Il y a des vérités qu’aucun média ne veut aborder. Le professeur Christian Perronne, figure majeure de la médecine française, l’a rappelé avec une clarté rare: la corruption de Big Pharma est devenue un problème mondial qui gangrène la santé publique. Dans une courte intervention, il rend hommage à Robert F. Kennedy Jr., auteur du livre explosif Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma, et appelle l’Europe à suivre son exemple pour restaurer l’intégrité scientifique.
Ce scandale planétaire ne repose pas sur des théories marginales, mais sur des faits vérifiables : manipulations de données, collusions entre régulateurs et industriels, campagnes de désinformation sur les vaccins et sur la nutrition. Derrière la façade de la science, se cache une industrie obsédée par la rentabilité, prête à sacrifier la vérité médicale sur l’autel du profit.
“Ce ne sont pas des antivax”, insiste Perronne. “Ils demandent simplement que les vaccins soient étudiés convenablement.” Ce cri du cœur, soutenu par Kennedy, sonne comme un appel à une révolte pacifique de la conscience : exiger la rigueur, la transparence et la fin des magouilles institutionnelles.
Et si, comme le suggère Perronne, la libération sanitaire de l’Europe passait par le courage de dire ce que tout le monde sait, mais que personne n’ose affronter?
Robert F. Kennedy Jr., le lanceur d’alerte que l’Europe devrait écouter
Aux États-Unis, Robert F. Kennedy Jr. mène depuis des années un combat solitaire contre la corruption institutionnelle de l’industrie pharmaceutique. Son livre Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma — préfacé par Christian Perronne pour l’édition française — expose, preuves à l’appui, les mécanismes de capture de la science par les intérêts privés.
Kennedy y révèle comment les grandes agences sanitaires, censées protéger les populations, se sont progressivement transformées en organismes de promotion commerciale. Financements croisés, conflits d’intérêts, rotations permanentes entre laboratoires et décideurs politiques : l’écosystème de la santé publique s’est dévoyé.
Ce n’est plus la recherche qui dicte la politique, mais le lobbying qui fabrique la recherche.
Dans la vidéo, Christian Perronne appelle clairement à suivre cet exemple américain : se lever, enquêter, exiger des comptes. Il ne s’agit pas de rejeter la médecine, mais de la purifier de ce qui la pervertit.
Aux États-Unis, Kennedy a lancé un mouvement de transparence inédit. En Europe, Perronne invite à initier la même révolution morale, celle de la vérité contre l’impunité.
Ce combat contre la corruption de Big Pharma ne se résume pas à une bataille d’opinions. C’est une question de survie démocratique.
Et si, au lieu de subir les mensonges de l’industrie, les citoyens européens décidaient enfin de reprendre le rôle que les institutions ont abandonné : celui de gardiens du bien commun?
L’illusion du progrès scientifique: quand Big Pharma capture la vérité

Le récit dominant voudrait nous faire croire que la science avance librement, portée par le seul souci du progrès humain. Mais selon Christian Perronne et Robert Kennedy Jr., cette image relève aujourd’hui de la fiction.
Derrière les façades de transparence et les slogans de santé publique, la réalité est celle d’une capture systémique: les grandes firmes dictent les priorités de la recherche, orientent les politiques de santé, et contrôlent jusqu’à la narration médiatique.
Les agences de régulation, censées garantir la sécurité des produits, dépendent financièrement des mêmes laboratoires qu’elles devraient contrôler. Les revues scientifiques vivent des budgets publicitaires de l’industrie pharmaceutique. Quant aux experts médiatisés, ils sont souvent liés à ces entreprises par des contrats de conseil ou des subventions de recherche.
Le conflit d’intérêts n’est plus une dérive: c’est devenu le mode de fonctionnement ordinaire du système.
Ce piège est d’autant plus efficace qu’il se pare des apparences du bien. On nous parle de vaccination, de lutte contre la maladie, de “sauver des vies”. Qui oserait s’y opposer?
Pourtant, derrière cette rhétorique se cachent des stratégies marketing qui exploitent la peur pour imposer des traitements, brevets et politiques lucratives. Kennedy et Perronne ne dénoncent pas la médecine, mais la marchandisation de la santé.
Le Big Pharma corruption agit comme un brouillard: il empêche les citoyens de distinguer la science honnête de la science financée. Ce brouillard tue le discernement collectif.
Et si le vrai progrès n’était plus de produire toujours plus de médicaments, mais de retrouver la liberté de penser sans influence?
Le sucre, la peur et le contrôle des comportements

