Deuxième volet de notre série dédiée à la déconstruction des plus gros mensonges d’Olivier Véran pendant la crise du Covid-19.
Dans cette partie, nous examinons les affirmations trompeuses concernant les vaccins Covid-19 : promesses d’efficacité contre la contamination, « sécurité totale » des vaccins à ARNm, menaces voilées contre les voix dissidentes et instrumentalisation du pass sanitaire pour marginaliser les non-vaccinés.
Que vous soyez un sceptique hésitant, un ancien pro-système en quête de vérité ou déjà convaincu cherchant des arguments pour éveiller vos proches, cet article percutant s’appuie sur des faits vérifiables pour rétablir la vérité.
Si vous ne l’avez pas encore lue, retrouvez notre Partie 1 ici: Pandémie de mensonges : comment la santé publique a été trahie
Vaccins anti-Covid : promesses d’efficacité brisées par la réalité
Olivier Véran a martelé que les vaccins seraient ultra-efficaces pour stopper l’épidémie.
Rappelez-vous ses déclarations euphoriques de juillet 2021 :
« 95% de protection des formes graves… Vous réduisez par 12 le risque de contamination des autres… On n’a jamais eu de vaccin aussi efficace que celui-ci » (lesamisfrancaisdupcc.wordpress.com).
Il allait même jusqu’à promettre l’immunité collective si tout le monde se soumettait à l’injection :
« Si nous étions tous vaccinés, le virus ne pourrait plus cheminer… l’immunité collective… ça veut dire que le virus ne trouve plus personne à contaminer sur sa route et s’éteint » (lesamisfrancaisdupcc.wordpress.com).
En clair, selon lui, se faire vacciner équivalait à protéger les autres et à mettre fin à la pandémie.
La réalité a brutalement contredit ce récit idyllique.
Malgré une couverture vaccinale élevée, le virus a continué de circuler et de muter.
Dès l’automne 2021, il est apparu clair que les personnes vaccinées pouvaient toujours attraper et transmettre le Covid-19.
En novembre 2021, Marine Le Pen interpella le gouvernement en ces termes :
« J’entendais M. Castex nous expliquer que le vaccin allait empêcher d’attraper le Covid et de contaminer les autres. C’était un mensonge. Pourquoi mentir à la population ? » (tf1info.fr).
Difficulté à parler d’un « mensonge » ?
Quoi qu’il en soit, l’efficacité réelle du vaccin contre l’infection s’est avérée bien inférieure aux promesses initiales.
Par exemple, contre le variant Delta, le vaccin Pfizer n’était efficace qu’à ~88% pour prévenir l’infection symptomatique, et AstraZeneca à ~60% (selon tf1info.fr ) – loin des 95% annoncés triomphalement sur les plateaux TV.
Avec Omicron, l’efficacité contre l’infection est même tombée proche de zéro après quelques mois, expliquant les multiples « doses de rappel ».
Les faits sont têtus : le vaccin n’a pas stoppé la contagion.
Des études ont montré que les vaccinés pouvaient avoir une charge virale similaire aux non-vaccinés lorsqu’ils étaient infectés par des variants ultérieurs.
Même l’ancien directeur du CDC américain a dû reconnaître que les vaccins n’empêchaient plus la transmission dans le contexte des nouveaux variants.
Au Parlement européen, le débat a explosé quand une cadre de Pfizer a admis que la prévention de la transmission n’avait même pas été testée avant la mise sur le marché.
Le député néerlandais Rob Roos a alors résumé ce sentiment de trahison :
« ‘Se faire vacciner pour protéger les autres’ était toujours un mensonge » (apnews.com).
En effet, on a vendu aux gens un acte altruiste (“faites-le pour vos proches, pour la société”), alors que la preuve scientifique manquait cruellement.
Le résultat ?
La promesse d’éradiquer le virus grâce au vaccin s’est effondrée, laissant place à des vagues successives de contaminations y compris parmi les vaccinés.
Combien de personnes ont consenti à l’injection en pensant sincèrement « faire leur part » pour en finir avec le Covid, sur la foi des paroles de Véran ?
Combien se sentent trompées aujourd’hui en constatant qu’elles ont pu contaminer ou être contaminées malgré le vaccin ?
Ce désenchantement, nombreux sont ceux qui le ressentent.
Le mensonge sur l’efficacité absolue des vaccins Covid figure sans doute parmi les plus grands scandales de cette crise – un scandale que décrivent en détail des ouvrages comme « COVID-19 : Le naufrage de la science » de Jean-Marc Sabatier et Marcel Gay, qui reviennent sur l’abandon des méthodes scientifiques au profit de la propagande.
