Imaginez ouvrir un flacon de vaccin ARNm — et y découvrir des milliards de fragments d’ADN là où il ne devrait y en avoir qu’un soupçon.
Pas une rumeur. Pas une hypothèse.
Une découverte documentée dans une étude scientifique, publiée le 6 septembre 2025 par trois chercheurs de renom, dont le généticien Kevin McKernan.
Leur conclusion ?
Les injections Pfizer et Moderna contre le Covid-19 seraient contaminées par de l’ADN plasmidique résiduel à des niveaux… jusqu’à 627 fois supérieurs aux normes de sécurité établies par la FDA et l’OMS.
Source originale: The Focal Points – “BREAKING: Updated Pfizer and Moderna mRNA Vaccines Found Contaminated With Plasmid DNA”
Mais ce n’est pas tout.
Certains de ces fragments — encapsulés dans les fameuses nanoparticules lipidiques — contiennent des séquences de promoteur SV40, un élément génétique reconnu pour ses liens avec des mécanismes cancérigènes.
Qu’est-ce que cela signifie pour la santé publique ?
Pourquoi ces résidus sont-ils toujours présents, même dans les formulations les plus récentes ?
Et surtout, pourquoi les autorités n’ont-elles pas encore réagi, malgré la multiplication de rapports concordants ?
Dans cet article, nous allons explorer :
- Ce que dit réellement l’étude (et ce qu’elle ne dit pas)
- Les risques biologiques potentiels liés à cette contamination
- Les données sur les effets indésirables graves (VAERS)
- Et pourquoi cette affaire pourrait bien devenir le prochain grand scandale sanitaire
Une contamination massive et persistante

Un scénario que la réglementation n’avait jamais anticipé.
Une étude évaluée par les pairs
Cette étude évaluée par des pairs et publiée par le Dr David J. Speicher, la Dr Jessica Rose et le chercheur Kevin McKernan a secoué la communauté scientifique.
Leur analyse portait sur 32 flacons issus de 16 lots différents de vaccins ARNm — Pfizer et Moderna — dans leurs versions originales, bivalentes, et XBB.1.5.
L’objectif ?
Quantifier les résidus d’ADN plasmidique présents dans chaque dose.
Résultat : chaque flacon contenait entre plusieurs milliards et plusieurs centaines de milliards de fragments d’ADN.
Et il ne s’agit pas de contaminations accidentelles datant du lancement du vaccin en 2020.
Les formulations les plus récentes sont elles aussi concernées, ce qui signifie que le problème est toujours actif dans la chaîne de production actuelle.
Des flacons récents aussi concernés
Les chercheurs ont formellement identifié la présence d’ADN plasmidique résiduel dans les doses dites “bivalentes” (adaptées aux variants récents) ainsi que dans celles ciblant le variant XBB.1.5.
En d’autres termes, les versions censées être “les plus à jour” des vaccins Covid restent contaminées par le même ADN que celui détecté en 2021.
Cela invalide l’hypothèse d’une erreur de jeunesse ou d’un défaut temporaire dans le processus de purification.
Nous sommes face à un problème systémique.
Des milliards de fragments d’ADN par dose
Chaque dose analysée contenait entre 100 et 160 milliards de fragments d’ADN, certains atteignant jusqu’à 3,5 kilobases de longueur — soit une taille suffisante pour inclure des gènes complets ou des éléments régulateurs puissants.
De quoi inquiéter, d’autant plus que…
Une partie de cet ADN est encapsulée dans les nanoparticules lipidiques, ce qui pourrait lui permettre de pénétrer les cellules et de contourner les défenses naturelles — un scénario que les normes de sécurité n’avaient pas envisagé.
Pour creuser davantage ces implications, notamment sous un angle cinématographique et documenté, nous vous recommandons de visionner le film “Inside mRNA Vaccines : Une seconde opinion”, disponible sur notre blog.
Ce documentaire propose une analyse complète du déploiement des vaccins ARNm, loin des filtres institutionnels habituels.
Pourquoi ces résidus posent un problème biologique sérieux
ADN encapsulé dans des nanoparticules lipidiques
Ce qui inquiète particulièrement les auteurs de l’étude, ce n’est pas seulement la quantité d’ADN retrouvée, mais la forme sous laquelle il se présente.
L’ADN détecté n’est pas libre dans le solvant. Il est encapsulé dans les mêmes nanoparticules lipidiques que celles censées véhiculer l’ARNm vers les cellules. Cela signifie que ces fragments pourraient être délivrés directement à l’intérieur des cellules humaines, contournant les protections naturelles du système immunitaire.
