Depuis des décennies, le débat autour de la sécurité vaccinale divise. Mais une question simple reste sans réponse officielle: que disent réellement les comparaisons entre enfants vaccinés vs non vaccinés?
Un extrait vidéo diffusé par Vivre Sainement remet cette problématique au centre du débat.
On y découvre qu’aucune étude officielle n’a jamais été menée pour comparer directement la santé des enfants vaccinés avec celle des enfants non vaccinés.
Pourtant, une étude non publiée, menée sur plus de 16 ans, a livré des résultats troublants: maladies chroniques multipliées, troubles neurodéveloppementaux en hausse, asthme et auto-immunité beaucoup plus fréquents chez les vaccinés.
🎥 Regardez l’extrait complet ici:
Ces révélations posent une question urgente: peut-on continuer à affirmer la sécurité du calendrier vaccinal sans avoir jamais confronté ces deux populations?
Pourquoi aucune étude officielle n’a jamais comparé enfants vaccinés vs non vaccinés?
Lorsqu’on aborde le débat sur la sécurité vaccinale, une question revient sans cesse: pourquoi n’existe-t-il aucune étude officielle comparant directement la santé des enfants vaccinés vs non vaccinés?
En 2013, l’Institute of Medicine (IOM), mandaté par le Département de la Santé américain (HHS), avait déjà pointé du doigt cette absence criante.
Leur conclusion était sans appel: « Les études visant à examiner les effets à long terme du nombre cumulé de vaccins ou d’autres aspects du calendrier vaccinal n’ont pas été menées. » Autrement dit, personne n’avait jamais pris la peine de mesurer les conséquences globales d’un calendrier vaccinal complet sur la santé des enfants.
Pourtant, des bases de données massives comme le Vaccine Safety Datalink, regroupant des millions de dossiers médicaux, auraient pu servir de terrain d’étude idéal. Mais cette comparaison n’a jamais été réalisée par les autorités sanitaires.
Pourquoi un tel refus?
Officiellement, par crainte d’interprétations biaisées.
Officieusement, cela interroge: et si les résultats ne correspondaient pas aux discours officiels sur la sécurité vaccinale?
Cette absence d’études officielles laisse un vide scientifique majeur.
Et c’est dans ce vide qu’apparaît une recherche non publiée… dont les résultats changent radicalement la donne.
Une étude non publiée qui change tout

En parallèle du silence officiel, une étude menée au Centre Médical Henry Ford a comparé la santé d’enfants vaccinés et non vaccinés nés entre 2000 et 2016.
Initialement, cette recherche avait pour but de rassurer les parents sur la sécurité des vaccins.
Mais ses résultats ont créé l’effet inverse.
Les chiffres sont saisissants:
- Taux d’asthme 4,29 fois plus élevé chez les vaccinés.
- Taux d’atopie 3,03 fois plus élevé.
- Maladies auto-immunes 5,96 fois plus fréquentes.
- Troubles neurodéveloppementaux 5,53 fois plus élevés, incluant des retards de développement (3,28 fois plus) et des troubles de la parole (4,47 fois plus).
Plus troublant encore, certaines pathologies n’ont été retrouvées que chez les vaccinés:
- 264 cas de TDAH, contre 0 chez les non vaccinés.
- Des troubles d’apprentissage et des déficiences intellectuelles uniquement dans le groupe vacciné.
Globalement, après dix ans, 57% des enfants vaccinés souffraient d’un problème de santé chronique, contre seulement 17% chez les non vaccinés.
Pourquoi une telle étude n’a-t-elle jamais été publiée?
Selon les chercheurs eux-mêmes, les résultats ne correspondaient pas aux attentes des institutions.
Le Dr Servi aurait craint de perdre son emploi, tandis que le Dr Lamoreta redoutait de “mettre les médecins mal à l’aise”.
Un cas emblématique de science étouffée… parce que ses conclusions dérangent.
Un document d’Henry Ford Health, intitulé Impact of Childhood Vaccination on Short and Long-Term Chronic Health Outcomes in Children: A Birth Cohort Study, montre des résultats semblables: sur 18 468 enfants, dont 1 957 non vaccinés, les enfants vaccinés présentaient des risques multipliés (asthme, auto-immunité, troubles neurodéveloppementaux) par rapport aux non vaccinés. (Source PDF hsgac.senate.gov)
La surestimation des vies sauvées par les vaccins

Les autorités sanitaires comme les CDC et l’OMS affirment régulièrement que les vaccins ont sauvé des millions de vies. Entre 1994 et 2023, les CDC estiment à 1,1 million le nombre de vies sauvées aux États-Unis, principalement grâce aux vaccins contre la diphtérie, l’hépatite B et la rougeole.
Mais derrière ces chiffres impressionnants, une autre lecture émerge: celle d’une propagande fondée sur des extrapolations douteuses.
