Au Japon, des experts de premier plan tirent la sonnette d’alarme: les vaccins à ARNm représentent une expérience médicale incontrôlée, aux risques désormais impossibles à ignorer. Alors que Tokyo voit émerger une véritable contestation scientifique menée par le Pr Masanori Fukushima, l’Occident continue de fermer les yeux et de répéter les discours rassurants de l’industrie pharmaceutique.
Face à ce silence coupable, il est urgent d’agir.
La France et l’Europe doivent entendre ces avertissements avant qu’il ne soit trop tard.
C’est pourquoi nous appelons chacun à se mobiliser et à dire NON à l’ARNm.
👉 Signez dès maintenant la pétition pour l’arrêt immédiat des vaccins à ARNm.
Le Japon, symbole de rigueur, s’inquiète de l’ARNm
Souvent présenté comme un modèle en matière de discipline sanitaire et de rigueur scientifique, le Japon traverse aujourd’hui une crise de confiance sans précédent.
Le 18 septembre 2025, l’Association japonaise de recherche sur les problèmes liés au vaccin ARNm (JVIRA) a organisé une conférence de presse à Tokyo, marquant un tournant décisif dans le débat public.

À la tribune, le Pr Masanori Fukushima, oncologue et expert reconnu en pharmacoépidémiologie, a dénoncé l’utilisation massive de ce qu’il qualifie de « thérapies géniques non maîtrisées ».
Selon lui, l’ARNm présente une stabilité anormale et un potentiel d’intégration à l’ADN humain, ouvrant la voie à des risques cancérigènes encore largement ignorés.
« Nous naviguons à vue », a-t-il martelé, rappelant l’absence d’études robustes sur les effets à long terme et condamnant ce qu’il appelle « l’embrigadement vaccinal ». Pour Fukushima et la JVIRA, une seule conclusion s’impose: le retrait immédiat de ces produits du marché.
Vous retrouverez la vidéo intégrale de la déclaration officielle des chercheurs japonais au bas de la page de la pétition ici.
Une conférence choc qui fissure le consensus
La conférence du 18 septembre a réuni non seulement des scientifiques indépendants, mais aussi six représentants du ministère de la Santé japonais (MHLW). Une présence inhabituelle qui révèle un malaise grandissant au sein même des institutions. Alors que la surmortalité persiste et que les signalements d’effets indésirables liés aux vaccins ARNm se multiplient, le silence officiel devient difficile à tenir.
Pour la JVIRA (Japanese Association for Vaccine-related Issues with RNA, Association japonaise de recherche sur les problèmes liés au vaccin ARNm), il ne s’agit plus de simples hypothèses mais d’un constat alarmant: les vaccins ARNm sont des produits expérimentaux introduits dans la population à une vitesse inédite, sans garanties suffisantes de sécurité. L’organisation les qualifie de « thérapies géniques non maîtrisées » et en appelle à leur interdiction immédiate.
Comme l’a rapporté Le Média en 4-4-2, cette conférence pourrait bien marquer un tournant, non seulement pour le Japon, mais aussi pour le débat mondial sur l’ARNm.
Des autorisations précipitées et opaques
La colère des experts japonais ne vient pas de nulle part. Depuis plusieurs mois, des publications scientifiques soulignent les graves manquements dans les procédures d’autorisation des vaccins à ARNm.
Normalement classés dans la catégorie des thérapies géniques, ces produits auraient dû être soumis à des tests stricts de biodistribution et de génotoxicité.
Or, selon les chercheurs, ces étapes ont été bypassées, ouvrant la porte à des risques potentiels non évalués.

