Depuis plusieurs années, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est censée être le rempart contre les crises sanitaires.
Pourtant, la pandémie de Covid-19 a mis en lumière un problème majeur : le conflit d’intérêts OMS, qui soulève de graves questions sur l’impartialité et la transparence de ses décisions.
Aujourd’hui, alors que la confiance envers l’OMS s’effrite, une question s’impose : jusqu’où les intérêts financiers ont-ils biaisé la gestion de la crise ?
Dans une récente interview vibrante (ci-dessous), Idriss Aberkane reçoit le Professeur Didier Raoult, figure emblématique de la dissidence scientifique.
Ensemble, ils lèvent le voile sur des vérités dérangeantes : entre financements opaques, décisions arbitraires et dépendance aux grandes fondations privées, l’OMS apparaît de plus en plus comme un acteur biaisé plutôt qu’un arbitre impartial.
Mais que s’est-il réellement passé ?
Pourquoi cette opacité ?
Pourquoi cette soumission à des intérêts qui ne sont pas nécessairement ceux de la santé publique?
C’est ce que nous allons explorer ici.
L’OMS : gardienne de la santé ou otage des financements privés?
Créée en 1948, l’OMS avait une mission noble : coordonner les efforts mondiaux pour promouvoir la santé, protéger contre les pandémies, et garantir une information fiable aux citoyens du monde.
Pendant des décennies, elle a incarné l’espoir d’une santé publique mondiale pilotée par la science et non par les intérêts financiers.
Mais au fil du temps, la structure de son financement a radicalement changé.
Alors que son budget dépendait autrefois principalement des contributions obligatoires des États membres, aujourd’hui près de 80% de ses ressources proviennent de dons « volontaires ». Ces dons ne sont pas neutres : ils sont fléchés par ceux qui les offrent.
Et qui sont-ils?
Des fondations privées (comme la Bill & Melinda Gates Foundation), des industries pharmaceutiques, ou encore des États aux objectifs politiques précis.
La conséquence?
Lorsque le financement dépend davantage des intérêts privés que de l’intérêt général, le conflit d’intérêts à l’OMS devient inévitable.
Conflit d’intérêts OMS : comment en est-on arrivé là?
Dans la conversation avec Didier Raoult, une idée ressort clairement : l’OMS n’est plus libre.
Elle est devenue dépendante de ses sponsors, conditionnant ses prises de position, ses recommandations, et même ses priorités de recherche.
Par exemple :
- Pourquoi l’OMS a-t-elle tant tardé à reconnaître les traitements précoces ?
- Pourquoi un enthousiasme aveugle pour certaines solutions coûteuses (vaccins ARNm) ?
- Pourquoi si peu de communication sur des alternatives thérapeutiques efficaces et peu onéreuses ?
La réponse est simple et inquiétante : parce que ceux qui financent orientent.
Et dans une crise mondiale, l’orientation d’une agence comme l’OMS pèse des milliards, influence les décisions de centaines de gouvernements, et modèle la perception de la vérité scientifique.
OMS, Big Pharma et fondations privées : une alliance dangereuse?
Un document publié par le British Medical Journal (BMJ) en 2021 alertait déjà sur un problème majeur : la dépendance financière de l’OMS envers ses donateurs compromet son indépendance et biaise ses recommandations. Lorsque les financements sont fléchés, l’objectivité scientifique devient illusoire. C’est notamment ce que montre cet article du BMJ, intitulé « Covid-19: politicisation, ‘corruption,’ and suppression of science », qui démontre comment l’OMS, influencée par ses bailleurs de fonds, a vu sa neutralité fortement ébranlée.
Prenons l’exemple de la Fondation Gates, deuxième financeur de l’OMS après les États-Unis : quand une organisation largement investie dans la promotion des vaccins finance celle censée les évaluer de manière impartiale, le conflit d’intérêts OMS saute littéralement aux yeux.
Dès lors, comment croire que toutes les décisions prises pendant la crise du Covid-19 ont réellement reposé sur des critères purement scientifiques ?
Didier Raoult et Idriss Aberkane : un dialogue pour restaurer la vérité
Dans cet échange sans filtre, Didier Raoult rappelle que la science est faite de débats, de controverses, d’essais et d’erreurs.
Mais en période de pandémie, cette dynamique naturelle a été brutalement muselée.
Les voix discordantes ont été censurées. Les chercheurs critiques ont été discrédités.
Et dans cet écrasement du débat, l’OMS a joué un rôle non négligeable.
Quand une institution internationale recommande des traitements, des confinements, des politiques de santé publique sans débat ouvert, sous l’influence potentielle d’intérêts privés, ce n’est plus de la science : c’est de la gouvernance technocratique.
Regardez la vidéo ici:
Interférence des intérêts privés dans l’OMS: pourquoi est-il urgent d’en parler aujourd’hui?
Parce que la pandémie a marqué un précédent.
Parce que demain, face à une nouvelle crise sanitaire (réelle ou fabriquée), les mêmes mécanismes peuvent se répéter.
Si l’OMS n’est pas réformée en profondeur – en assurant son indépendance totale vis-à-vis des donateurs privés – alors le conflit d’intérêts OMS continuera de menacer l’intégrité de nos politiques sanitaires.
👉 Un rapport sur les financements de l’OMS confirme également que ses principales sources de fonds proviennent d’acteurs privés influents, comme détaillé dans cet article du Lancet.
Notre santé publique ne peut être confiée à des institutions potentiellement capturées par des logiques de profits.
Se réinformer : les livres essentiels pour comprendre la crise
Pour aller plus loin, et construire une vision documentée des dérives récentes, découvrez les ouvrages suivants publiés aux Éditions Marco Pietteur :
- Covid-19 : PLUS JAMAIS ÇA ! – Le livre-choc qui révèle l’envers de la pandémie
- COVID-19 : MYSTIFICATION SCIENTIFIQUE – Le livre qui révèle la manipulation derrière la pandémie
- Masque de protection Covid obligatoire : science ou doxa ?
- COVID-19 : Les Mensonges du Gouvernement U.S.
- La Fabrication du Désastre
- Gouvernance perverse
- Médecins courageux contre Big Pharma et ses vaccins COVID-19
- Influence & Pandémies : Ce que l’on vous cache sur la gestion des crises sanitaires
Ces ouvrages ne sont pas simplement des témoignages : ce sont des armes intellectuelles pour comprendre, résister et construire l’avenir.
Conflit d’intérêts OMS : une crise qui exige vigilance et action
Le problème n’est pas seulement passé : il est actuel.
Tant que l’OMS ne sera pas radicalement réformée, tant que l’argent guidera ses recommandations, nous resterons vulnérables.
Non pas à de nouveaux virus… mais à la manipulation des politiques de santé publique.
S’informer devient donc un acte de résistance.
Lire, comprendre, débattre devient un devoir citoyen.
Ne laissez pas d’autres écrire l’histoire à votre place.
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