Ils nous ont dit tout et son contraire. Dès les premiers jours de la pandémie, un mal étrange s’est propagé plus vite que le virus : le mensonge d’État.
Souvenez-vous – mars 2020, la France s’enferme chez elle, terrifiée.
À la télévision, le Ministre de la Santé en personne, lâche alors une phrase hallucinante : « c’est le confinement qui provoque la circulation du virus » (lemediaen442.fr).
Pardon ?
Avions-nous bien entendu ?
Oui. Olivier Véran admettait, le sourire aux lèvres, que cloîtrer les gens était… contre-productif.
Une vérité scientifique (un virus respiratoire circule mieux en lieu clos) qu’il reconnaissait du bout des lèvres – mais en total contresens avec la politique imposée.
Ce jour-là aurait dû nous mettre la puce à l’oreille : quelque chose n’allait pas. Et ce n’était que le début.
Quelques semaines plus tard, nouvelle dissonance cognitive : on nous interdit l’hydroxychloroquine, médicament pourtant utilisé partout ailleurs, suite à une étude bidon publiée dans The Lancet.
Puis on nous somme de porter des masques en plein air alors qu’on nous avait juré que ça ne servait à rien.
On enferme nos aînés en Ehpad, sans soins appropriés, parfois même avec du Rivotril pour les “soulager” (lemediaen442.fr) – sinistre aveu d’impuissance.
Chaque fois, le gouvernement avance une justification “scientifique”… rapidement démentie par les faits.
En conférence de presse, le discours officiel a souvent martelé des certitudes rapidement démenties par les faits. Ici, lors d’une allocution en 2020, le ministre de la Santé semblait sûr de lui – mais la réalité viendra contredire nombre de ses affirmations. (lemediaen442.fr – lemonde.fr)
Le saviez-vous ?
En avril 2020, une vidéo virale montrait Véran déclarant que « la grippe s’arrête au printemps » parce qu’on ouvre les fenêtres – « et donc c’est le confinement qui provoque la circulation du virus ».
Le Monde a confirmé l’authenticité de la séquence, tout en la “resituant” (Lemonde.fr – Lemonde.fr). N’empêche, la contradiction entre ce constat et la politique suivie reste flagrante.
Chaque Français a ressenti, au fil de ces mois, un malaise grandissant. On nous mentait, ou à tout le moins on nous manipulait.
Le ministre Véran s’est fait le champion des déclarations péremptoires rapidement démenties : « Je n’ai pas menti » affirmait-il sans ciller en février 2021 (lemediaen442.fr), alors que la liste de ses contre-vérités s’allongeait.
« Le vaccin est ultra efficace, jamais on n’a eu un vaccin qui protège autant » proclamait-il en juillet 2021(lemediaen442.fr) – quelques mois plus tard, Omicron balayait cette illusion, infectant même les triples vaccinés.
« Pas de passeport vaccinal en France », promettait-il début 2021 (tf1info.fr) – et pourtant, on a connu l’un des pass sanitaires les plus durs d’Europe…
Comment a-t-on pu en arriver là ?!

Comment un responsable politique, médecin de formation de surcroît, a-t-il pu accumuler à ce point les mensonges, sans jamais rendre de comptes ?
Pour le comprendre, il faut revenir sur ces deux années de crise et disséquer, un à un, les mensonges de Véran.
Car derrière chaque contre-vérité proférée, se cache un mécanisme bien huilé : la peur, la confusion, la division, bref la manipulation des masses.
Dans cette première partie, nous allons passer en revue les débuts chaotiques de la pandémie en France (2020) : du confinement aveugle aux traitements précoces sabotés, en passant par le grand flou sur les masques.
Vous verrez, documents officiels et études scientifiques à l’appui, à quel point le fossé était grand entre le discours du ministre et la réalité factuelle.
Préparez-vous : la plongée rétrospective est édifiante – et indispensable pour ouvrir les yeux.
1. Mars 2020 : Confinement, mensonges et incohérences en série
Le printemps 2020 restera dans l’Histoire comme le moment où la moitié de l’humanité s’est confinée.
En France, le 17 mars, on ferme boutiques, écoles, on s’enferme chez soi, effrayés mais confiants : « c’est dur, mais c’est pour notre bien ».