Un exemple illustre cette opacité: l’ARCT-154 (Kostaive), approuvé en catimini en septembre 2024. Conçu pour cibler le variant JN.1 d’Omicron, il repose sur une technologie encore plus controversée, dite auto-amplifiante (saRNA). Cette approche, très peu documentée, permet à l’ARN messager de se répliquer dans l’organisme, rendant le contrôle de la dose et des effets encore plus incertain.
C’est pourquoi la JVIRA réclame le retrait immédiat de ces produits.
Comment accepter la généralisation de tels vaccins alors que leur sécurité n’a pas été pleinement démontrée?
Réactions et pressions sociales: un pays sous tension
Face aux critiques grandissantes, les défenseurs des vaccins à ARNm continuent de marteler le même discours: efficacité, sécurité et absence de risques liés à la transmission. Le ministère japonais de la Santé (MHLW) a même affirmé, sans nuance, qu’« aucun composant vaccinal ne se transmet », balayant d’un revers de main les inquiétudes.
Pourtant, la réalité est plus complexe. Certaines cliniques locales, redoutant des complications ou des représailles juridiques, choisissent désormais de ne plus administrer ces vaccins.
Cette fracture illustre la méfiance croissante, non seulement chez les experts, mais aussi parmi les soignants de terrain.
La société japonaise, connue pour son fort sens du collectif et de la discipline sociale, se retrouve tiraillée: d’un côté, la pression institutionnelle à suivre les directives officielles; de l’autre, la crainte légitime de se retrouver victimes d’une expérimentation sanitaire à grande échelle.
Leçons pour l’Europe: le Japon sonne l’alarme

Le cas japonais est un signal fort pour le reste du monde. Si un pays aussi rigoureux et attaché à la transparence scientifique que le Japon en vient à demander l’arrêt immédiat des vaccins à ARNm, peut-on encore se contenter de croire aux assurances répétées par les laboratoires et les gouvernements occidentaux?
L’Europe, elle, reste engluée dans le déni et la propagande. Mais l’expérience japonaise montre qu’un contre-pouvoir scientifique peut s’organiser et exiger des comptes.
C’est exactement ce que nous proposons avec notre pétition pour dire NON à l’ARNm.
Face aux silences officiels et aux conflits d’intérêts, il appartient aux citoyens de se mobiliser pour protéger la santé publique.
Agir pendant qu’il est encore temps
L’alerte lancée par le professeur Fukushima et la JIVRA est un signal d’une rare intensité: les vaccins à ARNm ne sont pas une solution maîtrisée, mais une bombe sanitaire potentielle. L’inaction serait une faute historique.
Il est urgent de se lever pour exiger l’arrêt de ces produits, avant que les dégâts ne deviennent irréversibles. Chaque voix compte.
👉 Signez dès maintenant la pétition « NON à l’ARNm » et partagez-la autour de vous. Ensemble, nous pouvons peser.
Votre avis est précieux: que pensez-vous de cette prise de position des experts japonais?
Avez-vous confiance dans les autorités sanitaires actuelles?
Laissez un commentaire et faites vivre le débat.
2 commentaires
Depuis le début je dis et répète que ce n’est pas un vaccin, quelques amis commencent à comprendre. On nous a pris pour des animaux tout ça pour le profit, jusqu’où vont ils aller.
Actuellement, inquiétude pour cet ARN, mais je crains pour l’IA qui risque de tout régenter dans un avenir proche. De cela les jeunes n’ont pas l’air de s’inquiéter et pourtant nous risquons de perdre toute liberté. Cela semble commencer pour l’argent.
Enfin, je suis trop âgée ,88ans je comprends peut-être de travers
Merci, Eliane, pour votre parole claire et courageuse. À 88 ans, vous nous rappelez qu’on n’est jamais “trop âgé” pour voir, questionner et transmettre. Oui, la tentation du contrôle s’accroît — par la techno-finance, l’IA, les récits officiels — mais rien n’est inéluctable : tant que nous restons éveillés, responsables et solidaires, leurs systèmes s’érodent. Il est vrai que beaucoup de jeunes sont happés par les distractions, mais une part d’entre eux se réveille et cherche des repères : à nous de tisser ces ponts. Restons debout, cultivons l’esprit critique, partageons ce qui éclaire. Lire, c’est résister ; transmettre, c’est déjà agir. Merci d’être là et de nous aider à tenir le cap.