Parce qu’au fond, ce n’est pas qu’un livre.
C’est un cri. Un cri qu’on nous a arraché, qu’on a transformé en encre, en dessins, en pages.
C’est la douleur d’un peuple invisible : celui des soignants qu’on a fait taire.
Et ce cri, il résonne. Il réveille. Il fait pleurer, parce qu’il vous renvoie votre propre histoire.
Je vais vous poser une question simple… et j’aimerais que vous y répondiez avec toute l’honnêteté dont vous êtes capable…
Depuis ce 12 juillet 2021… ce jour où tout a basculé…avez-vous eu, une seule seconde, l’impression que quelqu’un, quelque part, vous comprenait vraiment ?
Moi non plus.

Je me suis réveillée un matin… après des mois de silence, d’exclusion, de regards fuyants…
et j’ai compris. J’ai compris qu’on avait voulu nous effacer. Qu’on nous avait arraché bien plus que notre blouse.
Avant… j’étais infirmière. Respectée, utile, fière de ce que j’apportais aux autres.
Depuis ce 12 juillet… je ne suis devenue qu’un matricule suspendu, un nom sur une liste, une gêne qu’on veut oublier.

J’ai tout perdu : mon salaire, mon poste, et parfois… le respect même de mes proches.
Mon père, les larmes aux yeux : « Tu gâches ta vie pour quoi, Sabine ? »
Mon mari : « Tu crois que tu sauveras le monde avec ta fierté ? »
Et mes enfants… qui ne comprenaient pas pourquoi maman ne mettait plus sa blouse blanche.
J’ai essayé. Dieu sait que j’ai essayé.
Les lettres aux élus. Ignorées.
Les recours juridiques. Enterrés.
Les manifs. Comme hurler dans un désert.
Les collectifs. Courageux… mais si démunis face à ce mur de silence.
J’ai failli abandonner. Jusqu’au jour où j’ai compris : notre vraie arme, c’est de raconter.
Pas avec des chiffres. Pas avec des grands discours.
Mais avec ce qui nous reste : notre vérité.
C’est ce jour-là que j’ai commencé à dessiner 12 Juillet.
Page après page. Larme après larme.
Une bande dessinée pas comme les autres. Un témoignage brut, vivant, sans fard.
Un cri du cœur. Un miroir de ce que vous avez vécu, vous aussi.
Avant… j’étais infirmière. Respectée, utile, fière de ce que j’apportais aux autres.
Depuis ce 12 juillet… je ne suis devenue qu’un matricule suspendu, un nom sur une liste, une gêne qu’on veut oublier.
C’est ce jour-là que j’ai commencé à dessiner 12 Juillet.
Page après page. Larme après larme.
Une bande dessinée pas comme les autres. Un témoignage brut, vivant, sans fard.
Un cri du cœur. Un miroir de ce que vous avez vécu, vous aussi.
Parce que le vrai problème, ce n’est pas seulement qu’on nous a suspendus.
C’est qu’on a voulu qu’on se taise.
Qu’on disparaisse.
Mais nous sommes toujours là.
Et cette BD est la preuve que personne ne pourra nous effacer.
Je ne vous demande pas de me croire sur parole.
Des milliers de soignants comme vous l’ont lue :
« J’ai pleuré en la refermant. Mais ça m’a donné la force de tenir. »
« Je l’ai offerte à mon frère. Pour la première fois, il m’a dit : je comprends. »
Pourquoi 12 Juillet est différent ?
Parce que c’est VOTRE histoire.
Parce que chaque page est un acte de résistance.
Parce qu’il ne s’agit pas juste d’un livre… mais d’un flambeau à transmettre.
Et non… vous n’aurez pas à dépenser des centaines d’euros en avocats.
Vous n’aurez pas à mendier un peu de reconnaissance.
12 Juillet coûte seulement 18 €. Moins qu’un repas au resto. Moins qu’une soirée au ciné.
Et si vous pensez que ce livre ne vous apporte rien…
Renvoyez-le. Je vous rembourse. Point.
Mais je dois être honnête : les stocks fondent.
Chaque jour, des collectifs commandent des dizaines d’exemplaires pour leurs membres.
Si vous attendez… il pourrait être trop tard.
Alors faites ce petit geste.
Pour vous. Pour ceux qui ont marché à vos côtés.
Cliquez sur ce bouton. Commandez 12 Juillet.
Et rappelez au monde : nous sommes toujours là.
Découvrez la description complète du livre ici.
Sabine, alias Kreatura