Et si, après le chaos du Covid-19 et les vaccins à ARNm, une nouvelle étape encore plus inquiétante se préparait ?
C’est l’avertissement lancé par le médecin allemand Heiko Schöning, figure connue pour avoir dénoncé dès 2020 les manipulations autour de la pandémie.
Dans une récente intervention, il affirme que la prochaine attaque ne sera pas virale, mais bactérienne.
Selon lui, des services secrets et certaines grandes entreprises pharmaceutiques préparent déjà cette mutation stratégique dans la guerre biologique mondiale.
Après avoir transformé le corps humain en « usine à protéines » avec les vaccins génétiques, il alerte sur l’émergence de bactéries modifiées comme nouveaux outils de contrôle, avec des conséquences potentiellement désastreuses pour la santé publique et les libertés.
Cette déclaration est lourde de sens: faut-il y voir un simple scénario catastrophiste, ou bien un avertissement lucide sur ce qui se prépare dans l’ombre ?
Dans cet article, nous revenons sur les propos de Heiko Schöning, leur contexte et leurs implications.
Qui est Heiko Schöning et pourquoi son avertissement compte
Heiko Schöning n’est pas un inconnu dans le paysage de la critique sanitaire.
Médecin allemand et ancien officier de réserve, il est surtout connu comme l’un des fondateurs du collectif World Doctors Alliance, un réseau international de médecins et scientifiques qui ont dénoncé les incohérences et manipulations de la gestion du Covid-19.
Dès 2020, il a pris la parole publiquement pour mettre en garde contre la dérive autoritaire et les intérêts financiers dissimulés derrière la pandémie.
Son parcours lui a valu d’être largement censuré et discrédité par les médias traditionnels, mais aussi écouté et relayé par une partie croissante de la population en quête d’explications alternatives.
Ses analyses portent autant sur le volet médical que sur les dimensions géopolitiques et économiques.
Pour lui, la crise sanitaire n’a jamais été seulement une affaire de virus, mais bien une stratégie globale visant à remodeler nos sociétés à travers la peur, la dépendance technologique et le contrôle des corps.
C’est dans ce cadre qu’il alerte aujourd’hui sur un changement de paradigme: après la séquence virale, il estime que le prochain chapitre de cette guerre sanitaire sera bactérien. Et que, comme toujours, il ne s’agira pas d’un accident de la nature mais d’un processus organisé et instrumentalisé.
Une nouvelle étape : de la peur virale à la peur bactérienne
Selon Heiko Schöning, la séquence Covid n’était qu’une première étape, un test grandeur nature pour mesurer la réaction des populations, la soumission des gouvernements et la capacité des institutions à imposer des mesures liberticides. L’épisode des confinements, du pass sanitaire et des vaccinations de masse aurait servi de laboratoire politique et social.
Il affirme aujourd’hui que le narratif est en train de changer: après le virus, l’arme de demain pourrait être bactérienne.
Cette hypothèse ne sort pas de nulle part. Plusieurs signaux convergent :
- les annonces récurrentes autour du retour de la tuberculose multirésistante, du choléra ou d’autres infections bactériennes anciennes;
- les financements massifs des géants pharmaceutiques pour développer de nouveaux antibiotiques ou thérapies alternatives;
- les rapports officiels qui décrivent la résistance aux antibiotiques comme une « menace mondiale imminente », comparable ou supérieure au Covid-19.
Là où Schöning frappe fort, c’est lorsqu’il avance que ces menaces ne seraient pas uniquement naturelles.
Il parle d’une mise en scène planifiée, destinée à réactiver la peur collective et à justifier de nouvelles mesures de contrôle: confinement localisé, campagnes de vaccination accélérées, et surtout surveillance accrue via les technologies numériques.
Pour lui, le passage du viral au bactérien est logique: la crise Covid a démontré que les virus pouvaient servir de levier politique, mais l’usure du narratif et l’émergence de contre-discours rendent nécessaire une « nouvelle peur ».
Les bactéries, plus tangibles et résistantes, offrent un terrain parfait pour relancer la machine de la terreur sanitaire.
Une stratégie de manipulation bien huilée
Derrière cette annonce d’une possible attaque bactérienne, Heiko Schöning invite à voir une mécanique désormais familière: créer la peur, imposer des mesures exceptionnelles, puis élargir le contrôle social. La crise Covid a déjà montré comment une narration unique, relayée par les médias dominants et les instances sanitaires, pouvait neutraliser toute contestation rationnelle.
Les mécanismes de cette manipulation suivent toujours les mêmes étapes:
- Préparer les esprits: rapports alarmistes publiés par l’OMS ou d’autres institutions, campagnes médiatiques martelant le danger d’une « menace invisible » et imminente.
- Déclencher la crise: annoncer un foyer infectieux, médiatiser quelques cas spectaculaires et brandir le risque d’une propagation mondiale incontrôlable.
- Imposer l’urgence: déclarer l’état d’exception, suspendre les droits fondamentaux et présenter des solutions « temporaires » (restrictions, confinement, pass, surveillance numérique).
- Installer le contrôle: transformer les mesures provisoires en structures permanentes, qu’il s’agisse de bases de données biométriques, de passeports sanitaires ou de nouvelles législations de surveillance.
Heiko Schöning souligne que ces opérations ne sont pas improvisées: elles s’appuient sur des réseaux financiers et industriels puissants.
Les multinationales pharmaceutiques, les banques et certains groupes technologiques travaillent de concert avec les gouvernements pour tirer profit des crises successives.
Ce qu’il appelle une « gouvernance par le chaos »: créer le désordre pour renforcer la dépendance des peuples et consolider le pouvoir de quelques élites.