Pourtant, à peine quelques jours plus tôt, Olivier Véran tenait un discours déconcertant sur LCI : selon lui, la chaleur de l’été ne stopperait pas forcément le Covid, MAIS l’ouverture des fenêtres et la fin du confinement de printemps aidait à faire reculer la grippe… donc le confinement favoriserait le virus (lemediaen442.fr). Une idée presque hérétique par rapport à ce qui allait suivre.
Véran le savait-il ?
Probablement intuitivement, oui : confiner strictement des millions de personnes à domicile, c’est prendre le risque de multiplier les contaminations intrafamiliales, en milieux clos mal ventilés.
Les épidémiologistes nous apprennent que 99% des transmissions de maladies respiratoires se font en espace clos. Une étude parue plus tard a même quantifié que le SARS-CoV-2 a près de 19 fois plus de chances de se transmettre en intérieur que dehors (voir ici: mdpi.com).
Autrement dit, une promenade seul au soleil comportait infiniment moins de risque qu’un huis clos prolongé en appartement…
Dès lors, pourquoi avoir imposé à tout un pays de s’enfermer pendant des semaines entières, y compris dans des zones peu touchées et pour des personnes non malades ?
La réponse officielle tenait en un mot : « freinage ». On nous a présenté le confinement comme le seul moyen de « casser la dynamique épidémique ».
Sauf que le propre ministre disait que cela la propageait !
Bien sûr, on peut défendre qu’à court terme, limiter drastiquement les contacts a réduit la flambée initiale.
Mais quel coût humain et quelles conséquences collatérales (retards de soins, dépressions, économie exsangue) !
D’autres voix proposaient une alternative plus nuancée : protéger les plus fragiles, encourager les gestes barrières, et laisser les autres vivre prudemment pour atteindre une immunité progressive.
Ces voix ont été ignorées, voire raillées.
Humour noir : En mars 2020, Véran semblait donc dire que le virus circule à cause du confinement.
Pourtant, plutôt que d’alléger le confinement au printemps, le gouvernement a prolongé l’enfermement jusqu’en mai.
Allez comprendre… On pourrait presque en rire si ce n’était tragique.
Le bilan ?
Des dizaines de milliers de personnes contaminées en famille, faute de pouvoir sortir prendre l’air.
Des personnes âgées dépérissant seules à domicile ou en maison de retraite, sans visite, sans sourire.
Une nation entière sous cloche, pendant que nos voisins suédois, par exemple, continuaient à se promener dans les parcs (et n’ont pas subi d’hécatombe disproportionnée).
Et puisque l’on parle des aînés : un autre scandale couve à ce moment-là, passé presque inaperçu dans le brouhaha…
Rivotril : le choix du cynisme pour nos aînés
Fin mars 2020, en pleine crise sanitaire, un texte administratif est publié discrètement.
Peu de citoyens en entendront parler, mais pour certains soignants, c’est un choc éthique : un décret autorise la dispensation de Rivotril en ville, hors AMM, pour les malades du Covid (lemediaen442.fr).
Que signifie ce jargon ?
Le Rivotril est un sédatif (une benzodiazépine) utilisé notamment pour l’épilepsie.
Hors AMM = en dehors des indications officielles.
Le ministère vient donc de permettre aux médecins de ville, y compris en EHPAD, de faire des injections de Rivotril à des patients Covid en détresse respiratoire… en l’absence de toute possibilité d’hospitalisation.
Autrement dit, on donne le feu vert à la sédation en phase aiguë du Covid, notamment pour des personnes âgées qu’on ne pourra pas transférer en réa.
C’est ni plus ni moins une décision d’orientation vers la mort douce : le Rivotril abrutit la conscience et soulage la souffrance, mais à assez forte dose, il accélère la survenue du décès en calmant le patient… jusqu’à l’arrêt respiratoire.
On parle de “soins palliatifs”.
Sauf que là, ce palliatif s’applique non pas en toute fin de vie connue (comme un cancer terminal) mais à des malades qui, pour certains, auraient pu survivre avec des soins adéquats.
Véran s’est bien gardé d’ébruiter cette nouvelle.
Officiellement, il ne faut surtout pas dire qu’on “euthanasie” des gens. Le décret précise d’ailleurs que c’est pour « prise en charge des patients dont l’état le justifie ». Mais soyons clairs : en pleine saturation hospitalière, beaucoup d’EHPAD ont utilisé le Rivotril faute de place en réanimation.
