Depuis plusieurs mois, un fait aussi sidérant que révélateur secoue la sphère scientifique européenne. Deux chercheurs, Vincent Pavan et Emmanuel Gärd, ont reçu une injonction de l’Agence Européenne des Médicaments (EMA) leur ordonnant de détruire leurs analyses statistiques sur les effets indésirables des vaccins Covid.
Un geste qui interroge sur ce que certains appellent désormais la “censure scientifique institutionnalisée”.
Ce nouvel épisode éclaire d’un jour cru la tension entre science et pouvoir. Car derrière cette demande d’effacement se cache une question essentielle: que devient la vérité quand les données officielles sont elles-mêmes menacées de disparition?
Quand la transparence devient un risque, c’est la confiance des citoyens qui vacille.
Les effets indésirables des vaccins Covid ne sont plus seulement une question médicale, mais un enjeu politique et éthique majeur.
Si les chiffres sont effacés, comment juger de la sécurité réelle des campagnes vaccinales?
Et surtout, pourquoi l’Union européenne semble-t-elle redouter la lumière sur ces faits?
Les chercheurs refusent de se taire. Et ce refus, à lui seul, est déjà un acte de résistance.
L’ordre de destruction: quand la science dérange le pouvoir
Début octobre, Vincent Pavan et Emmanuel Gärd ont reçu un courrier officiel signé d’un haut responsable de l’Agence Européenne des Médicaments. Le contenu est stupéfiant: il leur ordonne d’effacer leurs travaux statistiques de 2022 sur les effets indésirables des vaccins Covid, d’interdire toute diffusion future de ces données et même de s’engager juridiquement à ne plus les mentionner.

Cette injonction administrative, que les deux chercheurs qualifient de « non réglementaire », soulève une double question: d’où vient cette demande, et surtout, au nom de quoi peut-on exiger la destruction d’une recherche scientifique menée de façon transparente ?
Car les données utilisées provenaient de la base publique EudraVigilance, gérée par l’EMA elle-même.
Rien d’illégal, aucune manipulation: seulement une lecture différente de la réalité, fondée sur les chiffres officiels.
Ce qui dérange, selon les chercheurs, ce n’est pas la méthode, mais le résultat.
Leur étude montrait de fortes disparités entre pays: par exemple, les Pays-Bas déclaraient six fois plus d’effets indésirables graves que la France.
Ces écarts, loin d’être anecdotiques, posent la question du silence statistique et des critères de déclaration.
Le geste de l’EMA apparaît alors comme une tentative d’étouffer la comparaison, de neutraliser la contradiction, et de rappeler à l’ordre ceux qui osent mettre en lumière les failles du système.
Et si ce n’était pas une erreur bureaucratique, mais le symptôme d’un malaise plus profond: celui d’une Europe scientifique qui craint la transparence autant que le mensonge?
Santé publique et prévention: l’urgence d’un regard lucide
Le débat sur les effets indésirables des vaccins Covid ne se limite pas à une bataille de chiffres. Il révèle une fracture plus profonde dans notre approche de la santé publique. Derrière les discours sur la sécurité, la prévention et la confiance, une réalité se dessine: celle d’une médecine qui a parfois oublié la personne pour ne plus voir que la statistique.
Les travaux de Pavan et Gärd ne remettent pas en cause la science, mais rappellent qu’elle doit rester vivante, questionnante, ouverte.
Une santé durable ne peut reposer sur la peur, ni sur la soumission à des institutions financées par les mêmes industries qu’elles sont censées réguler.
C’est là que se joue le véritable enjeu: retrouver une autonomie intellectuelle et physiologique face à la complexité du vivant.

Car pendant que certains effacent les données, d’autres construisent des chemins de guérison fondés sur la connaissance, la transparence et la cohérence.
C’est le sens du mouvement que nous avons décrit dans notre article Make Europe Healthy Again : la révolution du bon sens, où la santé redevient une affaire de conscience collective autant que de responsabilité individuelle.
Dans ce contexte, il devient vital de replacer la prévention réelle au cœur du débat. L’alimentation, l’immunité naturelle, la gestion du stress, la qualité du sommeil et la respiration consciente sont autant de leviers concrets qui renforcent la santé métabolique sans dépendre de solutions imposées d’en haut.
C’est d’ailleurs tout le propos du livre Pleine Santé, un ouvrage essentiel publié par les Editions marco pietteur, qui montre comment la médecine fonctionnelle peut redonner aux individus la maîtrise de leur bien-être à travers des actions simples et mesurables.
Et si la véritable prévention commençait par la liberté de comprendre ce que l’on nous cache?
Transparence, données et conflits d’intérêts: ouvrir les rideaux sur ce qui reste opaque