La question fondamentale n’est donc pas seulement sanitaire. Elle est aussi politique, économique et sociétale: à qui profite la peur?
Quand la peur devient un outil politique
Si Heiko Schöning a choisi de lancer cette alerte, c’est parce qu’il a compris que les conséquences d’une telle manipulation dépassent largement le domaine médical.
Une nouvelle crise sanitaire, qu’elle soit réelle ou orchestrée, aurait pour effet immédiat de renforcer les politiques de contrôle et de restreindre encore un peu plus les libertés fondamentales.
On a déjà vu ce scénario se dérouler: confinements imposés, pass sanitaires transformés en pass vaccinal, surveillance numérique accrue, exclusion des non-conformes.
Ces mesures, présentées comme temporaires, ont durablement marqué nos sociétés et ouvert la voie à une normalisation de l’exception.
Le risque, selon Schöning, est que chaque nouvelle alerte devienne une opportunité d’avancer encore plus loin dans ce projet de société sécuritaire:
- Déploiement généralisé de systèmes de surveillance biométrique (QR codes, reconnaissance faciale, suivi numérique des déplacements).
- Limitation accrue de la liberté de circulation, sous prétexte de « protéger la population ».
- Marginalisation des voix dissidentes, accusées de « mettre en danger la sécurité publique ».
- Dépendance totale à des solutions technologiques et pharmaceutiques contrôlées par quelques géants industriels.
Au-delà des atteintes aux droits, c’est une transformation profonde du rapport entre citoyens et institutions qui est en jeu.
L’État n’est plus vu comme un garant des libertés mais comme un gestionnaire de crises permanentes, utilisant la peur pour justifier son autorité.
Et la plus grande menace n’est pas forcément l’éventuelle bactérie dont parle Schöning, mais le précédent psychologique: les peuples, conditionnés par la répétition de ces crises, risquent de considérer comme « normal » de céder un peu plus de liberté à chaque nouvelle alerte.
Ne plus subir : reprendre le pouvoir sur nos vies
Face à ce constat, il serait facile de céder à la peur ou au découragement.
Mais l’alerte de Heiko Schöning n’a pas pour but de nous enfermer dans la fatalité.
Elle nous invite au contraire à réfléchir: comment éviter de retomber dans les mêmes pièges ?
La première étape est la vigilance.
Ne pas accepter sans question les récits officiels, vérifier les sources, confronter les versions, croiser les analyses.
L’histoire récente nous a montré que des décisions prétendument « scientifiques » pouvaient être dictées par des intérêts politiques ou financiers.
La deuxième étape est l’information libre. Lire, partager, soutenir les médias et les auteurs qui osent sortir des narratifs imposés.
C’est précisément ce que propose le livre « Sociétés du chaos organisé » de Richard Durastante, ou encore les enquêtes de Jean-Marc Sabatier dans « Covid-19 le naufrage de la science ».
Ces ouvrages permettent de mettre en perspective les stratégies de manipulation et d’apporter des arguments solides face à la propagande.
La troisième étape est l’action individuelle et collective.
Reprendre en main notre santé avec des moyens naturels et préventifs (nutrition, plantes, hygiène de vie, gestion du stress), refuser la dépendance aveugle aux solutions imposées par Big Pharma.
Mais aussi créer des espaces de solidarité et de coopération locale, capables de résister aux chocs futurs.
Enfin, il nous faut retrouver un ancrage spirituel et humain, car c’est en cultivant la conscience, l’entraide et la confiance en nos capacités que nous pourrons contrer la logique du chaos organisé.
L’alerte de Schöning est claire: si nous restons passifs, d’autres crises viendront justifier toujours plus de contrôle.
Mais si nous décidons de penser par nous-mêmes, de nous informer librement et de nous unir, alors ce projet échouera.
Site source de l’alerte ici, dont voici la vidéo:
Choisir la vérité plutôt que le chaos
L’alerte lancée par Heiko Schöning est un signal que nous ne pouvons ignorer. La « pandémie de mensonges » a montré à quel point nos sociétés peuvent être manipulées lorsque la peur s’installe.
Les élites économiques et politiques misent sur cette peur pour étendre leur contrôle, réduire nos libertés et transformer chaque crise en opportunité de profit.
Mais cette stratégie du chaos organisé n’est pas une fatalité.
Nous avons le choix: celui de nous informer, de cultiver notre esprit critique, de refuser les récits simplistes imposés par les médias et les gouvernements.
Nous avons le pouvoir de bâtir des sociétés plus libres, plus justes et plus humaines, à condition d’oser regarder la réalité en face.
C’est précisément l’objectif des livres publiés aux Éditions marco pietteur, qui donnent des clés pour comprendre et agir.
À commencer par :
- 📕 Sociétés du chaos organisé de Richard Durastante, pour décrypter la guerre psychologique actuelle.
- 📕 Covid-19 : Le naufrage de la science, pour comprendre comment la science a été instrumentalisée.
- 📕 Influence & Pandémies, pour dévoiler les mécanismes de manipulation qui accompagnent chaque crise.
Ces ouvrages ne sont pas de simples lectures : ce sont des outils pour reprendre notre souveraineté.
👉 Et vous, qu’en pensez-vous ? Êtes-vous prêt à agir pour que plus jamais nous ne soyons piégés par une crise fabriquée ?
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Parce qu’ensemble, nous pouvons encore déjouer les plans du chaos organisé. Et c’est pourquoi vous êtes invité.e à partager cet article pour que nous soyons nombreux à être préparés à ce qui vient!
