Aux États-Unis, l’actualité politique et sanitaire a pris un tournant spectaculaire. Lors d’une audition au Sénat, Robert F. Kennedy Jr. – nouveau secrétaire à la Santé nommé par Donald Trump – a livré un discours d’une rare intensité.
Face à un Sénat décrit comme unanimement hostile, il a dénoncé sans détour la corruption qui gangrène les agences de santé et leurs liens étroits avec l’industrie pharmaceutique.
Cette audition explosive marque un moment de rupture: Kennedy a promis de réformer en profondeur le système, d’imposer une transparence totale et de mettre fin aux pratiques opaques qui, selon lui, ont coûté la confiance du peuple américain.
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Dans cet article, nous revenons en détail sur les moments forts de cette audition, les révélations les plus dérangeantes, et les conséquences politiques de ce bras de fer historique.
Robert F. Kennedy Jr. face au Sénat: un discours sans compromis
Dès son entrée dans la salle, Robert F. Kennedy Jr. savait qu’il ne serait pas accueilli en héros. L’audition s’annonçait tendue, presque hostile.
Mais loin de reculer, il a choisi d’attaquer frontalement les sénateurs présents, rappelant que beaucoup d’entre eux avaient reçu des financements colossaux de l’industrie pharmaceutique.
Il a dénoncé la politisation de la science durant la pandémie, affirmant que des décisions cruciales – comme le port du masque chez les enfants, la fermeture des écoles ou encore la gestion de la pharmacovigilance – avaient été prises sans aucune base scientifique solide.
Selon lui, ces choix n’étaient pas motivés par la santé publique mais par la protection d’intérêts financiers et politiques.
Kennedy a également promis une réforme radicale: désormais, chaque vaccin devra être évalué avec de véritables études contre placebo, une exigence pourtant basique en recherche médicale mais qui, selon lui, a été systématiquement écartée dans les procédures actuelles.
« La science intègre ne craint pas la transparence », a-t-il martelé, rappelant que sans confiance, la médecine perd toute légitimité.
Ce ton tranchant a marqué l’audition: pour la première fois, un haut responsable de la Santé américaine osait dire tout haut ce que beaucoup suspectaient depuis longtemps.
Licenciements, réformes et l’équipe MAH (Make America Healthy Again)
À peine arrivé à son poste, Robert F. Kennedy Jr. a entrepris un ménage d’une ampleur inédite au sein du ministère de la Santé.
Son objectif?
Rompre le cercle vicieux du pantouflage – ces allers-retours permanents entre les agences de santé et l’industrie pharmaceutique – qui entretient, selon lui, un système de corruption généralisé.
En quelques mois, il a réduit les effectifs de 82 000 à 62 000 employés, écartant de nombreux cadres soupçonnés de protéger les intérêts des laboratoires.
Même la directrice du CDC a été évincée, accusée d’avoir tenté de maintenir en secret l’injection anti-COVID dans le calendrier vaccinal des enfants.
Mais Kennedy ne s’est pas contenté de licenciements.
Il a aussi constitué une équipe de haut niveau, composée de personnalités reconnues pour leur indépendance et leur intégrité scientifique:
- Jay Bhattacharya, épidémiologiste et économiste de la santé, désormais à la tête des NIH.
- Robert Malone, co-inventeur de la technologie de l’ARN messager, recruté comme consultant spécial.
- Aseem Malhotra, cardiologue britannique et critique de la médecine sous influence, intégré à l’équipe stratégique.
- Martin Makary, chirurgien et chercheur en santé publique, nommé à la FDA.
Avec eux, Kennedy a lancé le plan Make America Healthy Again (MAH).
L’ambition?
S’attaquer aux quatre causes majeures de l’explosion des maladies chroniques aux États-Unis:
- La malbouffe et les aliments ultra-transformés.
- L’exposition massive aux polluants chimiques.
- Le manque d’activité physique et le stress permanent.
- La surmédicalisation, encouragée par des incitations financières aux médecins.
Dans cette logique, il a annulé le financement de 22 vaccins à ARNm, jugeant la technologie « pas mûre » et trop risquée pour être imposée à la population.
Son objectif est clair: réviser de fond en comble le calendrier vaccinal et restaurer la confiance par une transparence totale.
Vaccins et autisme: des données censurées par le CDC
L’un des moments les plus marquants de l’audition a concerné la question sensible du lien entre vaccination et autisme. Le sénateur Ron Johnson a rappelé qu’en 2002, le CDC avait découvert que les enfants recevant le vaccin ROR/MMR présentaient 2,6 fois plus de risques de développer un syndrome autistique.
Mais au lieu de publier ces résultats, le CDC aurait demandé à ses scientifiques de détruire les données et d’étouffer les conclusions. Un scandale qui, selon Robert F. Kennedy Jr., illustre à quel point la science officielle a été détournée pour protéger les intérêts industriels plutôt que la santé des enfants.
Cette accusation a trouvé un écho dans une autre étude, menée par le Henry Ford Medical Center, comparant 18 000 enfants.
Résultat: 57% des enfants vaccinés souffraient d’une maladie chronique contre seulement 17% chez les non vaccinés.
Ces chiffres, eux aussi, sont restés dans l’ombre, car jugés trop explosifs pour être publiés dans les circuits académiques.
C’est précisément pour répondre à ce silence que Robert F. Kennedy Jr. a écrit son livre incontournable:
Vacciné, Non-Vacciné – Un livre essentiel pour comprendre les véritables enjeux de la vaccination
Dans cet ouvrage, Kennedy explore en profondeur les différences entre enfants vaccinés et non vaccinés, en s’appuyant sur des données scientifiques, des témoignages et des analyses indépendantes. Une lecture indispensable pour quiconque souhaite comprendre ce que les institutions préfèrent taire.
