Une nouvelle bombe vient d’être larguée dans le débat sur la vaccination : le prochain ouvrage de Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, aborde sans détour un sujet brûlant et méconnu du grand public – les vaccins à ARN messager auto-amplifiants.
Ces technologies expérimentales, appelées à remplacer les vaccins traditionnels à l’horizon 2030, pourraient bouleverser notre santé, nos choix de société et jusqu’à la chaîne alimentaire.
Avant même sa parution, ce livre crée l’événement.
Il fait suite à une interview décisive de l’auteur sur la chaîne YouTube TOXIN, que vous pouvez visionner dans cet article.
Qui est Jean-Marc Sabatier ?
Jean-Marc Sabatier est docteur en biologie cellulaire et microbiologie, habilité à diriger des recherches (HDR) en biochimie, et directeur de recherche au CNRS. Sa carrière, initialement axée sur les vaccins, l’a progressivement amené à interroger certaines dérives et incohérences des politiques vaccinales contemporaines.
Dans cette nouvelle publication, il livre une synthèse accessible et sourcée sur trois sujets tabous : la sur-vaccination pédiatrique, les vaccins à ARN messager auto-amplifiants, et la généralisation de la vaccination aux animaux d’élevage et de compagnie.
Trop de vaccins, trop tôt : le cas de la vaccination pédiatrique
Depuis 2018, le nombre de vaccins obligatoires pour les nourrissons en France est passé de 3 à 12.
Cela représente jusqu’à 16 injections entre 2 mois et 18 mois.
Un chiffre vertigineux pour un organisme en plein développement.
Selon Jean-Marc Sabatier, certains de ces vaccins sont non seulement inutiles (comme ceux contre la rubéole ou les oreillons), mais leur accumulation pourrait être délétère.
Il évoque notamment des liens possibles avec la flambée des cas d’autisme ces dernières décennies, même si ces corrélations demandent encore des études approfondies.
Autisme et vaccins à ARN messager auto-amplifiants : une progression inquiétante
L’auteur cite plusieurs études, notamment sur les primates, qui suggèrent un lien entre les vaccins multiples administrés en bas âge et des troubles du spectre autistique. Un jeune singe ayant reçu une série de vaccins infantiles a développé des symptômes comparables à l’autisme humain.
Aujourd’hui, alors qu’on comptait un cas d’autisme pour 10 000 enfants dans les années 70, certains États comme New York atteignent désormais un cas sur 22!
Ces chiffres alarmants soulèvent des questions fondamentales sur la sécurité à long terme des programmes vaccinaux intensifs.
Vaccins à ARN messager auto-amplifiants : une technologie incontrôlable ?
Ce que révèle Jean-Marc Sabatier est tout simplement glaçant : les futurs vaccins à ARN messager auto-amplifiants, que l’on souhaite généraliser à partir de 2030, sont conçus pour se répliquer eux-mêmes dans l’organisme.
Une fois injecté, ce type de vaccin produit non seulement l’antigène, mais aussi les enzymes nécessaires à sa propre reproduction.
Résultat : une production continue et incontrôlée de protéines modifiées et de complexes enzymatiques, dont les effets secondaires sont mal connus.
À ce jour, aucune étude sérieuse n’a évalué la biodistribution, la toxicité chronique ou l’impact sur la fertilité ou le développement neurologique de ces molécules.
Des nanoparticules dans vos cellules… et vaccins à ARN messager dans votre assiette?
Les vaccins à ARN messager auto-amplifiants sont encapsulés dans des nanoparticules lipidiques, souvent enrichies de substances comme le squalène ou des lipides cationiques. Ces composants peuvent, selon certaines études, franchir la barrière placentaire, contaminer le fœtus et provoquer des réponses immunitaires non contrôlées.
Mais la véritable inquiétude réside dans la généralisation de ces technologies à la filière alimentaire…
Des millions de canards ont déjà été injectés avec des vaccins ARN auto-amplifiants en France.
Et cela ne s’arrête pas là : porc, bétail, moutons, volailles, chiens, chats, voire plantes alimentaires comme les épinards ou la laitue sont concernés par des projets similaires.
Peut-on encore manger ou boire sans se faire injecter ?
« On ne sait pas ce que ces molécules deviennent une fois dans l’organisme », insiste Jean-Marc Sabatier. Ni la cuisson, ni l’acidité gastrique ne garantissent leur destruction complète.
Des ARN thermostables, protégés par des gangues lipidiques, pourraient traverser les muqueuses buccales et parvenir à nos cellules.
La question est simple : si ces substances circulent dans l’alimentation, comment les éviter ?
La réponse semble être… on ne peut pas.
Pourquoi ce livre est indispensable
Avec ce nouvel ouvrage, Jean-Marc Sabatier ne cherche pas à effrayer, mais à informer rigoureusement.
Le lecteur y trouvera :
- Des explications scientifiques vulgarisées et sourcées
- Un état des lieux des vaccins obligatoires actuels
- Une analyse technique des vaccins auto-amplifiants
- Des révélations sur les applications animales et agricoles
- Une réflexion sur les enjeux éthiques, sanitaires et sociétaux
Ce livre s’adresse autant aux professionnels de santé qu’aux parents inquiets, aux éleveurs, aux vétérinaires, aux citoyens qui refusent de devenir les cobayes silencieux d’une médecine génique incontrôlée.
Une urgence sanitaire… et démocratique
Ce livre ne sera pas promu sur les grands médias.
Il dérange. Il interroge. Il brise l’omerta sur des décisions prises sans débat public, mais aux conséquences potentiellement irréversibles.
C’est maintenant qu’il faut s’informer.
C’est maintenant qu’il faut choisir si l’on veut vivre dans une société pilotée par des algorithmes de santé ou dans une société où l’on peut encore dire non.
🛑 Regardez l’interview complète ici 🎥 :
📚 Et restez à l’écoute : le livre sortira bientôt sur le site officiel des Éditions Marco Pietteur.
