En Suisse, on aime se targuer de vivre dans « la plus belle démocratie du monde ».
Pourtant, le parcours de Chloé Frammery raconte une autre histoire.
Mathématicienne et enseignante, elle s’est retrouvée au cœur d’une tempête médiatique et institutionnelle après avoir publié deux vidéos devenues virales : l’une devant le siège de l’alliance vaccinale GAVI, l’autre aux côtés de Dieudonné sur la création monétaire.
Ces prises de parole lui ont valu un licenciement, des campagnes de diffamation, et même une infiltration journalistique digne d’un roman d’espionnage.
Un destin qui rappelle celui de Naomi Wolf, autrice de Tout perdre pour la vérité, qui a payé cher le prix de ses convictions.
🎥 Découvrez l’interview complète de Chloé Frammery :
Les vidéos qui ont tout déclenché
Deux séquences ont marqué un tournant dans la vie de Chloé Frammery.
Avant elles, elle était une enseignante de mathématiques respectée en Suisse ; après, elle est devenue une « cible » à abattre pour une partie des institutions et des médias.
Devant GAVI et ID2020 : l’alerte sur la collusion
Le 13 avril 2020, Chloé Frammery se filme devant le siège de l’alliance vaccinale GAVI à Genève.
Dans cette vidéo, elle pointe le partenariat entre GAVI et l’initiative ID2020, qui promeut l’identification numérique à l’échelle mondiale.
Elle s’interroge : pourquoi ces deux entités — financées par des acteurs comme la Fondation Bill & Melinda Gates, Microsoft ou la Fondation Rockefeller — travaillent-elles ensemble ? Et pourquoi les médias n’en parlent-ils pas ?
Avec Dieudonné : dévoiler les mécanismes de la création monétaire
Quelques mois plus tôt, en mai 2019, Chloé Frammery apparaît dans une discussion filmée avec Dieudonné.
Elle y explique de façon pédagogique comment les banques créent l’argent « ex nihilo » par le crédit, un système qui maintient les États et les citoyens dans une dépendance structurelle.
Cette explication simple, mais explosive, touche un large public… et met dans son viseur des intérêts puissants.
Résultat : en quelques jours, ces deux vidéos cumulent des millions de vues et font de Chloé Frammery une figure controversée.
Pour elle, ce fut le début d’un long combat.
Le prix de la vérité
Prendre la parole publiquement a un coût.
Pour Chloé Frammery, ce coût s’est mesuré en pertes concrètes :
- Perte de son emploi : signalée par la CICAD (équivalent suisse de la LICRA) à l’Éducation nationale, elle est convoquée à des entretiens disciplinaires, puis licenciée.
- Attaques médiatiques : présentée comme « complotiste », « extrême droite » ou « coronasceptique », elle subit une campagne de discrédit sur plusieurs médias.
- Infiltration journalistique : un faux sympathisant, intégré à ses activités pendant des mois, révèle finalement travailler pour un média grand public. L’objectif ? Publier un portrait à charge, truffé d’erreurs et d’insinuations.
- Pression judiciaire : une plainte mineure, accélérée de façon inhabituelle par l’administration, aboutit à une condamnation.
Pourtant, loin de se taire, elle continue à s’exprimer, forte de la conviction que « la fin de la peur est le début de la libération ».
Une détermination qui rappelle le parcours de Naomi Wolf, qui dans Tout perdre pour la vérité raconte comment elle a été marginalisée, censurée et ostracisée pour avoir questionné les narratifs officiels.
Parallèle avec Naomi Wolf
L’histoire de Chloé Frammery trouve un écho frappant dans celle de Naomi Wolf, intellectuelle et autrice américaine, connue pour ses travaux sur les libertés publiques.
Dans son livre Tout perdre pour la vérité, Naomi Wolf décrit le prix personnel et professionnel payé pour avoir dénoncé les dérives liées à la crise sanitaire et aux politiques de surveillance.
Comme Chloé Frammery, Naomi Wolf a connu :
- La censure sur les réseaux sociaux
- Les attaques personnelles visant à discréditer son image plutôt que ses arguments
- L’exclusion des cercles médiatiques traditionnels
Toutes deux illustrent un même phénomène : dans les démocraties modernes, informer ou questionner certaines structures de pouvoir peut mener à l’isolement, voire à la ruine.
Mais elles partagent aussi une même conviction : il vaut mieux perdre ses privilèges que renoncer à la vérité.
Pourquoi lire La plus belle démocratie du monde
Le parcours de Chloé Frammery est l’un de ces récits qui marquent durablement.
Ce n’est pas seulement l’histoire d’une mathématicienne devenue lanceuse d’alerte après deux vidéos virales.
C’est aussi le témoignage d’une femme confrontée à la perte de son emploi, aux campagnes de diffamation, aux censures numériques et aux méthodes d’intimidation — tout cela pour avoir posé des questions que d’autres n’osaient plus poser.
Dans La plus belle démocratie du monde, Chloé partage :
- Les coulisses de ses enquêtes et prises de parole publiques
- Le fonctionnement interne de certaines grandes organisations internationales basées à Genève
- Sa réflexion sur la monnaie, la souveraineté individuelle et les libertés fondamentales
- Les leçons tirées de ses épreuves, entre désillusion et résilience
Ce livre, à la fois document d’investigation et récit de vie, s’inscrit dans la lignée des ouvrages comme Tout perdre pour la vérité de Naomi Wolf, où la vérité prime sur la carrière ou le confort personnel.
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Un combat qui nous concerne tous
Ce que révèle Chloé Frammery dans La plus belle démocratie du monde dépasse largement le cadre de son expérience personnelle.
Ses propos soulèvent une question essentielle : dans quelle mesure nos démocraties protègent-elles réellement ceux qui osent les critiquer ?
Les sujets qu’elle aborde — le rôle des grandes fondations, l’influence des partenariats public-privé, la centralisation des données personnelles ou la création monétaire — nous touchent tous, que nous en ayons conscience ou non.
En ce sens, son parcours résonne comme un avertissement et un appel à la vigilance.
La liberté a un prix, mais aussi un sens
L’histoire de Chloé Frammery rappelle que dire la vérité peut coûter cher… mais que se taire coûte encore plus.
Comme Naomi Wolf, elle a accepté de tout risquer pour rester fidèle à ses convictions.
Son témoignage est une invitation à ne pas céder à la peur, à rester curieux et à défendre les valeurs qui nous sont chères, même face à l’adversité.
Et vous, que pensez-vous de ce parcours ?
Avez-vous déjà été témoin ou victime de pressions pour avoir exprimé une opinion qui dérangeait ?
Partagez votre expérience ou vos réflexions dans les commentaires ci-dessous : votre voix compte, exprimez-vous!
À voir aussi
Pour prolonger la réflexion, découvrez le témoignage de l’écrivaine et militante américaine Naomi Wolf, qui a elle aussi tout risqué pour alerter sur les dérives de nos sociétés.
Son livre Tout perdre pour la vérité est un récit sans concession sur le prix à payer quand on choisit l’intégrité plutôt que le silence.
🔗 Lire l’article sur Tout perdre pour la vérité de Naomi Wolf