Christian Perronne le souligne : l’influence de Big Pharma ne se limite pas aux médicaments. Elle s’étend à tout un modèle de consommation fondé sur la dépendance et la peur. Les mêmes stratégies de manipulation utilisées pour vendre des traitements sont à l’œuvre dans l’alimentation industrielle, notamment à travers le lobby du sucre, que Perronne désigne comme “le plus gros poison de la planète”.
Ce lien entre Big Pharma corruption et industrie alimentaire n’est pas fortuit. En entretenant la maladie chronique, obésité, diabète, maladies cardiovasculaires, le système crée une clientèle captive. Le sucre nourrit les pathologies que les laboratoires se chargent ensuite de “soigner”. L’économie de la santé devient une boucle fermée où la maladie est plus rentable que la guérison.
La peur agit comme catalyseur.
Peur du virus, peur du manque, peur de la mort. Cette émotion, savamment entretenue par les médias et les institutions, maintient les citoyens dans un état de soumission psychologique qui les pousse à consommer, obéir et éviter de réfléchir.
C’est une stratégie ancienne: saturer les esprits d’angoisse pour détourner l’attention des véritables causes du malaise collectif.
Kennedy et Perronne dénoncent cette mécanique d’asservissement global: un système où le sucre, la peur et la propagande travaillent main dans la main pour façonner un citoyen docile. L’enjeu dépasse la santé. Il touche à la liberté intérieure.
Et si le véritable antidote à la corruption n’était pas un vaccin, mais un esprit lucide et libre de toute dépendance?
Restaurer l’intégrité scientifique et la souveraineté sanitaire
Christian Perronne l’affirme sans détour: il ne s’agit pas de détruire la médecine, mais de restaurer son âme.
La science, lorsqu’elle est au service du bien commun, éclaire. Lorsqu’elle devient l’instrument du pouvoir économique, elle aveugle. C’est ce renversement que Robert F. Kennedy Jr. dénonce dans son enquête, et que Perronne appelle à combattre en Europe.
Restaurer l’intégrité scientifique, c’est oser remettre en cause la fausse neutralité des institutions. Tant que les régulateurs seront financés par ceux qu’ils doivent contrôler, aucune politique sanitaire ne pourra être crédible.
Tant que les études seront sélectionnées selon leur rentabilité, la vérité restera prisonnière des statistiques.
Ce combat n’a rien d’idéologique: c’est une exigence morale.
Les citoyens ont un rôle à jouer. L’information n’a jamais été aussi accessible. Le mensonge n’a jamais été aussi fragile. Il suffit que quelques voix éclairées se lèvent pour que l’édifice vacille.
Perronne appelle à cette union des consciences : “Plus on sera ensemble, plus on sera fort.” Ce n’est pas un slogan, mais une stratégie de survie collective.
Le livre Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma, publié aux Editions marco pietteur, expose de manière minutieuse les coulisses de cette corruption globale. Préfacé par Christian Perronne, il dévoile comment la santé mondiale est devenue un marché captif dirigé par une poignée d’intérêts privés.
Et si cette lecture devenait le point de départ d’un réveil citoyen capable de réconcilier la science avec la conscience?
Le courage de la vérité: un appel à agir ensemble

Ce que révèlent Christian Perronne et Robert Kennedy Jr. dépasse la question sanitaire. La corruption de Big Pharma est devenu un miroir de notre époque: il reflète la complicité entre pouvoir, peur et profit.
Tant que nous resterons spectateurs, le mensonge continuera à dicter la norme.
L’heure est venue de réapprendre à douter, à lire, à penser par nous-mêmes. Chaque fois qu’un citoyen choisit de s’informer autrement, il brise un maillon de cette chaîne invisible. La vérité ne se délègue pas, elle se cultive. Elle exige du courage, de la rigueur et la volonté de ne plus se contenter de ce qu’on nous sert.
Les propos de Perronne nous rappellent que la science doit redevenir un espace de questionnement, non de soumission.
Et si la véritable guérison de nos sociétés commençait par un mot oublié du langage politique: intégrité?
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Chaque témoignage, chaque lecture, chaque prise de conscience compte.
Ensemble, nous pouvons rendre à la science son honneur et à la santé sa vérité.
À lire pour aller plus loin
Le livre Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma, publié aux Editions marco pietteur et préfacé par le professeur Christian Perronne, dévoile en détail les coulisses de la corruption pharmaceutique mondiale.
Une enquête rigoureuse, documentée, indispensable pour comprendre comment la santé mondiale a été détournée au profit d’intérêts privés.