Prenons l’exemple de la diphtérie. Les CDC annoncent 25 000 vies sauvées par an. Pourtant, en 1948, année du premier vaccin homologué, la mortalité réelle n’était que de 634 décès annuels.
Surtout, le taux de mortalité avait déjà chuté de 97,8% avant l’utilisation systématique du vaccin, grâce à l’amélioration de l’hygiène et de l’alimentation.
Même constat pour l’hépatite B. Officiellement, 3 000 vies sauvées chaque année. Mais en 1981, au moment de la sortie du vaccin, on comptait environ 294 décès par an seulement.
Pire encore, le nombre de morts aurait ensuite augmenté, atteignant environ 1 700 par an aujourd’hui.
Quant à la rougeole, les CDC parlent de 2 700 vies sauvées annuellement. Or, en 1963, avant la vaccination généralisée, il y avait environ 400 décès par an. Là encore, la mortalité avait déjà diminué de 98% avant le vaccin, essentiellement grâce aux progrès sanitaires.
Résultat: alors que les CDC affirment que ces trois vaccins sauvent 30 700 vies par an, les chiffres réels montrent que la mortalité combinée juste avant leur introduction n’était que de 1 328 morts. Une surestimation par un facteur de 23.
Ces écarts interrogent: s’agit-il d’erreurs statistiques ou d’une stratégie de communication visant à renforcer coûte que coûte la confiance dans les vaccins?
Thimérosal: un poison toujours injecté?
Au-delà de l’efficacité contestée des vaccins, une autre inquiétude persiste: la présence du thimérosal, un conservateur à base de mercure, toujours utilisé dans certains vaccins.
Ce composé, pourtant étiqueté comme “très toxique”, est associé depuis des années à des troubles neurodéveloppementaux, notamment l’autisme.
Un flacon de thimérosal porte des avertissements clairs: risque de dommages cumulés aux reins, au système respiratoire, à la peau et au système nerveux, sans oublier une toxicité potentielle pour la reproduction et le développement.
Malgré cela, il reste présent dans des vaccins administrés chaque année à des millions de personnes, y compris aux femmes enceintes et aux nourrissons.
Le vaccin contre la grippe Fluoneol, par exemple, contient 25 microgrammes de mercure par dose.
Pourtant, il continue d’être recommandé de façon annuelle, y compris pour les enfants.
Beaucoup de médecins ignorent même la présence de ce composé ou minimisent ses effets potentiels, estimant que la dose est trop faible pour être dangereuse.
Mais quand il s’agit d’un métal lourd dont l’accumulation dans l’organisme peut avoir des conséquences irréversibles, la question mérite d’être posée: pourquoi accepter encore aujourd’hui d’injecter du mercure dans les veines des plus vulnérables?
Pour aller plus loin: un livre incontournable
Face à ces révélations, une évidence s’impose: il est urgent de regarder au-delà des discours officiels et de se confronter aux données et aux études que l’on préfère taire. C’est précisément ce que propose Robert F. Kennedy Jr. dans son ouvrage essentiel:
Le livre Vacciné, Non-Vacciné – Un livre essentiel pour comprendre les véritables enjeux de la vaccination
Dans ce livre, Kennedy explore en profondeur les différences entre enfants vaccinés et non vaccinés, en s’appuyant sur des données concrètes et des témoignages. Il y met en lumière les contradictions, les omissions et les conflits d’intérêts qui empêchent un vrai débat public sur la sécurité vaccinale.
Ce n’est pas une lecture rassurante… mais c’est une lecture indispensable.
Parce qu’elle donne au lecteur les clés pour comprendre ce que les chiffres officiels cachent, et pourquoi tant d’études restent enterrées.
👉 Si vous voulez dépasser les slogans et poser les vraies questions, ce livre est un point de départ incontournable.
Une question de transparence
L’affaire des enfants vaccinés vs non vaccinés soulève une question fondamentale: pourquoi refuse-t-on toujours de mener ou de publier des études comparatives transparentes? Les résultats disponibles, même non publiés, montrent des écarts si saisissants qu’ils devraient immédiatement déclencher de nouvelles recherches indépendantes.
Entre la surestimation des vies sauvées, la présence persistante de thimérosal et l’absence d’études sérieuses, une chose est certaine: la science ne peut avancer sans transparence et sans courage.
Aujourd’hui, chacun est en droit d’exiger des réponses claires. Et chacun peut contribuer à ce débat en partageant ces informations, en posant des questions et en refusant d’accepter des vérités toutes faites.
👉 Qu’en pensez-vous?
Avez-vous observé ou vécu des effets secondaires liés aux vaccins?
Partagez votre avis dans les commentaires et diffusez cet article autour de vous: la transparence commence par l’échange.
Un commentaire
Merci pour l information essentielle et vos publications courageuses. Quand tout le monde comprendra que Pasteur est un imposteur de longue date, l humanité sera en meilleure santé et les Big Pharma ruinés 😾 Chantal