La rentrée 2025 s’ouvre sur une scène marquante: Naomi Wolf au Parlement européen, venue présenter au grand jour ce qu’elle appelle un « mensonge mondial ». Au cœur de son intervention: les Pfizer Papers, documents internes du laboratoire pharmaceutique qui, selon elle, révèlent des dissimulations majeures concernant la sécurité et l’efficacité des vaccins Covid-19.
Face aux eurodéputés, l’auteure et journaliste américaine n’a pas mâché ses mots: derrière l’apparence d’une campagne sanitaire universelle se cacherait, dit-elle, une stratégie industrielle visant à masquer des effets secondaires graves, au mépris de la santé publique.
Pour Naomi Wolf, cette affaire ne concerne pas seulement Pfizer, mais l’avenir même de la démocratie et de la confiance des citoyens dans leurs institutions.
Qui est Naomi Wolf ?
Naomi Wolf est loin d’être une inconnue. Essayiste, journaliste et figure intellectuelle reconnue, elle s’est fait connaître dans les années 1990 comme l’une des grandes voix du féminisme américain, notamment avec son ouvrage The Beauty Myth. Engagée depuis toujours dans les débats publics, elle a progressivement orienté son travail vers l’analyse des libertés fondamentales et des dérives institutionnelles.
Avec la crise du Covid-19, Naomi Wolf est devenue une lanceuse d’alerte controversée. Sa plume incisive et son franc-parler l’ont placée en première ligne de la critique face aux géants pharmaceutiques et aux gouvernements.
C’est dans ce contexte qu’elle a contribué à populariser les Pfizer Papers, en coordonnant une équipe d’experts et de journalistes pour analyser les milliers de pages de documents internes rendus publics par décision de justice aux États-Unis.
Son intervention au Parlement européen n’est donc pas un hasard, mais l’aboutissement d’années d’enquêtes et de prises de position courageuses. Pour ses soutiens, Naomi Wolf incarne une voix nécessaire face à l’omerta des institutions. Pour ses détracteurs, elle reste une figure polémique. Mais une chose est sûre : son discours à Bruxelles a marqué un tournant dans la médiatisation des Pfizer Papers.
Les Pfizer Papers, une bombe sanitaire et politique
Mais que recouvrent exactement ces fameux Pfizer Papers dont Naomi Wolf a fait le cœur de son intervention au Parlement européen ? Il s’agit de milliers de pages de documents internes de Pfizer, que la justice américaine a contraint le laboratoire à publier. Ces rapports techniques, notes internes et échanges confidentiels révèlent les coulisses de la mise sur le marché du vaccin contre le Covid-19.
Selon Naomi Wolf, l’analyse minutieuse de ces données montre un écart frappant entre la communication officielle et la réalité scientifique. Elle accuse Pfizer d’avoir minimisé les risques d’effets secondaires, certains très graves, touchant notamment le système cardiovasculaire, la fertilité et l’immunité. Elle affirme également que des signaux d’alerte avaient été identifiés dès les premiers mois de la campagne vaccinale, mais qu’ils ont été volontairement tus pour maintenir la confiance du public et protéger les profits colossaux du laboratoire.
Pour Wolf et son équipe, ces documents ne sont pas seulement une révélation scientifique : ils constituent une bombe politique. Car si ces informations sont confirmées, cela signifie que des gouvernements, des agences de santé et des responsables institutionnels ont pu fermer les yeux, voire collaborer, à une gigantesque entreprise de désinformation sanitaire.
Le scandale des Pfizer Papers n’est donc pas un simple débat technique entre experts. Il pose une question cruciale : peut-on encore faire confiance aux multinationales pharmaceutiques et aux institutions censées les contrôler ? Pour Naomi Wolf, la réponse est claire : sans transparence totale et sans justice, la démocratie elle-même est menacée.