Révélations explosives: Pfizer, ADN contaminé et stérilisation
L’audition ne s’est pas limitée aux questions d’autisme et de maladies chroniques. Robert F. Kennedy Jr. a également dévoilé des éléments qui, s’ils sont confirmés, pourraient ébranler définitivement la confiance du public dans l’industrie pharmaceutique.
D’abord, la biodistribution de l’ARN messager. Contrairement aux affirmations initiales de Pfizer, des documents internes montrent que l’ARNm ne reste pas au point d’injection, mais circule dans tout le corps, franchit la barrière hémato-encéphalique et se concentre dans les glandes reproductrices.
Une révélation qui pose des questions majeures sur la fertilité et les effets à long terme.
Ensuite, la contamination par ADN. Kennedy a révélé que les injections à ARNm contenaient des fragments d’ADN risqués, susceptibles d’interagir avec le génome humain, et que cette information avait été sciemment dissimulée au public.
Enfin, une accusation encore plus grave a été portée: selon certains témoignages, l’OMS aurait mené des campagnes d’injections dont l’effet principal était la stérilisation de populations entières dans plusieurs régions du monde.
Ces révélations s’inscrivent dans un contexte plus large de manipulation et de dissimulation autour du Covid-19 et des vaccins, un thème que Robert F. Kennedy Jr. développe dans son livre:
Labo P4 Wuhan: Que nous a-t-on caché?
Et aussi dans le livre de Robert Malone:
COVID-19: Les mensonges du gouvernement U.S.
Ces ouvrages dévoilent les coulisses d’un système où la transparence a été sacrifiée au profit des intérêts géopolitiques et économiques.
Le revirement de Trump et la guerre aux médias financés par Big Pharma
L’un des tournants majeurs de cette affaire est le revirement de Donald Trump. Lui qui se vantait autrefois de l’Opération Warp Speed a désormais reconnu avoir été trompé, non seulement par Anthony Fauci mais aussi par Pfizer.
« Ils ont fait croire que c’était un vrai vaccin alors que ce n’est pas le cas », a-t-il déclaré, accusant l’industrie pharmaceutique de manipulation et de mensonge.
La Maison Blanche a confirmé son soutien à Robert F. Kennedy Jr. Le vice-président a salué son travail en affirmant que son action « montre pourquoi Trump l’a nommé pour réparer un système brisé ».
Et une mesure historique a été annoncée: l’interdiction des publicités pharmaceutiques à la télévision et dans la presse.
Une décision aux conséquences énormes, car jusqu’ici, près de 80% des revenus des journaux télévisés provenaient de Pfizer et Moderna.
En coupant ce financement massif, Kennedy et Trump frappent directement au cœur du système: des médias devenus dépendants de l’argent de Big Pharma et incapables de remettre en question leurs sponsors.
Pour comprendre comment ce pouvoir financier a pu façonner la santé publique et influencer les décisions politiques à l’échelle mondiale, le livre de Kennedy est une lecture incontournable:
Un ouvrage qui dévoile les stratégies, les conflits d’intérêts et les collusions ayant façonné la gestion de la pandémie et au-delà.
Une opinion publique qui bascule
Face aux réformes engagées par Robert F. Kennedy Jr., la riposte ne s’est pas fait attendre. Plus de 1 000 employés du ministère ont signé une lettre appelant à sa démission, l’accusant de « mettre en danger la santé publique ». Dans le même temps, des ONG financées par de grandes fondations ont mené des campagnes de discrédit, tandis que les médias mainstream – du New York Times au Figaro – ont multiplié les attaques, qualifiant ses positions de « pseudoscience » et de « complotisme ».
Pourtant, malgré cette offensive coordonnée, l’opinion publique semble se ranger du côté de Kennedy. Avec 52% d’approbation, il est aujourd’hui le membre le plus populaire du cabinet Trump. Beaucoup d’Américains voient en lui l’homme qui ose briser les tabous, mettre au jour les conflits d’intérêts et exiger la transparence que les institutions refusent depuis trop longtemps.
Cette fracture entre discours officiel et perception citoyenne rappelle ce qui s’est passé en Europe durant la pandémie. C’est justement ce que dénonce Jean-Dominique Michel dans ses ouvrages:
Deux analyses puissantes qui montrent comment, des deux côtés de l’Atlantique, la pandémie a été l’occasion d’imposer une gouvernance par la peur, au détriment de la santé publique et de la démocratie.
Une bataille qui dépasse les États-Unis
L’audition de Robert F. Kennedy Jr. au Sénat n’a pas seulement révélé des tensions politiques américaines.
Elle a mis en lumière une fracture mondiale: d’un côté, un mouvement grandissant pour la liberté médicale et la transparence; de l’autre, un système institutionnel encore verrouillé par les intérêts financiers et industriels.
Aux États-Unis, le vent semble tourner. L’administration Trump soutient Kennedy, l’opinion publique bascule, et des mesures historiques comme l’interdiction de la publicité pharmaceutique à la télévision sont mises en place.
En Europe, en revanche, la soumission à Big Pharma reste forte.
Mais comme le souligne Naomi Wolf: « Sans confiance, la science s’effondre ».
Face à cette crise de confiance, il appartient aux citoyens de s’informer, de questionner et de reprendre la main.
Et pour cela, les livres de Robert F. Kennedy Jr. et de Jean-Dominique Michel sont des ressources essentielles.
Ils dévoilent ce que les institutions préfèrent taire et offrent des clés pour comprendre les véritables enjeux derrière la santé publique.
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Et vous, qu’en pensez-vous?
L’Europe peut-elle suivre le chemin des États-Unis et exiger une transparence totale?
Ou restera-t-elle prisonnière d’un système verrouillé?
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