La corruption pendant la crise sanitaire du Covid-19 restera sans doute comme l’un des aspects les plus sombres et méconnus de cette période. Au-delà des confinements et des débats sur les vaccins, une question dérangeante s’impose : la corruption a-t-elle amplifié le chaos, mis des millions de vies en danger et enrichi une poignée d’acteurs ?
Le Pr Christian Perronne, infectiologue et figure reconnue de la santé publique, n’a cessé d’alerter sur les dérives, les conflits d’intérêts et la manipulation des institutions sanitaires.
Ses propos, souvent taxés de “complotistes” par les médias, reposent pourtant sur des éléments sourcés, qui dessinent un tableau glaçant: mensonges d’État, études biaisées, financements opaques, interdiction de traitements précoces, et communication sous influence des lobbys pharmaceutiques.
Aujourd’hui, il est plus que jamais essentiel de comprendre comment la corruption pendant la crise sanitaire a pu transformer une pandémie en machine à cash et en outil de contrôle. Et surtout, comment éviter qu’un tel scénario ne se reproduise.
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Le rôle de Christian Perronne : lanceur d’alerte ou complotiste ?
Ancien chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches et ex-président de la commission spécialisée maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique, le Pr Christian Perronne est loin d’être un inconnu dans le monde médical. Avant la crise sanitaire, il était même considéré comme une référence en matière de gestion des épidémies.
Pourtant, dès qu’il a osé questionner la stratégie gouvernementale et alerter sur la corruption pendant la crise sanitaire, il a été rapidement marginalisé, discrédité et caricaturé comme “complotiste”.
Ses avertissements sur la manipulation des données scientifiques, l’absence d’études solides sur la transmission des vaccins ou encore la censure des traitements précoces ont pourtant trouvé un écho chez de nombreux professionnels de santé et citoyens.
Sa détermination à dénoncer ce qu’il considère comme un crime contre la santé publique a fait de lui une figure incontournable pour ceux qui veulent comprendre les dessous de la crise.
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Corruption pendant la crise sanitaire : preuves et indices troublants
Derrière le discours officiel, de nombreux signaux laissent penser que la corruption pendant la crise sanitaire n’est pas un fantasme, mais une réalité ayant orienté des décisions clés.
De la pression exercée par Big Pharma sur les institutions, aux études biaisées publiées dans des revues prestigieuses, tout semble indiquer un système verrouillé.
Big Pharma et la pression sur les agences sanitaires
Christian Perronne et d’autres lanceurs d’alerte ont mis en lumière des transactions opaques, notamment les milliards versés par certains laboratoires pour accélérer les autorisations de mise sur le marché de vaccins.
Cette influence a-t-elle compromis la sécurité des populations ?
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Études biaisées et scandales scientifiques
Des publications majeures comme celles du Lancet ou du New England Journal of Medicine ont été rétractées après avoir servi à discréditer des traitements comme l’hydroxychloroquine.
Ces manipulations ont contribué à la confusion générale et à la défiance envers la science.
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Les financements opaques des médias
Des milliards d’euros d’aides publiques et de financements privés, notamment via la Fondation Bill Gates, ont soutenu des médias.
Ces mêmes médias ont ensuite servi de relais à la communication gouvernementale, en censurant toute voix discordante.
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L’impact des décisions politiques sous influence
Les choix politiques pendant la pandémie ont souvent été présentés comme guidés par la science. Pourtant, Christian Perronne affirme que de nombreuses décisions ont été dictées par des intérêts financiers et des alliances troubles, plutôt que par la santé publique.
Gestion des masques et destruction des stocks
Avant même l’arrivée du virus, le gouvernement français a détruit des millions de masques et fermé la dernière usine de production nationale, rendant le pays dépendant de fournisseurs étrangers en pleine crise.
Comment expliquer une telle imprévoyance ?
Interdiction de traitements précoces
Des molécules comme l’hydroxychloroquine ont été interdites malgré des méta-analyses suggérant leur efficacité en début d’infection.
Selon Perronne, ces interdictions ont provoqué des milliers de morts évitables et révèlent la puissance des lobbys.