Naomi Wolf au Parlement européen : une prise de parole choc
C’est devant une assemblée attentive que Naomi Wolf au Parlement européen a pris la parole, livrant un discours sans concession. Elle y a résumé plusieurs années d’enquête sur les Pfizer Papers et dénoncé ce qu’elle considère comme un « mensonge mondial » orchestré par l’industrie pharmaceutique, avec la complicité de certaines institutions politiques.
🎥 Regardez son intervention complète ici :
Dans cette allocution, Naomi Wolf rappelle que Pfizer aurait sciemment dissimulé des données cruciales concernant la sécurité de son vaccin. Elle insiste sur le fait que les effets indésirables graves n’étaient pas des découvertes récentes, mais bien des informations connues en interne dès le lancement de la campagne.
Parmi ses phrases marquantes, on peut retenir :
« Les Pfizer Papers démontrent que les risques étaient connus. Et pourtant, ces informations n’ont jamais été communiquées honnêtement aux citoyens. »
Elle poursuit en interpellant directement les eurodéputés :
« Ce n’est pas seulement une question de santé publique. C’est une question de démocratie. Quand les institutions mentent, quand la vérité est étouffée, nous basculons vers un régime qui ne dit plus son nom. »
Son intervention a suscité des réactions contrastées : soutien fervent de certains, scepticisme d’autres. Mais une chose est sûre : le discours de Naomi Wolf au Parlement européen a braqué les projecteurs sur les Pfizer Papers et ouvert un débat que beaucoup auraient préféré éviter.
Quand la démocratie vacille face aux géants pharmaceutiques
Au-delà des révélations médicales, l’intervention de Naomi Wolf au Parlement européen soulève une inquiétude plus large : celle de la fragilité de nos institutions face au pouvoir colossal des multinationales pharmaceutiques.
Les Pfizer Papers ne mettent pas seulement en cause un laboratoire ; ils questionnent aussi la responsabilité des gouvernements et des agences de régulation. Comment expliquer que des milliers de pages de données critiques aient pu rester dans l’ombre ? Comment justifier que des décisions engageant des millions de vies aient été prises sans transparence, parfois même à huis clos ?
Pour Naomi Wolf, il ne s’agit plus seulement de santé publique, mais de démocratie. Elle affirme que lorsque des géants industriels peuvent influencer les politiques sanitaires, dicter des narratifs officiels et masquer des informations essentielles, nous ne sommes plus dans un système démocratique, mais dans un modèle dominé par les intérêts privés.
Ce constat rejoint une inquiétude croissante exprimée par de nombreux observateurs : la crise du Covid aurait accéléré un glissement vers une gouvernance technocratique, où l’avis d’experts liés à des financements privés prime sur le débat citoyen. Or, une société où l’on ne peut plus débattre librement des choix médicaux, ni demander des comptes aux décideurs, est une société qui s’éloigne dangereusement de l’idéal démocratique.
Pour aller plus loin: le livre Pfizer Papers
L’intervention de Naomi Wolf au Parlement européen résonne comme un écho direct au contenu du livre Pfizer Papers, publié aux éditions Marco Pietteur. Cet ouvrage analyse en profondeur les documents rendus publics et met en lumière les zones d’ombre de la stratégie de Pfizer pendant la crise sanitaire.
Lire ce livre, c’est comprendre pourquoi Naomi Wolf parle de « mensonge mondial » et pourquoi la transparence est aujourd’hui une urgence démocratique. Plus qu’une enquête, Pfizer Papers est une alerte destinée à tous ceux qui refusent de voir la santé publique confisquée par des intérêts financiers.
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Un signal d’alarme pour notre avenir
Avec force et conviction, Naomi Wolf a rappelé devant les eurodéputés que la vérité ne peut pas être étouffée indéfiniment. Les Pfizer Papers posent des questions dérangeantes, mais nécessaires : sur la responsabilité, la transparence et la place des citoyens dans les décisions de santé publique.
Le scandale n’est pas seulement médical : il est aussi politique et démocratique. Et c’est bien pour cela que son intervention marque un tournant.
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