Cela n’avait jamais été pris en compte lors de la définition des seuils de sécurité actuels (10 ng par dose).
En résumé, l’ADN n’est pas juste un déchet passif. Il est potentiellement fonctionnel… et actif biologiquement.
Le cas spécifique du SV40 : un promoteur hautement controversé
Plus inquiétant encore : les flacons de Pfizer contiennent une séquence spécifique appelée promoteur-enhancer SV40.
Ce nom peut sembler technique. Il s’agit en réalité d’un élément génétique utilisé pour forcer l’expression de gènes — largement connu dans les milieux de recherche comme ayant un fort potentiel oncogène (cancérigène).

“Cet élément est reconnu pour entraîner l’intégration génomique, la mutation de l’ADN et l’activation d’oncogènes”, écrivent les auteurs.
Pourquoi une telle séquence se trouve-t-elle dans un vaccin destiné au grand public ?
Pourquoi n’a-t-elle pas été signalée par les fabricants eux-mêmes ?
Aucune réponse officielle à ce jour.
Les risques théoriques : mutagenèse, cancer, immunité
Trois scénarios sont évoqués par les chercheurs comme risques plausibles :
- Mutagenèse insertionnelle : L’ADN résiduel pourrait s’intégrer dans le génome humain, notamment dans des cellules en division rapide, avec des conséquences imprévisibles.
- Activation d’oncogènes : Le promoteur SV40 pourrait forcer l’activation de gènes liés au développement de tumeurs.
- Réactions auto-immunes : La présence d’ADN étranger dans l’organisme pourrait déclencher des réponses immunitaires inappropriées, voire chroniques.
Même si ces effets ne sont pas prouvés à ce jour, leur plausibilité biologique est suffisante pour exiger une évaluation rigoureuse.
Des seuils largement dépassés : ce que disent les chiffres
La limite FDA/OMS : 10 ng par dose
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Food and Drug Administration (FDA) ont établi une limite claire pour les résidus d’ADN dans les vaccins : 10 nanogrammes par dose.
Ce seuil n’est pas arbitraire. Il est censé représenter une quantité si faible qu’elle n’aurait aucun effet biologique plausible sur le corps humain. Au-delà, les risques — théoriques ou réels — deviennent significatifs, notamment en matière de transfection, d’intégration génomique ou de réponse immunitaire imprévue.
Mais que se passe-t-il si cette limite est non seulement dépassée… mais explosée à grande échelle ?
Pfizer: jusqu’à 1 548 ng — Moderna : jusqu’à 6 280 ng
Selon l’étude publiée par Speicher, Rose et McKernan, les doses analysées contiennent bien plus que les 10 ng autorisés :
- Vaccins Pfizer : entre 371 et 1 548 ng par dose, soit 37 à 153 fois la limite.
- Vaccins Moderna : entre 1 130 et 6 280 ng par dose, soit 113 à 627 fois la limite.
Des chiffres qui, pour tout spécialiste en biologie moléculaire, dépassent l’entendement.
“Tous les produits analysés dépassaient les limites de sécurité réglementaire de 36 à 627 fois”, précisent les auteurs.
Confirmation par plusieurs techniques de mesure
Pour éliminer toute possibilité d’erreur, les chercheurs ont utilisé deux méthodes de quantification :
- Fluorométrie + digestion à la RNase A : une technique qui permet de mesurer l’ADN total (en éliminant l’ARN). Résultat : tous les lots testés dépassaient les normes.
- qPCR (PCR quantitative) : une méthode plus ciblée mais qui sous-estime souvent l’ADN total, car elle ne détecte que des séquences spécifiques. Malgré cela, trois flacons Pfizer ont tout de même montré des taux d’ADN SV40 (promoteur-enhancer) supérieurs à 10 ng.
Cela confirme un point fondamental : les résultats ne dépendent pas d’un seul outil, ni d’un seul laboratoire. Il s’agit bien d’un phénomène systémique, reproductible, et objectivement mesurable.
Corrélation inquiétante : plus d’ADN = plus d’effets graves ?

Les données de VAERS
Le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System), la base de données officielle américaine de pharmacovigilance, a révélé un signal troublant : les lots de vaccins les plus fortement contaminés en ADN sont aussi ceux qui présentent les plus hauts taux d’effets secondaires graves (SAE).
Dans certains cas, entre 50 % et 95 % des rapports associés à ces lots sont classés comme graves — hospitalisations, incapacités permanentes, décès.
Les chercheurs soulignent que cette corrélation ne prouve pas une causalité… mais qu’elle est trop forte pour être ignorée.
