalité et appelle à des recherches supplémentaires
Gouvernance perverse
Ce livre montre comment la décision publique infléchit la réalité perçue, organise le doute utile et sacralise la communication au détriment des faits. Indispensable pour saisir pourquoi des signaux épidémiologiques restent longtemps “invisibles”.
Mécanismes possibles et nécessité d’enquête: ce que montrent vraiment les deux études citées
En Italie, l’analyse sur 30 mois observe une baisse de la mortalité toutes causes chez les vaccinés et un sur-risque modeste d’hospitalisation pour cancer (HR 1,23), limité aux sujets sans infection antérieure et s’annulant quand on impose un délai de 12 mois. Les auteurs soulignent le rôle possible d’un biais du “vacciné en meilleure santé” et d’autres facteurs non mesurés. Traduction opérationnelle: association ≠ preuve, design et délais d’observation comptent. PubMed
En Corée du Sud, l’étude signale, à 1 an, des HR supérieurs à 1 pour plusieurs sites tumoraux, tout en rapportant un HR global proche de l’unité selon certaines analyses. Elle reste observationnelle, discute le rôle de l’âge, du sexe et du type de vaccin, et conclut à la nécessité d’études confirmatoires.
C’est un signal, pas un verdict.
La Fabrication du Désastre
Vous y verrez comment procédures, incitations et narratifs ont converti une crise sanitaire en crise de connaissance, retardant la reconnaissance des dommages et l’ajustement des politiques.
La lecture idéale pour comprendre pourquoi l’enquête sur les effets indésirables et les cancers n’avance pas au rythme des faits.
Informer sans alarmisme: une responsabilité publique
Exiger des données ouvertes, des modèles publiés et des délais d’analyse adaptés n’est pas de “l’alarmisme”.
C’est le cœur du consentement éclairé et de la confiance publique.
Les grandes cohortes observationnelles génèrent des signaux qu’il faut tester, pas disqualifier. Les débats médiatiques tranchés et les “debunks” trop rapides entretiennent l’opacité plutôt que la compréhension.
L’expérience américaine illustre la mécanique du déni administratif puis de la correction contrainte par les faits.
COVID-19: Les Mensonges du Gouvernement U.S.
Ce livre documente la distance entre communication politique et données, et montre comment enquêtes, auditions et documents obtenus éclairent enfin le réel. Utile pour décoder les éléments de langage qui entourent les signaux sur les cancers.
Regarder l’ensemble: cohérence des signaux faibles
Myocardites d’abord, troubles thrombo-inflammatoires ensuite, désormais associations par site tumoral dans une mégacohorte.
Le principe de santé publique est simple: reconnaître tôt les incertitudes, ajuster la surveillance, publier les méthodes et accepter de corriger le cap si nécessaire.
L’Europe a besoin d’un standard commun de transparence, incluant registres, délais pertinents et analyses indépendantes.
Transformer les leçons en garanties d’avenir suppose des garde-fous méthodologiques et citoyens.
COVID-19: PLUS JAMAIS ÇA!
Une synthèse claire des erreurs à ne plus répéter, avec des pistes concrètes pour renforcer transparence, surveillance indépendante et contrôle démocratique. Aligné avec l’exigence née des signaux sur les cancers.
Passer à l’action: ouvrir les données, protéger la vérité
Demandez l’analyse des registres de cancers intégrant les dates d’injection, les rappels et les comorbidités.
Exigez des modèles publiés, réplicables, avec code et critères d’exclusion clairs.
Sollicitez des audits indépendants des agences et la mise à disposition des données brutes pour les équipes universitaires.
Soutenez les initiatives citoyennes qui poussent à la transparence.
Partagez les études, posez des questions précises à vos élus, réclamez un calendrier public de publication des résultats.
La confiance renaît quand l’information circule sans filtre.
👉 Signez la pétition Non à l’ARNm pour exiger l’ouverture immédiate des données et des protocoles d’analyse détaillés.
Nous voulons une science adulte: regarder les faits, ajuster sans délai, protéger les personnes avant les récits. C’est ainsi que l’on met fin à la confusion et que l’on réconcilie santé publique et vérité.
Votre expérience compte.
Avez-vous observé des signaux autour de vous? Laissez un commentaire, posez vos questions, partagez vos sources.
Ensemble, nous faisons progresser la clarté.
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