Des témoignages horrifiés d’infirmières ou de familles filtreront plus tard : «On a laissé partir Mamie avec une piqûre de “confort” parce qu’il n’y avait pas de lit pour elle». Terrible dilemme, que le gouvernement a résolu en douce via un décret plutôt qu’un vrai débat bioéthique.
Pour nous qui prônons la vie et la dignité, ce choix est une trahison absolue du serment médical “d’abord ne pas nuire”.
Au lieu de tenter des traitements (oxygène, anti-inflammatoires, antiviraux, pourquoi pas vitamine C IV, que sais-je ?) on a choisi la solution “finale” pour ces patients.
Sans même informer le grand public.
Ce mensonge-là est un silence, un non-dit effroyable : combien de personnes âgées sont parties ainsi, sans bruit, sous Rivotril, pendant que la France était enfermée ?
Le chiffre n’est pas officiellement connu (certains parlent de centaines).
Notre devoir est de faire la lumière sur cette décision.
Non pour accuser aveuglément les soignants (pris dans une situation dramatique), mais pour pointer une responsabilité politique.
Oui, Olivier Véran a signé ce décret (lemediaen442.fr).
Oui, il a fait le choix que des patients meurent “doucement” plutôt que d’essayer un médicament hors protocole (par exemple l’hydroxychloroquine qu’il venait d’interdire – quelle sinistre ironie).
En somme, dès les débuts de la crise, le ministère a préféré gérer la pénurie par le mensonge et l’ombre : mensonge sur les masques, omerta sur le Rivotril, et baratin sur le confinement “inévitable”.
Les conséquences ont été humaines avant tout – révoltantes pour quiconque a une conscience.
Sabotage des traitements précoces : l’affaire Lancet
Parlons-en justement, de l’hydroxychloroquine (HCQ). Ce médicament antipaludéen, connu depuis 70 ans, a fait couler des flots d’encre en 2020.
Pourquoi ?
Parce qu’au tout début de l’épidémie, des médecins dans le monde (Chine, Corée, puis France avec le Pr Didier Raoult) ont constaté que l’HCQ semblait aider les patients Covid, surtout si donnée très tôt, souvent associée à un antibiotique (azithromycine) et du zinc.
En l’absence de tout traitement spécifique approuvé, cet espoir devait être creusé.
En mars, Véran lui-même a autorisé l’HCQ à l’hôpital… pendant quelques jours.
Puis, rebondissement : le 22 mai 2020, The Lancet, prestigieuse revue médicale, publie une étude massive concluant que l’HCQ non seulement ne fait rien, mais augmente la mortalité.
Tollé médiatique instantané : « arrêtez tout, c’est dangereux! ».
Que fait Véran dans les heures qui suivent ?
Il tweete qu’il saisit le Haut conseil de santé pour qu’il propose sous 48h la révision des règles de prescription (lemediaen442.fr).
En clair, il s’apprête à interdire l’hydroxychloroquine hors essais cliniques.
Et c’est exactement ce qui arrive : décret du 26 mai, l’HCQ est bannie de la ville et des hôpitaux, sauf protocoles très contrôlés.
Or – coup de théâtre – début juin, l’étude du Lancet est démasquée comme une fraude pure et simple.
Des chercheurs et journalistes (notamment du Guardian) découvrent que la société Surgisphere, qui a fourni les données, est bidon ; les données sont incohérentes, bref c’est du faux habillé en science.
Le Lancet rétracte l’article avec pertes et fracas (theguardian.com). Cette “étude” n’aurait jamais dû être publiée. Elle a été qualifiée de “fabrication frauduleuse en pleine urgence mondiale” par Richard Horton, le rédacteur du Lancet (theguardian.com).
Conséquences ?
L’OMS, qui avait suspendu ses essais HCQ, les reprend.
Certains pays rouvrent la porte prudemment à la molécule.
En France… silence de cathédrale. Véran n’a jamais reparlé de l’HCQ autrement que pour s’en moquer.
Le mal était fait : l’opprobre jeté, et l’interdiction toujours en place.
Des médecins généralistes qui continuaient à en prescrire (en respectant le serment de soigner) ont été menacés de sanctions.