La science a été instrumentalisée pour vendre une solution miracle qui n’en était pas une (tf1info.fr).
La confiance aveugle a laissé place à la colère froide face aux faits avérés.
« Vaccins sûrs à 100% » ? La vérité sur les effets indésirables cachés
Dès qu’il s’agissait de sécurité, Olivier Véran adoptait un ton se voulant rassurant, voire condescendant envers les sceptiques.
À l’Assemblée nationale, face aux questions insistantes d’une députée dissidente (Martine Wonner), il a osé déclarer : « Je voudrais rassurer tout le monde : le vaccin n’a jamais donné, ne donnera jamais, ni le SIDA, ni le Creutzfeldt-Jakob. Il faut rétablir le fait scientifique » (lemediaen442.fr).
Sur le ton de la certitude absolue, il balayait d’un revers de main les moindres inquiétudes : circulez, il n’y a aucun danger.
Le vaccin ARNm serait inoffensif comme de l’eau de source, et toute personne affirmant le contraire relevait du charlatanisme.
Pourtant, là encore, la réalité est bien plus nuancée – et inquiétante.
Personne de sérieux n’a prétendu que les vaccins contiendraient le VIH ou un prion responsable de Creutzfeldt-Jakob, soyons clairs.
Ce que les voix critiques soulevaient, c’était la possibilité d’effets immunitaires ou neurologiques à moyen terme mal évalués.
Or, de fait, des signaux alarmants ont émergé : par exemple, le cas tragique de Mauricette Doyer, en France, a défrayé la chronique en 2022.
Cette septuagénaire a développé une maladie de Creutzfeldt-Jakob foudroyante quelques semaines après sa deuxième dose de vaccin (tf1info.fr).
Sa famille, bouleversée, a légitimement suspecté un lien, tandis que les experts officiels ont plaidé la coïncidence en rappelant l’incubation normalement très lente de cette maladie. Coïncidence… peut-être.
Mais comment Véran pouvait-il jurer que « jamais » un tel effet n’arriverait, alors que le produit était tout nouveau et que son évaluation restait partielle ?
Son aplomb relève soit de l’ignorance, soit de la malhonnêteté.
Au-delà de ce cas rarissime, d’autres effets indésirables bien réels se sont manifestés massivement, contredisant le mythe de l’innocuité totale. Les myocardites chez les jeunes, par exemple, ont été rapidement reconnues.
Des pays comme la Suède, le Danemark ou la Finlande ont même suspendu le vaccin Moderna pour les moins de 30 ans dès octobre 2021 en raison du risque accru d’inflammation cardiaque (reuters.com).
L’Agence européenne du médicament a confirmé en 2021 que ces inflammations du cœur pouvaient survenir, notamment chez les hommes jeunes après la deuxième dose (reuters.com).
Véran, lui, est resté silencieux sur ces données dérangeantes, continuant d’affirmer que tout était sous contrôle. Il n’a jamais publiquement fait mea culpa d’avoir assuré que les vaccins étaient « sûrs chez toutes les personnes à qui ils sont proposés » – comme il l’affirmait pourtant en mars 2021 au sujet d’AstraZeneca (lemediaen442.fr), quelques jours avant que ce vaccin ne soit suspendu pour cause de thromboses graves.
Son discours de survente de la sécurité a persisté, même quand la réalité (thromboses, myocardites, péricardites, effets menstruels, etc.) a rattrapé la narration officielle.
Parlons justement de ces atteintes au système immunitaire qui inquiètent tant de médecins indépendants.
Si le vaccin ne « donne pas le SIDA » (formule outrancière utilisée pour ridiculiser les critiques), il n’est pas interdit de se demander s’il ne pourrait pas induire une forme d’affaiblissement immunitaire chez certaines personnes.
Des chercheurs ont découvert qu’après des doses répétées d’ARNm, l’organisme produisait un type particulier d’anticorps (IgG4) qui signale une tolérance immune anormale au virus (frontiersin.org).
En clair, au lieu de mieux combattre l’infection, le système immunitaire pourrait finir par la tolérer, comme s’il baissait la garde – un phénomène qu’aucun responsable n’avait anticipé.
Ce basculement vers des anticorps « non-inflammatoires » est un fait scientifique publié en 2023, pas une théorie fumeuse (frontiersin.org).
Conséquence possible : une efficacité vaccinale qui s’effondre avec le temps et une vulnérabilité accrue aux nouvelles variantes.
