L’étude d’autopsie sur les vaccins Covid censurée par le Lancet suscite un vif débat au sein de la communauté scientifique et dans l’opinion publique.
Réalisée par un collectif de médecins critiques à l’égard de la vaccination anti-Covid, cette étude affirme avoir identifié un lien direct entre les vaccins et une part importante de décès subits.
Son retrait brutal du site de prépublication du Lancet a été interprété par certains comme un acte de censure, tandis que d’autres y voient une mesure de précaution face à des conclusions jugées fragiles.
Que contient réellement ce travail ?
Pourquoi alimente-t-il encore aujourd’hui la controverse ?
Une étude d’autopsie controversée qui met en cause les vaccins Covid
L’étude d’autopsie sur les vaccins Covid censurée par le Lancet (lien ici) repose sur l’examen de plus de 300 cas documentés dans des publications scientifiques.
Selon ses auteurs, dont le Dr William Makis et le Dr Peter McCullough, environ 74 % des décès analysés seraient dus ou liés aux effets des vaccins anti-Covid.
Les conclusions avancent que des organes comme le cœur et le système vasculaire seraient les plus fréquemment touchés.
Présentée comme la plus grande revue d’autopsies sur ce sujet, cette étude entend démontrer un lien de causalité inquiétant, là où la majorité des autorités sanitaires mondiales n’y voient, au contraire, aucun signal clair à ce jour.
Pourquoi l’étude d’autopsie sur les vaccins Covid censurée par le Lancet divise les experts
Le retrait de l’étude d’autopsie sur les vaccins Covid censurée par le Lancet n’a pas seulement relancé les accusations de censure. Il a mis en lumière un profond désaccord sur la manière d’interpréter les données scientifiques.
Les partisans des auteurs estiment que ces autopsies apportent des preuves directes de dangers sous-estimés des vaccins. De leur côté, de nombreux spécialistes pointent des biais méthodologiques : absence de groupe témoin, réévaluation subjective des autopsies par des médecins engagés dans le débat, et sélection de cas déjà suspects à l’origine.
Ce fossé entre interprétations alimente une méfiance croissante envers les publications officielles et les organes de contrôle scientifique.
Une méthodologie critiquée malgré un sujet sensible
Si l’étude d’autopsie sur les vaccins Covid censurée par le Lancet a trouvé un éditeur dans la revue Forensic Science International, elle continue de diviser. Les critiques méthodologiques se concentrent sur plusieurs points majeurs.
D’abord, les cas d’autopsie sélectionnés ne reposaient pas sur un échantillonnage aléatoire : les décès étudiés concernaient souvent des personnes chez qui un lien avec le vaccin était déjà suspecté par les proches ou les médecins.
Ensuite, l’étude ne comporte pas de véritable groupe témoin, ce qui rend difficile toute comparaison rigoureuse avec des décès sans vaccination. Enfin, la relecture des autopsies a été assurée par des experts déjà connus pour leurs positions hostiles aux vaccins Covid, ce qui alimente les soupçons de biais d’interprétation.
Les défenseurs de l’étude, eux, soulignent le caractère inédit de ce travail et sa nécessité.
Ils estiment que face à des signaux préoccupants, même imparfaits, la recherche devrait être encouragée plutôt que freinée.
Ils dénoncent un climat où tout questionnement sur les vaccins serait disqualifié d’avance, ce qui nourrit chez une partie de la population la conviction d’une vérité interdite.
Ce dialogue difficile entre prudence scientifique et liberté de recherche reflète un malaise plus large dans la gestion de la crise sanitaire.
Quand science, communication et méfiance se percutent

L’étude d’autopsie sur les vaccins Covid censurée par le Lancet illustre un phénomène plus large qui dépasse les simples données scientifiques : la fracture grandissante entre institutions de santé, chercheurs dissidents et opinion publique.
Depuis le début de la pandémie, chaque étude controversée sur les vaccins, qu’elle soit solide ou fragile, est devenue un point de focalisation des tensions.
Le retrait de la prépublication, combiné à l’acceptation ultérieure par une autre revue, alimente un récit selon lequel les grandes institutions chercheraient à dissimuler certains faits au nom d’un consensus officiel.
Pour le public, souvent peu armé pour évaluer la robustesse méthodologique d’une étude, ce type d’événement peut renforcer la défiance envers les autorités sanitaires.
La viralité des débats sur les réseaux sociaux, la circulation rapide de versions préliminaires non relues par les pairs, et l’absence de communication claire des éditeurs lorsqu’ils retirent des contenus fragilise encore davantage la perception de transparence.
Ce climat ouvre la porte à des interprétations extrêmes : pour certains, tout retrait devient la preuve d’une censure ; pour d’autres, il ne s’agit que de la rigueur normale d’un processus scientifique qui se corrige lui-même.
Ce que disent les autorités et ce que cela change pour le débat public
Face à la médiatisation de l’étude d’autopsie sur les vaccins Covid censurée par le Lancet, les grandes autorités de santé, comme l’OMS, l’Agence européenne des médicaments ou les centres de contrôle des maladies, n’ont pas réagi directement au contenu de cette publication.
Leur position reste tristement constante : les vaccins Covid-19 présentent un excellent profil de sécurité, avec des bénéfices largement supérieurs aux risques connus, même s’ils reconnaissent et surveillent certains effets indésirables rares comme les myocardites ou les thromboses atypiques.
Les experts indépendants qui ont analysé l’étude ont, eux, majoritairement souligné ses limites : sélection des cas orientée, absence de groupe témoin, et surtout discordance entre les conclusions des pathologistes originaux et celles réinterprétées par les auteurs.
Pourtant, dans un contexte où la confiance envers les institutions scientifiques s’effrite, ces explications peinent à calmer le soupçon.
À chaque controverse de ce type, le débat sur la transparence scientifique et la liberté de publier des résultats dérangeants refait surface.
Le risque est réel : laisser croire à une dissimulation organisée alimente le doute général, y compris envers des données de qualité.
Approfondir la réflexion et nourrir un regard critique
L’affaire de l’étude d’autopsie sur les vaccins Covid censurée par le Lancet rappelle que la science n’est jamais exempte de débats, surtout lorsqu’elle touche à des questions de santé publique aussi sensibles.
Entre données brutes, interprétations, pressions économiques et communication parfois maladroite, le citoyen se retrouve face à un flux d’informations difficile à démêler.
Ce type de controverse doit nous inviter à conserver un esprit critique éclairé, à examiner les faits, les méthodes et les contextes plutôt que de céder aux slogans ou aux certitudes hâtives.
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Ces lectures proposent des angles complémentaires pour mieux comprendre les dessous des décisions sanitaires et les débats qui les accompagnent.
👉 Et vous, qu’en pensez-vous ?
La publication de l’étude d’autopsie sur les vaccins Covid censurée par le Lancet alimente-t-elle un débat légitime ou s’agit-il d’une dérive scientifique ?
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