Ce mensonge-là – “l’HCQ est dangereuse” – est emblématique de la gestion Véran : on énonce quelque chose en prétendant s’appuyer sur la science, mais en réalité on suit un agenda politico-industriel.
Car qu’avait-on à perdre à laisser des médecins expérimenter un vieux médicament peu coûteux, sur des patients volontaires bien informés du débat ? Rien.
S’il y avait le moindre espoir, il fallait le tester sérieusement.
Au lieu de ça, on a eu une véritable campagne de dénigrement.
Rappelez-vous les sourires en coin : “La chloroquine ? Ça ne se fume pas, enfin !” lançait Véran sarcastiquement à l’Assemblée début 2022 (bfmtv.com) pour ridiculiser les partisans de ce traitement.
A-t-on idée de la condescendance du propos face aux familles endeuillées qui se demandent “et si on l’avait tenté, ce traitement ?”…
La suite, on la connaît : aucun traitement précoce n’a été autorisé en France pendant la première année.
Les patients restaient chez eux avec du Doliprane en priant de ne pas s’aggraver – c’était la doctrine officielle. Des milliers ont fini à l’hôpital, certains ne s’en sont pas sortis.
Peut-être qu’une partie d’entre eux auraient pu éviter cette issue avec une prise en charge anticipée plus agressive (que ce soit HCQ ou d’autres approches comme l’ivermectine, la corticothérapie précoce, etc., dont on parlait ailleurs dans le monde).
On ne le saura jamais, parce que Véran a fermé la porte.
Son mensonge scientifique (s’appuyer sur une fausse étude pour justifier une interdiction) s’est mué en dogme : “il n’y a pas de traitement, circulez, attendez le vaccin”.
En termes de santé naturelle, c’est l’antithèse de notre philosophie : nous croyons qu’il faut agir vite et globalement contre une maladie naissante (soutenir l’organisme, utiliser les moyens disponibles, même imparfaits, tant qu’ils sont sans danger notable).
L’inaction et l’attentisme imposés ont été, à nos yeux, criminels.
En résumé de 2020 :
Olivier Véran et le gouvernement ont accumulé les erreurs maquillées en certitudes.
Confinement aveugle malgré les doutes qu’ils avaient eux-mêmes émis.
Mensonge sur les masques pour cacher leur imprévoyance, puis obligation incohérente par excès de zèle pour reprendre la main.
Abandon des traitements potentiels sur la base d’une pseudo-science rapidement démentie.
Abandon des aînés, littéralement, avec ce décret morbide jamais assumé.
Chaque fois, la même recette : on affirme avec aplomb quelque chose, puis on fait l’inverse ou on cache la vérité aux citoyens.
Cela a un nom : de la manipulation.
Véran et consorts ont manipulé notre confiance, profitant de notre sidération face au virus.
Citation : « Le confinement devait sauver des vies, les vaccins étaient présentés comme notre unique espoir, les tests PCR comme des outils infaillibles.
Pourtant, les chiffres et les faits montrent une autre réalité.
Une réalité où la peur a servi d’arme politique, où des décisions ont été prises sans débat, et où la corruption a infiltré les plus hautes sphères. »
Voir le livre Covid-19 : Plus jamais ça !, de L. Dubois (Éd. marco pietteur).
(Même un jeune scientifique de 23 ans l’a compris et documenté : on n’a pas suivi la vraie science, on a suivi un agenda politique.)
Ce constat posé, une question brûle les lèvres : pourquoi ?
Pourquoi tant de mensonges ?
Était-ce de l’impréparation, de la panique, de l’incompétence ?
Ou bien y avait-il un plan, des intérêts cachés ?
Probablement un peu de tout cela. La suite de la crise, avec l’arrivée des vaccins, va nous éclairer encore plus sur le “pourquoi”.
Vous verrez dans la Partie 2 de cette enquête comment la machine s’est emballée : communication choc, promesses intenables, chantage vaccinal, et profits faramineux en ligne de mire.
Avant de poursuivre, prenons un instant pour souffler.
Si en vous réveillent des émotions – colère, sentiment d’avoir été trahi – c’est normal.
Nous avons été nombreux à ressentir ce mélange d’indignation et d’amertume en réalisant l’ampleur du mensonge.