Derrière l’ordre de destruction adressé aux chercheurs se cache une question brûlante: qui contrôle aujourd’hui la science, et au profit de qui? L’Agence Européenne des Médicaments, censée garantir la sécurité sanitaire des citoyens, est financée à plus de 80 % par l’industrie pharmaceutique qu’elle est supposée réguler.
Ce chiffre, rarement mentionné, suffit à semer le doute sur l’impartialité de ses décisions.
Lorsqu’une institution dépend économiquement de ceux qu’elle doit contrôler, la tentation du silence devient structurelle.
L’affaire Pavan–Gärd illustre cette dérive: les chercheurs n’ont pas été critiqués sur la rigueur de leurs analyses, mais sur le simple fait qu’elles dérangeaient. Ce glissement d’une science de la preuve vers une science de la convenance marque une rupture historique entre vérité et pouvoir.
Cette opacité institutionnelle n’est pas nouvelle. De la gestion du Covid à la promotion des vaccins, en passant par la sélection des études autorisées à circuler dans les médias, les mécanismes de censure sont multiples: financement orienté, révisions d’articles sous influence, pressions administratives, campagnes de discrédit.
Pourtant, la science ne progresse que dans le débat, la contradiction et la publication libre des données.
Les Editions marco pietteur ont publié plusieurs ouvrages essentiels pour comprendre cette dérive.
Dans Influence & Pandémies et La Fabrication du Désastre, les auteurs démontent les rouages économiques et politiques qui transforment la recherche médicale en outil de contrôle social.
Ces livres posent une question simple: comment faire confiance à une science qui n’a plus le droit de douter?
Et si la première étape pour guérir la confiance consistait simplement à ouvrir les rideaux sur ce qui reste encore trop opaque?
Courage et consentement éclairé: défendre la liberté thérapeutique
Dans ce climat d’intimidation, le geste de Vincent Pavan et Emmanuel Gärd prend une dimension symbolique. En refusant d’obéir à une injonction illégitime, ils rappellent que la science n’est pas la propriété des institutions, mais un bien commun.
Ce courage tranquille, fondé sur la rigueur et la transparence, incarne la résistance pacifique face à une technocratie sanitaire qui oublie parfois son devoir premier: servir la vérité.
Le consentement éclairé, pilier de toute éthique médicale, suppose que chacun ait accès à l’ensemble des informations nécessaires pour décider librement de ce qu’il accepte ou refuse pour son corps.
Or, comment exercer cette liberté si les données dérangeantes disparaissent?
L’enjeu dépasse la question des vaccins: il concerne la dignité humaine, la responsabilité et la souveraineté personnelle.
Les Editions marco pietteur défendent depuis toujours cette approche responsable et libre du soin.
Dans Covid-19 : Plus jamais ça!, l’auteurs rappelle que la peur et l’obéissance aveugle n’ont jamais produit de santé durable. L’éducation, la pédagogie et le débat ouvert, eux, favorisent la compréhension et la confiance.
Nous avons besoin d’un nouveau contrat moral entre la science, les institutions et les citoyens.
Un contrat fondé sur la vérité partagée, non sur la communication stratégique.
Car tant que la peur gouvernera les esprits, le mensonge aura encore de beaux jours.
Et si la liberté thérapeutique était le dernier rempart d’une humanité consciente?
Manifeste d’une Europe vivante et responsable
Cette affaire dépasse le cadre scientifique. Elle interroge le projet européen lui-même. Quelle Europe voulons-nous?
Une Europe technocratique qui verrouille la parole, ou une Europe vivante, enracinée dans le courage et la responsabilité de ses citoyens?
L’Union ne peut prétendre défendre la santé publique tout en muselant ceux qui cherchent à la comprendre.
La véritable renaissance européenne passera par un choix de conscience. Elle suppose de remettre la santé, l’éthique et la vérité au centre de la décision publique. Il ne s’agit pas d’opposer la science à la politique, mais de redonner à la science sa fonction première : éclairer sans servir. C’est à cette condition qu’elle peut redevenir un bien commun, et non un instrument de pouvoir.
Ceux qui osent parler, comme Pavan et Gärd, rappellent que la démocratie ne se décrète pas, elle se pratique. Défendre la liberté académique, c’est défendre le droit de chaque citoyen à penser, douter et choisir. Cette exigence de lucidité, loin d’affaiblir la société, la rend plus forte, plus juste, plus humaine.
Les Editions marco pietteur ont consacré plusieurs ouvrages à cette quête d’autonomie intellectuelle et de responsabilité collective. Dans Autopsie d’un Désastre, la gestion du Covid y est analysée comme le miroir de nos dérives collectives: peur, obéissance, perte de sens.
Et si la renaissance européenne commençait par un engagement personnel: celui d’apprendre à redevenir pleinement vivant, conscient et responsable de sa propre santé?
Retrouver la vérité: un devoir citoyen
L’affaire Pavan–Gärd n’est pas un épisode isolé, mais un révélateur. Elle nous montre à quel point la vérité dépend du courage de quelques-uns et du discernement de chacun. Nous sommes entrés dans une ère où s’informer devient un acte de résistance. Plus que jamais, la liberté scientifique, la transparence des données et la responsabilité individuelle forment le socle d’une santé véritablement humaine.
Il ne s’agit pas d’entretenir la peur, mais d’apprendre à regarder sans détour. À distinguer les faits des narrations, les preuves des croyances. Chaque citoyen, chaque chercheur, chaque lecteur peut participer à cette œuvre de clarté. Il suffit de refuser l’oubli, de lire, de questionner, de partager.
Et si le premier pas vers une Europe de la conscience consistait à oser poser les bonnes questions, sans crainte de déranger?
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La discussion, la contradiction et la curiosité sont les plus sûrs remèdes contre la désinformation que nous vivons. À nous de faire bouger les choses!
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À lire pour aller plus loin
Le livre Autopsie d’un Désastre, publié aux Editions marco pietteur, dévoile avec précision les mécanismes institutionnels et politiques qui ont conduit à la gestion opaque de la pandémie.
Un ouvrage essentiel pour comprendre comment la peur a remplacé le discernement, et comment reprendre le pouvoir de penser.
