Certains lots massivement contaminés, massivement rapportés
Kevin McKernan et ses collègues ont constaté que plusieurs flacons analysés provenaient des mêmes lots que ceux identifiés comme problématiques dans les bases de données publiques. Ces lots apparaissent dans les classements de lot-to-SAE ratio les plus élevés, un indicateur déjà utilisé par des analystes indépendants comme Craig Paardekooper.
Plus de fragments d’ADN, plus d’effets secondaires ? C’est une hypothèse de travail qui mérite une investigation sérieuse — et rapide.
Coïncidence ou causalité ?
Impossible, à ce stade, d’affirmer que l’ADN résiduel est la cause directe des effets secondaires.
Mais le principe de précaution impose d’exiger une transparence totale sur la composition réelle des doses injectées à des millions de personnes.
Pourquoi cette affaire secoue la communauté scientifique
Une dizaine de rapports indépendants concordants
Loin d’être une étude isolée, les travaux de Speicher, Rose et McKernan corroborent au moins dix autres analyses indépendantes menées au Canada, en Allemagne, en Australie et en Suède. Toutes convergent vers un constat similaire : des fragments d’ADN plasmidique persistent dans les vaccins ARNm, à des niveaux élevés.
Et pourtant, aucune alerte de l’OMS. Aucun retrait. Aucune suspension de lot. Silence.
Une réponse réglementaire absente ou tardive
À ce jour, ni la FDA, ni l’EMA, ni l’ANSM en France n’ont répondu officiellement à cette accumulation de preuves.
Le sujet reste quasiment absent du débat public, ignoré des médias grand public et peu abordé par les professionnels de santé.
Seule une poignée de scientifiques, souvent marginalisés, tirent la sonnette d’alarme.
Comment expliquer une telle inertie alors que les implications pourraient être massives?
Ce que demandent les chercheurs
Les auteurs de l’étude ne réclament pas “l’abandon de la vaccination” ni n’alimentent un discours conspirationniste.
Leur message est clair: ces produits ne respectent pas les normes de sécurité établies.
Ils exigent :
- Le retrait immédiat des lots contaminés
- Un moratoire sur l’utilisation des vaccins concernés
- Une enquête indépendante sur les processus de fabrication
Ce que vous devez retenir (et ce que vous pouvez faire)
Est-ce une raison de paniquer ?
Non. C’est une raison de s’informer, de questionner, et d’agir (lisez les livres proposés au bas de l’article).
Ce que révèle cette étude n’est pas un “complot”, mais une défaillance grave des processus de contrôle d’un produit injecté à grande échelle!
La transparence scientifique n’est pas un luxe. C’est une obligation.
Comment exiger la transparence sanitaire
- Partagez cet article.
- Visionnez et diffusez des documentaires comme Inside mRNA Vaccines
- Demandez des comptes à vos représentants de santé
- Interrogez les autorités sanitaires sur les lots utilisés dans votre région
L’importance de preuves indépendantes
Dans une époque où l’expertise est souvent captive d’intérêts privés, l’indépendance scientifique est notre meilleure protection collective.
Et aujourd’hui, elle nous dit : quelque chose cloche profondément dans ces formulations.
FAQ: vos questions, nos réponses
1. Ces résidus d’ADN peuvent-ils vraiment s’intégrer dans notre génome ?
C’est biologiquement plausible, surtout en cas de contact avec des cellules en division rapide.
C’est pourquoi les seuils sont si stricts.
2. Tous les vaccins ARNm sont-ils concernés ?
L’étude a testé des flacons de Pfizer et Moderna, dans toutes leurs versions connues. Tous étaient contaminés.
3. Pourquoi personne n’en parle ?
Les mécanismes de contrôle, de financement et de communication dans le monde médical rendent ce type d’information difficile à faire remonter au public.
4. Que signifie “promoteur SV40” ?
C’est une séquence génétique puissante utilisée pour forcer l’expression de gènes. Elle est associée à un potentiel oncogène élevé.
5. Ces doses sont-elles toujours administrées ?
Oui. L’étude date de septembre 2025 et les flacons testés sont récents.
6. Peut-on identifier les lots à éviter ?
Certaines bases de données comme VAERS permettent de croiser les effets indésirables par lot. Mais cette analyse nécessite des compétences techniques.
7. Existe-t-il une solution ?
Le premier pas est la prise de conscience collective. Ensuite, exiger une action réglementaire est indispensable.
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L’heure n’est plus à l’indignation silencieuse, ni aux soupçons isolés.
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Un vaccin est censé être un produit hautement purifié, rigoureusement contrôlé. S’il contient des fragments d’ADN en quantités massives, potentiellement fonctionnels, alors nous ne sommes plus dans un simple débat scientifique — mais dans une urgence sanitaire.
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