Certains professionnels de santé observent aussi des réactivations de virus dormants (zona, EBV…) et d’autres troubles auto-immuns après vaccination, suggérant que l’équilibre immunitaire est bousculé.
Faudrait-il parler de « vaccino-syndrome d’immunodéficience acquise » (VAIDS) ? Le terme est polémique, certes, et les médias dominants le rejettent en bloc.
Mais l’idée que des injections répétées puissent épuiser l’immunité mérite d’être étudiée sérieusement, pas moquée.
Au lieu de cela, Véran a préféré dresser un épouvantail (“le vaccin ne donne pas le SIDA”) pour éluder tout débat sur la toxicité potentielle des nanoparticules lipidiques, la spike circulante, ou les adjuvants.
Les Pfizer Papers – ces documents internes de Pfizer obtenus par décision de justice aux États-Unis – ont révélé que des centaines d’effets indésirables étaient connus dès les premiers mois du déploiement vaccinal.
Des milliers de pages de données brutes, que des chercheurs indépendants, comme l’équipe de la journaliste Naomi Wolf (auteure du livre « Pfizer Papers – Les crimes de Pfizer contre l’humanité »), analysent encore aujourd’hui, mettent en lumière une réalité glaçante : loin d’être « rares et bénins », de nombreux effets secondaires graves (troubles cardiaques, neurologiques, coagulation, etc.) ont été signalés mais minimisés.
Véran et consorts n’en ont pipé mot au public.
Le narratif officiel de la “sécurité parfaite” a primé, au détriment de la transparence.
Comment dès lors s’étonner de la perte de confiance ?
Comme l’écrit le collectif de soignants dans « Médecins courageux contre Big Pharma », il fallait du courage pour braver l’omerta et dire la vérité sur les risques vaccinaux – ces médecins là n’ont pas été écoutés par le ministre, pire, ils ont été conspués.
Intimidation des dissidents : « après votre mandat, la justice vous attendra »
Le mensonge ne tient jamais longtemps face à la contradiction. Conscient que des voix discordantes risquaient de dévoiler la supercherie, Olivier Véran (et le gouvernement en général) n’a pas hésité à manier la menace et le mépris pour faire taire toute contestation.
Un épisode édifiant s’est déroulé en janvier 2022 à l’Assemblée nationale. Face aux arguments du Dr Martine Wonner (députée qui osait défendre des traitements précoces et dénoncer les effets des vaccins), Véran sort de ses gonds.
Non content de lui lancer une pique infantilisante – « La chloroquine, ça ne se fume pas », insinuant que sa consœur délirerait comme une droguée – il enchaîne avec un avertissement glaçant : « Chacun ici peut s’exprimer librement grâce à l’immunité parlementaire… mais je le dis néanmoins, parfois les mandats s’arrêtent. Et celles et ceux qui continueront de tenir ces propos-là seront alors susceptibles de rendre compte devant la justice. Je le dis pour Madame Wonner. » (lemediaen442.fr).
En termes clairs, le ministre de la Santé promet des poursuites judiciaires à une élue de la Nation dès qu’elle ne sera plus protégée par son statut parlementaire. 😮
Cette scène invraisemblable – un ministre menaçant publiquement une députée de « finir au tribunal » pour délit d’opinion sanitaire – a envoyé un message froid à tous les médecins, scientifiques ou élus tentés de s’écarter de la ligne officielle.
Attention à vous, on vous surveille, votre carrière pourrait en pâtir.
Nombre de professionnels de santé ont ressenti cette chape de plomb : on l’a vu avec les conseils de l’Ordre convoquant et radiant des médecins dissidents (traitant ceux-ci de « charlatans » sur les plateaux TV), ou avec les dénonciations calomnieuses visant des professeurs renommés qui critiquaient la stratégie vaccinale.
Olivier Véran, par son attitude, a encouragé une véritable chasse aux sorcières.
Plutôt que de débattre au grand jour des incertitudes scientifiques (ce qu’aurait fait un esprit ouvert et humble), il a brandi l’épouvantail de la loi pour mater l’hérésie. Dans quel but ?
Bâillonner toute contestation, pour que le grand récit vaccinal reste unanime et incontesté.
On a ainsi vu des parlementaires isolés, conspués pour avoir posé de simples questions.
Véran a catégorisé les non-vaccinés et leurs soutiens dans « une forme de délire » collectif (Lesamisfrancaisdupcc.wordpress.com), évacuant d’emblée toute légitimité à leurs arguments.