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Obligation vaccinale et mensonges officiels
Le gouvernement a instauré une obligation vaccinale pour certaines professions, en s’appuyant sur l’idée que le vaccin stoppait la transmission. Pourtant, les laboratoires eux-mêmes ont reconnu qu’aucune étude ne le démontrait.
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Peut-on encore faire confiance aux institutions sanitaires ?
La crise sanitaire a révélé des failles béantes dans le fonctionnement des agences de santé, tant en France qu’à l’international. Christian Perronne affirme que la corruption pendant la crise sanitaire s’est traduite par des conflits d’intérêts flagrants et des décisions contraires à la santé publique.
Aux États-Unis, Robert F. Kennedy Jr. et ses alliés ont contribué à des remplacements massifs de dirigeants d’agences telles que la FDA, le NIH, le CDC, la CIA ou le FBI. Perronne salue ces changements, estimant qu’ils étaient nécessaires pour restaurer la confiance. Mais en France et en Europe, la situation reste figée : la même élite sanitaire continue de contrôler la communication, l’évaluation des produits et les politiques publiques.
Cette opacité et ces liens avec l’industrie pharmaceutique posent une question cruciale : comment accorder encore du crédit à des institutions qui nient leurs erreurs et refusent tout débat scientifique ?
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Les vaccins ARNm : entre opacité et inquiétudes
Au cœur des critiques de Christian Perronne se trouve la question des vaccins à ARNm. Présentés comme une solution miracle, ils ont été autorisés en un temps record, sans les études habituelles de long terme.
Perronne dénonce un « produit expérimental » imposé à des millions de personnes, et accuse les autorités de dissimuler des données préoccupantes.
Selon lui, ces vaccins peuvent rester actifs dans l’organisme bien plus longtemps qu’annoncé, interagir avec l’ADN et provoquer des effets secondaires graves : myocardites, troubles de la coagulation, voire décès soudains chez des jeunes en bonne santé.
Il alerte également sur la prochaine génération de vaccins ARNm autoréplicants, qu’il décrit comme une « bombe atomique sanitaire » échappant à tout contrôle.
Ces révélations jettent une ombre sur la transparence des laboratoires et la responsabilité des autorités sanitaires, qui continuent de promouvoir ces injections comme sûres et efficaces, malgré des signaux alarmants.
👉 Pour découvrir les preuves et les témoignages sur ces dangers, lisez notre article Les dangers du vaccin ARNm – une révélation scientifique.
👉 Pour comprendre la vague de décès inexpliqués post-vaccination, consultez Épidémie mondiale de morts subites en 2021-2022.
Résister à la corruption pendant la crise sanitaire : que faire ?
Face à l’ampleur des révélations et à la corruption pendant la crise sanitaire, il est facile de céder à la peur ou à la résignation.
Pourtant, Christian Perronne insiste : il est encore temps d’agir.
Pour lui, la première étape est de s’informer par des sources indépendantes et de partager ces connaissances autour de soi, dans sa famille, son école, son quartier ou son association.
Il encourage également à développer un esprit critique et à apprendre à dire non aux injonctions sanitaires injustifiées, en se préparant à refuser de nouvelles injections expérimentales.
Enfin, il recommande de rejoindre des collectifs, associations ou réseaux de professionnels de santé qui militent pour la vérité et la liberté thérapeutique.
L’unité et la solidarité sont essentielles pour contrer un système qui, selon Perronne, n’a pas hésité à sacrifier la santé publique pour des intérêts financiers.
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Et maintenant ? Vers une prise de conscience collective?
La corruption pendant la crise sanitaire a révélé un système où la santé publique semble être passée au second plan, au profit des intérêts économiques et politiques.
Christian Perronne, avec d’autres voix courageuses, a mis en lumière ces dérives et appelé à la résistance, non pas par la violence, mais par l’information, la solidarité et le courage de dire non.
Face à ces révélations, il appartient à chacun de se forger une opinion éclairée et de refuser que l’histoire se répète. Et vous, pensez-vous que la corruption a aggravé la crise ? Partagez votre avis en commentaire !
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Et vous, pensez-vous que la corruption pendant la crise sanitaire a été plus dangereuse que le virus lui-même ? Partagez votre avis, vos expériences ou vos questions dans les commentaires ci-dessous ! Votre opinion compte et peut aider à éveiller les consciences.