L’important désormais est de transformer cette colère en quête de vérité et d’action positive.
Chez les Éditions marco pietteur, c’est notre mission.
C’est pourquoi nous publions des livres comme « Covid-19 : PLUS JAMAIS ÇA ! » ou « Autopsie d’un désastre », qui analysent froidement les décisions aberrantes et en tirent des leçons pour l’avenir.
C’est aussi pourquoi nous soutenons les soignants et scientifiques qui ont le courage de parler.
La vérité finit toujours par triompher, si on lui donne une voix.
Pour aller plus loin – Nos auteurs l’avaient annoncé
Plusieurs auteurs indépendants avaient identifié dès 2020-21 ces incohérences et manœuvres :
- 💡 « Covid-19 : Mystification scientifique » – Où l’on découvre comment des données ont été manipulées pour faire croire à un consensus scientifique inexistant. Un livre éclairant sur le fossé entre la science officielle et la réalité du terrain.
- 💡 « Masque obligatoire : science ou doxa ? » – Une analyse approfondie qui rejoint ce qu’on a vu : le masque généralisé relève plus de la doxa (opinion imposée) que de la science éprouvée, notamment en extérieur. À lire pour comprendre comment on a pu imposer un symbole plus qu’un outil de santé.
- « La Fabrication du désastre » – Ce livre-choc retrace toutes les dérives de la gestion sanitaire mondiale, y compris en France. Il montre comment la crise a été aggravée par des décisions absurdes. Un véritable réquisitoire étayé, qui met en lumière les conflits d’intérêts à l’œuvre.
2. Restaurer la vérité : un devoir de mémoire et de santé
Dévoiler les mensonges du début de pandémie n’est pas qu’un exercice historique.
C’est un devoir de mémoire pour toutes les victimes de ces décisions insensées, et c’est surtout un étendard pour l’avenir : plus jamais ça !
Lorsque les autorités dérapent, il est du devoir des citoyens éclairés de le dire haut et fort, avec des preuves.
Vous l’aurez remarqué, chaque mensonge démonté ici s’accompagne de sources solides.
Nous ne lançons pas d’accusation sans appui.
Tout est documenté : les propos de Véran sont cités texto (et on n’oubliera pas de les lui rappeler), les données scientifiques sont sourcées (publications, experts).
C’est crucial, car face à la vérité, même la propagande la plus puissante finit par s’écrouler.
Dans la Partie 2 de cet article, nous aborderons la période des vaccins (fin 2020-2021) où, hélas, les mensonges se sont intensifiés – sous une autre forme.
Comment l’espoir vaccinal a été instrumentalisé, quelles promesses ont été faites (et brisées), et comment la politique du pass a marqué un tournant autoritaire sans précédent.
Préparez-vous : si vous avez été choqué par 2020, l’année 2021 vous révoltera tout autant, avec son lot de fausses certitudes martelées du haut de la tribune.
Mais ne tombons pas dans le désespoir pour autant. Des solutions existent.
Des médecins, des chercheurs, des lanceurs d’alerte ont travaillé d’arrache-pied pour faire émerger la vérité et proposer une autre voie.
Notre rôle, et le vôtre en tant que lecteur conscient, c’est de relayer ces vérités.
D’en parler autour de vous, d’ouvrir les yeux de ceux qui doutent encore.
Ce n’est pas être “complotiste” que de demander des comptes à nos dirigeants – c’est être un citoyen responsable et soucieux de la démocratie.
Avant de nous quitter, visualisez ceci : un futur où, face à la prochaine crise sanitaire, on n’utilise plus la peur et le mensonge, mais la transparence et la science authentique.
Un futur où les approches naturelles et médicales travaillent main dans la main pour protéger la population, au lieu de remplir les poches de quelques-uns.
Ce futur, nous pouvons le construire, en tirant les leçons de la pandémie de Covid-19.
Et ça commence par rétablir les faits sur ce qui vient de se passer.
Merci de participer à cette prise de conscience – c’est ensemble que nous éviterons de retomber dans le piège.
À suivre dans la Partie 2 : les mensonges de Véran sur les vaccins et le pass sanitaire, ou comment la quête de pouvoir a pris le pas sur la santé publique…
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(Partie 1 terminée – Retrouvez la Partie 2 sur notre blog la semaine prochaine.)