Souvenez-vous aussi de la formule déshumanisante de Macron (certes, ce n’était pas Véran lui-même, mais elle s’inscrivait dans la même ligne) :
« J’ai très envie de les emmerder, les non-vaccinés ».
Ces propos ont décomplexé une violence verbale contre une minorité de citoyens, avec la bénédiction tacite du ministre de la Santé.
Pourtant, les voix dissidentes n’étaient pas que quelques illuminés. Parmi elles, on comptait d’ex-éminents chercheurs, des médecins de terrain, des soignants en première ligne.
Des collectifs se sont formés, comme le Doctothon, marathon vidéo où des centaines de médecins du monde entier ont échangé librement sur la gestion de la crise et les traitements alternatifs.
Plutôt que d’écouter ces lanceurs d’alerte, Véran et son administration les ont ridiculisés, censurés, menacés.
Une telle ambiance de terreur intellectuelle a fait beaucoup de mal : elle a retardé la reconnaissance des problèmes (il a fallu des mois pour que les autorités admettent les myocardites, par exemple), et elle a fracturé la communauté médicale.
Le livre « Doctothon » retrace justement ces 24 heures d’échanges ininterrompus entre médecins courageux : on y mesure à quel point la parole officielle de Véran était loin d’un consensus scientifique – c’était un discours politique, imposé par le haut.
Ironie du sort : en 2023-2024, plusieurs de ces « dissidents » traités de fous se sont révélés visionnaires.
Le temps leur a donné raison sur de nombreux points (inefficacité des vaccins sur la transmission, nécessité de traitements précoces, danger d’une politique sanitaire coercitive…).
L’histoire retiendra que plutôt que de dialoguer, un ministre a choisi l’intimidation.
Et quand un responsable en arrive à brandir la menace pénale pour sauvegarder sa version, c’est souvent le signe que celle-ci ne tient plus qu’à un fil.
Pass sanitaire : de l’outil de santé publique à l’arme de discrimination

Le bouquet final de cette série de mensonges a sans doute été l’instrumentalisation du pass sanitaire/vaccinal.
Rappelons-nous qu’initialement, Olivier Véran se montrait presque rassurant à ce sujet.
En juin 2021, il déclarait : « Non, on n’est pas en train d’installer un système de tri ou de sélection des gens en fonction de leur statut sanitaire. Je suis contre le pass sanitaire dans le resto. » (lemediaen442.fr).
À l’écouter, jamais le gouvernement n’oserait ficher et discriminer des citoyens selon qu’ils soient vaccinés ou non – quelle idée !
Ce serait contraire à nos valeurs…
Quelques semaines plus tard, revirement total : le pass sanitaire est étendu à presque toutes les activités de la vie courante, puis transformé en pass vaccinal en janvier 2022.
Véran lui-même l’admet sans détour le 18 décembre 2021, en qualifiant le pass vaccinal de « forme déguisée d’obligation vaccinale » (lemediaen442.fr).
Autrement dit, un outil de coercition.
Le gouvernement a cyniquement contourné le débat sur l’obligation vaccinale (qui aurait été juridiquement et éthiquement délicat) en instaurant un système punitif: pas de vaccin = pas de vie sociale.
Le pass a servi à marginaliser les non-vaccinés, à les exclure de la société, à faire pression sur eux par la privation de droits fondamentaux (travailler, étudier, se déplacer librement).
La ficelle était grosse, et Véran pensait peut-être que cela passerait crème auprès de l’opinion en invoquant la santé publique.
Mais quand on regarde les faits, l’argument sanitaire s’effondre.
Le vaccin n’empêche pas la transmission – le ministre le savait pertinemment, surtout avec Omicron, mais il a tout de même refusé de revenir en arrière.
En mai 2022 encore, il justifiait de ne pas réintégrer les 15 000 soignants suspendus (non-vaccinés) au prétexte de « 40 000 contaminations par jour » et du danger qu’ils représenteraient pour les patients (lemediaen442.fr).
Or, comme l’a fait remarquer un journaliste lucide, « une infirmière vaccinée non testée est plus dangereuse qu’une infirmière testée non-vaccinée » – puisque la vaccinée peut attraper et transmettre le virus sans le savoir (lemediaen442.fr).
À ce sujet, pour notre mémoire, nous vous invitons aussi à découvrir la bande dessinée « 12 Juillet ».
Refuser du personnel soignant en pleine pénurie, pour un motif idéologique dénué de logique scientifique, relève de la faute grave.
Véran a préféré sacrifier l’hôpital (pénurie dramatique de personnel, urgences qui ferment – lemediaen442.fr) plutôt que d’admettre que le pass vaccinal était un acharnement absurde.
Le pass sanitaire est devenu, entre les mains du pouvoir, un outil de ségrégation inédit en France moderne.
Des millions de citoyens sans « QR code » ont été traités en parias, privés de loisirs, de restaurant, de train, parfois même de travail ou d’université.
Le gouvernement a dressé une partie de la population contre une autre, osant parler de « citoyens de seconde zone » pour ceux qui refusaient l’injection.
Une rhétorique de division d’une rare violence, que Véran a cautionnée par ses actes et ses justifications fallacieuses.
Il répétait que ce n’était « pas une sélection des gens » (lemediaen442.fr), alors que tout, dans les faits, montrait le contraire.
C’était bien une stratégie de marginalisation assumée – « emmerder les non-vax », disait l’autre – afin de pousser un maximum de Français à céder sous la contrainte. Loin de l’image du « soin » et de la solidarité, le pass a été vécu comme un chantage par une partie importante de la population.
Avec le recul, beaucoup s’interrogent : tout cela était-il vraiment justifié médicalement ?
La réponse est non.
Les pays qui n’ont pas utilisé de pass (ou l’ont levé rapidement) n’ont pas connu d’apocalypse sanitaire pour autant.
En réalité, le pass sanitaire/vaccinal fut surtout un outil politique – un moyen de pression et de contrôle social.
On a transformé des droits fondamentaux en privilèges conditionnels, et Véran a été le VRP de cette expérimentation.
Son mensonge, ici, fut de déguiser une mesure punitive en mesure sanitaire.
Il a d’abord nié qu’il s’agissait d’un tri discriminatoire (lemediaen442.fr), puis a fini par l’assumer du bout des lèvres (« obligation vaccinale déguisée » – lemediaen442.fr) quand tout le monde avait compris. Difficile de faire plus cynique.
Les dégâts sociaux, eux, sont bien réels : fractures entre proches, stigmatisation au travail, détresse psychologique de ceux qui ont été ostracisés… La confiance dans la santé publique a été sabordée.
Ce pass restera comme le symbole d’une politique qui a préféré la contrainte brutale au dialogue et à la pédagogie. Là encore, des ouvrages documentés comme « Pfizer Papers » ou « COVID-19 : Mystification scientifique » explorent comment cette dérive autoritaire s’est mise en place, en muselant les voix discordantes et en faisant fi de l’éthique médicale.
Quand la fin (la vaccination de masse) justifie tous les moyens, y compris le mensonge et la discrimination, on s’éloigne dangereusement de l’État de droit et de la science éclairée.
Le réveil des consciences – Et vous, qu’en pensez-vous ?
Nous venons à nouveau de passer en revue quelques-uns des mensonges les plus marquants de M. Véran sur les vaccins Covid.
Promettre monts et merveilles en termes d’efficacité, nier bec et ongles les risques pourtant avérés, terroriser les contestataires et diviser les Français avec un pass liberticide… tout cela pour quoi ?
Le résultat, on le voit aujourd’hui : la pandémie ne s’est pas éteinte comme promis, la confiance envers les autorités est au plus bas, et des millions de citoyens se sentent floués.
La bonne nouvelle, c’est que de plus en plus de gens ouvrent les yeux.
Les sceptiques hésitants trouvent désormais des études solides et des témoignages de médecins intègres pour conforter leurs doutes légitimes.
Les anciens “pro-système” tombent des nues en découvrant l’ampleur de la désinformation qu’ils ont subie – beaucoup passent de l’autre côté et exigent des comptes. Quant aux convaincus de la première heure, ils disposent à présent d’arguments béton, sourcés, pour tenter d’ouvrir les yeux de leur entourage encore sous le choc des mensonges officiels.
Et vous, où que vous vous situiez sur ce spectre, quelle est votre expérience ?
Avez-vous cru à ces promesses initiales, et comment avez-vous vécu la suite ?
Peut-être avez-vous vous-même été traité de complotiste pour avoir posé des questions ?
Votre témoignage nous intéresse.
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Rappelons-nous que la recherche de la vérité progresse lorsque la parole se libère – c’est exactement l’objectif de cette série d’articles et des livres tels que « Pfizer Papers » ou « Doctothon » qui complètent cette démarche en profondeur.
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Retrouvez la Partie 1 ici: Pandémie de mensonges : comment la santé publique a été trahie